XXIème siècle, encore et toujours ! Comme je n'y comprends plus rien, je cherche inlassablement à me repérer.

Annotation :

Gardin, Bioley et Seydoux, c'était pas gagné pour moi, mais il y a toujours quelque chose qui m'impressionne chez Dumont, sans que je ne puisse bien le saisir.

Annotation :

à revoir. Souvenir d'une fantaisie plaisante malgré deux acteurs qui ne me plaisent pas d'habitude.

Annotation :

Surtout pour la première partie, la fin - hélicoptère et montagne - en met un peu trop de partout.

Annotation :

La lenteur d'une histoire vraie avec une touche anciens combattants vaguement anar'. Enfin, anar', c'est un bien grand mot, plutôt cette réjouissante liberté des hommes se sachant proches de leur fin.

Annotation :

Je n'aime pas Meryl Streep, ni le Spielberg tardif, mais l'impression d'un film vite torché, sans trop sur-penser le sujet, efficace comme une série B et... surtout... contrepoint bienvenu au consternant Ready Player One dont la sortie fût concomitante.

Annotation :

Dernier film à m'avoir mis mal à l'aise - bien plus que The strangers par exemple - tout en réussissant un tant soit peu à me fasciner.

Annotation :

Pris par surprise par celui-là. On me dit qu'il y a bien mieux dans l'animation japonaise... mais bon, moi, à part pour Perfect Blue, l'animation japonaise ne me plaît que dans la discrète idéalisation du réel par la description du quotidien. Au fond, je n'aime que Perfect Blue, Si tu tends l'oreille et celui-ci.

Annotation :

Certainement décadent, mais le plaisir ne se commande pas.

Annotation :

Souvenir d'une après-midi délicieuse.

Annotation :

Dernier vestige de l'action à l'américaine. Pas le chef-d'oeuvre de son auteur mais aussi plaisant (et gênant) que de croiser un ancien ami perdu de vue et que l'on pensait ne jamais revoir : ça tient au moins le temps d'un verre, à se remémorer le passé mais, derrière, c'est le Temps qui reste le maître.

Annotation :

à revoir

Annotation :

Souvenir d'une soirée délicieuse.

Annotation :

La veine héroïco-pathétique d'Eastwood, pas celle que je préfère mais tient bien avec Sully, Richard Jewell ou même La Mule.

Annotation :

Je n'arrive pas à me décider au sujet de celui-là. Souvenir d'une frénésie et d'une maestria convaincantes mais plombées par la lourdeur du fond, de l'esprit, scorsesien...

Annotation :

à revoir, pas sûr DU TOUT que ça résiste bien... (après la terrible déconvenue de la seconde vision de Moi député)

Annotation :

Alors là, c'est la grosse côte ! Je n'aime pas Ken Loach et pourtant, peut-être parce que ça parle de whisky (plus sympa que les chemins de fer, footballers et autres indépendantistes irlandais ou espagnols), je me suis fait avoir.

Annotation :

Plaisir de la désuétude.

Annotation :

Clairement le moins bon des trois mais pas indigne et avec quelques moments franchement drôles !

Annotation :

J'aime bien Sono Sion. Ses films sont souvent trop longs ou trop courts, mal fichus, débordants d'intentions de qualité variable, mais voilà, contrairement aux Verhoeven (Elle) ou Hanneke (La pianiste)(cherchez le dénominateur commun) sans remonter jusqu'à l'ancêtre Hellraiser, il réussit à rendre presque naïvement érotique cette passion qu'ont certaines femmes pour l'auto-destruction, le stupre mortifère. Et puis, c'est en découvrant ce film que j'ai rencontré ma compagne.

Annotation :

Pas un chef-d'oeuvre mais un voyage assez fascinant.

Annotation :

Révision récente douloureuse. Je le pensais digne des meilleurs McCarey, j'y décèle maintenant une influence Ayn Randienne qui m'a refroidi (quel que soit le degré (zéro, premier, second, nième) de cette référence dans l'esprit de l'auteur).
Ceci dit, James L Brooks n'est pas un manche.

P.S. : J'essaie de préciser : je ne prétends nullement que le film porterait aux nues la vertu d'égoïsme, on la distingue cependant chez les personnages interprêtés par Wilson, Nicholson mais aussi Witherspoon alors que celui de Paul Rudd aurait tendance à contrebalancer.
J'aime ne pas aimer certains personnages dans les films. Là, ce n'est même pas ne pas aimer, ce serait plutôt ne plus comprendre, se sentir parfaitement étranger et puis aussi, en avoir marre ! Parce que quand ces libéraux protestants (ou catholiques dévoyés) n'étaient que de lointains rejetons de l'Europe, on les regardait s'agiter et le charme exotique fonctionnait à fond. Aujourd'hui, ce sont nos voisins, nos collègues, parfois même nos frères (plus souvent nos soeurs). Et ça me fatigue de voir mes voisins pas sympas, ceux que je me coltine au quotidien, parasiter l'écran où j'aime à projeter mes désirs.
Et pourtant, j'aime bien l'aspect virginien du film.
Bref, pire qu'une déception : un désamour.