Y a pas eu que Dark Side of the Moon en 1973

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Comme d'habitude, l'album est là pour servir de porte d'entrée aux gens qui farfouilleraient les tréfonds des listes qui le contiennent. Salut les farfouilleurs !

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Avec le violon le plus inquiétant que je connaisse.

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Si paisible.

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Quand l'éternel sideman monte au premier plan, le résultat est plaisant. La relecture de "Edward" ne vaut pas celle qu'il avait enregistrée avec QMS, mais des choses comme la toute simple "Waiting for the Band" valent le coup d'oreille.

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Où l'expression « one-man band » prend tout son sens. Si "Songs of Praise" ne vous colle pas la banane pour la journée, je ne sais pas ce qu'il vous faut.

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Encore un duo folk méconnu. Injustement, encore.

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J'ai déjà saoulé suffisamment de monde avec ma passion pour les Pretty Things. Celui-ci est sans doute une entrée mineure de leur catalogue, très américanisé, mais il fait bien la transition entre les Sixties et la période Swan Song.

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Du prog médiévalisant intéressant.

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Ils sont rares, les groupes qui parviennent à se rétablir après avoir explosé en plein vol. La voix de Sonja Kristina aide, bien entendu : comment résister à "Metamorphosis", fragile comme le cristal le plus pur ? ♥

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On aurait pu s'attendre à bien pire d'une réunion motivée par le fric de cinq gars dont les chemins musicaux avaient divergé depuis déjà un bail. Mais Gene Clark a amené deux-trois chansons de haute volée dans sa besace et les reprises sont pas mal du tout.

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Cf. ma critique.

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Fleetwood Mac, version béta ouverte. C'est "Frozen Love" qui a convaincu Mick Fleetwood d'embaucher Lindsey.

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Ça part déjà dans tous les sens et c'est hilarant.

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Du très beau folk. Ne vous fiez pas à la pochette.

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Cf. ma critique, encore.

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Fleetwood Mac a connu une longue traversée du désert entre le départ de Peter Green et l'arrivée de Lindsay Buckingham. Au cœur de cet interrègne se cache tout de même ce disque mignon comme tout, avec un petit bijou : "Emerald Eyes".

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Ça aussi c'est super fun. Je suis presque surpris que le public élitiste par définition de SC le note aussi bien (6,6 à l'heure où j'écris).

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La formule ELO se met en place. C'est pompeux, grandiloquent et accrocheur comme tout.

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Une bonne alternative à Led Zeppelin (surtout que vous vous rappelez ce que sortait Led Zeppelin en 73 ? brr).

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Le groupe devient encore plus grandiose qu'il ne l'était jusqu'alors. Dur à croire, hein ?

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Je ne comprends pas pourquoi tout le monde se passionne pour Sibylle Baier et oublie Judee Sill ici.

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C'est sans doute l'un des groupes qui portent le mieux leur nom.

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Vous connaissez déjà "Long Train Runnin'" (même si vous ne le savez pas). Le reste n'est pas dégueu non plus.

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Eh non, c'est pas Metallica les premiers à avoir composé une chanson sur Cthulhu en écrivant mal son nom !

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La carrière tardive des Beach Boys, c'est quelques îlots de bon goût dans un océan de beurk.

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C'est mon T. Rex préféré.

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Évidemment, après All Things Must Pass il n'y a plus vraiment d'album indispensable dans la disco de Harrison. Mais celui-ci n'en est pas loin.

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Même après le départ d'Eno, Roxy Music restait une force avec qui compter. Ça réussit à être génial même quand Bryan Ferry chante piteusement en latin et en français, c'est dire !