Vous n'avez pas vu ces films mais moi oui.

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LE film du Big Bazar. Ça finit mal. Comme le Big Bazar.
Ce film devrait être culte mais on n'en entend jamais parler.

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Mon adoration pour Robin Renucci m'a amené à aller voir ce film dans une salle art-et-essai de ma ville. J'avais été sidéré d'y voir exposé face caméra l'entrejambe de Véronique Delbourg, que je connaissais alors uniquement comme l'interprète de la fille du docteur Moreau dans la série familiale "L'Esprit de famille". Un choc.
Grâce à ce film je garderai toute ma vie une certaine tendresse pour Jean-Louis Daniel et ses films étranges ("Les Fauves" en particulier).

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J'avais adoré ce film vu adolescent à la télévision. Une séquence m'a marqué à vie, séquence dans laquelle Christophe Malavoy et Sylvie Orcier mangent un sandwich dans la bouche l'un de l'autre alors qu'ils sont à l'hôpital (à vérifier).
Grâce à ce film je garderai toute ma vie une certaine tendresse pour José Pinheiro.

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Une affiche dans le couloir du collège annonçait la projection de ce film dans une salle polyvalente. J'y étais allé. Qu'est-ce que je foutais là ? Peut-être que la projection était gratuite. C'était vraiment le bon temps de l'adolescence où on a tellement besoin de voir des films qu'on peut voir n'importe quoi n'importe où.
A l'époque je ne savais pas que le titre était tiré d'une phrase célèbre de "La Femme d'à côté".

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Magnifique film du regretté René Féret, un cinéaste dont on pourrait dire qu'il s'est intéressé à la question du genre avant tout le monde.

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De Siegfried, vous avez sans doute vu "Louise (take 2)", vous avez peut-être vu "Sansa", mais vous n'avez pas vu ce film.

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Le film invisible de Francis Huster, que Béatrice Dalle a fini par rendre célèbre en soutenant mordicus à ceux qui lui en parlaient qu'elle ne jouait pas dedans. Elle le retirait systématiquement de sa filmographie. Je l'ai en VHS, pour ceux que ça intéresse - preuve qu'il est passé à la télévision et que Béatrice Dalle joue bien dedans, puisque je me suis fait chier à le regarder et l'archiver.

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J'étais sans doute seul dans la salle et j'avais sans doute fait une heure de métro pour aller le voir dans une salle pourri du 15e arrondissement, là où personne n'a jamais rien à faire.

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La découverte de la douceur brune de Géraldine Pailhas, que je ne cesserai d'aimer par la suite (je n'avais pas vu le film de Claude Pinoteau) et la confirmation qu'Edouard Baer pouvait être bien autre chose qu'un amuseur des ondes. Très joli film, très subtil.
Grâce à ce film je garderai toute ma vie une certaine tendresse pour Frédéric Jardin (voir par exemple "Les Frères Sœur").

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Un très bon film de Marion Vernoux avec l'extraordinaire Benoît Régent en critique culinaire obligé d'embarquer la fofolle Mariane Denicourt dans son road movie. Excellent souvenir.

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Un casting de filles qui ont sacrément du chien - Florence Thomassin, Julie Gayet (d'avant), Julie Jézequel. Ma culture gauchiste m'a amené à m'intéresser à Mordillat.

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Vous ne saviez même pas qu'il existait et rien dans ce film ne vous dit rien.

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C'était la mode de "Meurtre dans un jardin anglais" et des clips de Mylène Farmer. J'avais énormément aimé. Un premier film, je crois. PH Salfati a un peu disparu des radars ensuite.

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Grosse cote auprès de la critique mais je n'avais pas du tout aimé. Soit c'est un film totalement surestimé, un film de copinage, soit j'étais trop jeune quand je l'ai vu. En tout cas il n'y avait pas grand chose d'ardent dans ce film.

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Beau casting félin (Grégoire Colin, Romane Bohringer) mais film passé un peu inaperçu à sa sortie.

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Sans doute un poil plus connu que les autres.
Ça m'avait bouleversé et j'étais devenu fou de Franssou Prenant.
Malheureusement ça ne m'a pas protégé d'une certaine irritation contre Romain Goupil, croissante avec les années.

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Très beau film de Manuel Poirier, tourné sur sa terre natale (Le Pérou).
Avec deux filles incendiaires (Marine Delterme et Maruschka Detmers) qui envoient du bois, ce qui est normal quand on veut nourrir l'incendie.

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Vu un jour de Fête du Cinéma dans une salle bondée de gens qui n'avaient rien à faire là et qui se moquait de la douleur de l'amant non-magnifique (Robin Renucci). Très beau film.

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Un peu plus connu que les autres films, mais je le laisse en souvenir de ces soirées passées tremblant devant la télé qui diffusait encore des films avec un carré blanc.

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Ils menaçaient de tuer un âne si on allait pas voir le film alors j'y suis allé. Comme quoi, une bonne promo, des fois...

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Film non distribué, très peu projeté, sorte de journal intime sans concession de Marina de Van.