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Dans tous les sens
Pratiquant la sociologie du travail sauvage, je distingue boulots de merde et boulots de connard. J’ai tâché de mener ma jeunesse de façon à éviter les uns et les autres. J’applique l’expression...
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le 1 oct. 2017
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Robin des Bois dauphinois
Contrebandier devenu un genre de Robin des Bois du Dauphiné, Louis Mandrin (1725-1755) a vite donné lieu à toutes sortes de légendes autour du thème du bandit au grand cœur. Ce texte à l’auteur anonyme*, daté de 1755 et exhumé par Allia en 1991, est en réalité moins une « vie » — on ne parlait pas encore de biographie — du brigand qu’un récit relativement circonstancié de ses aventures depuis janvier 1754 jusqu’à son exécution.
Ça montre suffisamment de compassion pour que l’interdiction du livre aussitôt publié paraisse logique à qui s’y connaît un minimum en histoire. Ça ne tourne pas à l’hagiographie. Ça manque peut-être d’une préface ou d’une postface. C’est écrit en style XVIIIe. Ça ne casse pas trois pattes à un canard, mais c’est intéressant à lire.
*Le site internet de l’éditeur parle d’un « auteur présumé [qui] était magistrat », le catalogue de la BnF d’un certain Joseph Terrier de Cléron.
Ça montre suffisamment de compassion pour que l’interdiction du livre aussitôt publié paraisse logique à qui s’y connaît un minimum en histoire. Ça ne tourne pas à l’hagiographie. Ça manque peut-être d’une préface ou d’une postface. C’est écrit en style XVIIIe. Ça ne casse pas trois pattes à un canard, mais c’est intéressant à lire.
*Le site internet de l’éditeur parle d’un « auteur présumé [qui] était magistrat », le catalogue de la BnF d’un certain Joseph Terrier de Cléron.
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le 14 mars 2015
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