TOP FILMS 2017

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Brillant et féerique! On ressort avec plein d'étoiles dans les yeux! Parce que ce film nous parle aussi de nous, de nos rêves, de la réalité... et de notre passion pour le 7ème art et la musique!

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Doillon a su saisir l'insaisissable, en nous plongeant au coeur même de la création artistique. D'une beauté et d'une sensualité hallucinantes, la photographie capte l'essence de la matière, corps et argile mêlés. Un chef-d'oeuvre!

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Une fable moderne, superbe et généreuse, un mélange des genres parfois déroutant au service d'un pamphlet contre le monde industriel et le capitalisme et qui fonctionne admirablement. Décidément, Netflix opère d'excellents choix d'investissement! Mention spéciale pour Tilda Swinton et surtout Jake Gyllenhall, parfaits dans 2 rôles caricaturaux à outrance.

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Superbe suite que celle imaginée par Denis Villeneuve, qui se réapproprie les codes du 1er opus tout en créant une oeuvre personnelle. Harrison Ford y est magistral dans son rôle d'homme tourmenté et brisé ; quant à Ryan Gosling, il est parfait, comme d'habitude.La fin, ouverte, nous laisse espérer un 3ème épisode : avec Villeneuve à la réal',moi je dis oui!

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Corps qui dansent, corps qui font l'amour, corps qui souffrent... un hymne au corps comme lieu sacré d'où jaillit la Vie dans son intensité la plus pure. Mais aussi un film coup de poing, un film militant, qui alterne trajectoires intimes et débats et luttes au sein d'Act Up, d'une puissance infinie, bouleversante, dont on ne peut ressortir indemne.

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Un très beau film sur la liberté d'être. Difficile pour moi d'en parler tant il m'a touchée, tant il est en résonance avec ma sensibilité profonde. Photographie et son ( où silence alterne avec musique ) sont parfaits et servent le propos du film. Gilles Lellouche, enfin dans un rôle plus sensible, plus dramatique, incarne avec conviction cet homme déchiré, désespérément amoureux. Quant à Maria Valverde, elle crève littéralement l'écran, de beauté et de puissance de jeu.

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Une oeuvre aboutie et émouvante, tout en ayant la touche un peu déjantée propre au cinéma de Dupontel. J'ai été conquise!

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A coups de plans larges saisissants et d'images de foule hyper réalistes, scandés par une bande-son au staccato incessant qui nous vrille les nerfs, Nolan signe un opus impressionnant et lourdement silencieux en forme de bataille navale et aérienne. Film de guerre et surtout de survie, où peur et tension sont viscéralement tangibles, grâce à un montage savant, alternant 3 moments de cette vaste opération militaire, par ailleurs étroitement resserrée dans le temps. Ici, point 'histoires personnelles, point de trajectoires individuelles,ni même de noms, une déréalisation totale de l'être humain, réduit à un animal aux abois pris dans la tourmente du sauve-qui-peut général. Avec çà et là de ces actes irraisonnés qui font l'héroïsme...

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Un scénario d'une précision exemplaire, une photographie splendide, une écriture concise et sobre, qui font comme un écrin à la froide passion du personnage incarné par une Florence Pugh toujours magistrale. Excellent!

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Glaçant... et parfaitement maîtrisé!

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Quel petit bijou de film d'animation! Pixar a encore fait fort avec la trajectoire de cet enfant, qui nous parle du lien transgénérationnel, de la nécessité de se situer dans une histoire familiale, et de ne pas oublier d'où on vient.

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Une réalisation sans failles, une vraie écriture cinématographique. Ridley Scott s'est emparé d'un simple fait divers, qu'il s'est totalement approprié, pour produire à la fois un thriller efficace et une réflexion sur l'argent, le tout sur un fond musical d'opéra qui sert la tragédie qu'il nous raconte. Quant à Christopher Plummer, il fait froid dans le dos dans le rôle de ce personnage machiavélique.

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Rien à redire, un petit bijou de film, intelligent, drôle, bénéficiant d'une bande-son enjouée, très rockn'roll et de trois actrices pleines de surprises et de punch... Un gros coup de coeur!

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D'une richesse et d'une puissance inouïes! Du très grand Scorsese!

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Un thriller hypnotique, à l'esthétisme superbe, qui distille à doses homéopathiques de quoi nous faire froid dans le dos et nous perdre dans les méandres de l'âme humaine et de ses rêves les plus fous. Classieux et abondamment référencé. Passionnant!

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Tom Ford signe là un film d'un esthétisme irréprochable,rappelant parfois celui de "The Neon Demon"et qui traduit la vision artistique du réalisateur. Au-delà du récit d'une vengeance, il y a le portrait en creux, judicieusement nourri par la mise en abyme d'un thriller, de l'héroïne, superbement interprétée par Amy Adams. Jake Gyllenhall est parfait, à son habitude. Une oeuvre intelligente et riche de sens, à laquelle il manque juste un peu d'émotion.

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Un beau film, à l'esthétique soignée, et porté par un Joaquin Phoenix exceptionnel.

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Un film ambitieux et riche, monté comme un dédale où le spectateur doit retrouver le fil d'Ariane des intrigues qui s'y tissent et s'y croisent, comme un jeu de piste extrêmement intellectuel et savant. Les dialogues sont magnifiquement écrits, l'ensemble se fonde sur des jeux de situations et de langages sans cesse antithétiques. Marion Cotillard, vénéneuse et pathétique à la fois, et Charlotte Gainsbourg, toute en intériorité, composent une partition brillante. Un bémol :l'écriture de la fin ne m'a pas semblé à la hauteur.

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Une superbe histoire d'amour sur fond de fresque historique. La reconstitution minutieuse de l'Amsterdam de l'époque et de son ambiance force le respect, et l'interprétation d'Alicia Vikander est pleine de senisibiillté et de passion.

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Des effets spéciaux saisissants, qui lorgnent du côté de l'onirisme de Spielberg, au service d'un conte magnifique, mélange de réalité cruelle et de féerie salvatrice, pour un jeune garçon ( merveilleux et tellement juste Lewis McDougall ) qui trouve dans les histoires et les dessins de sa mère ( Felicity Jones, bouleversante de douceur ) la force d'affronter l'inacceptable. Un film comme une aquarelle à l'encre délavée... à la couleur des larmes qu'il nous tire, et une ode à la puissance de l'imagination et de la parole.

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D'une grande humanité, ce 1er film de Grand Corps Malade réussit le tour de force de ne rien nous épargner sur le handicap tout en ne versant jamais dans le pathos et en nous faisant rire, et souvent aux éclats. Chapeau! D'autant plus qu'il bénéficie d'une vraie écriture scénaristique, de plans photographiques signifiants et d'une distribution formidable, de Pablo Pauly, excellent, à Soufiane Guerrab, d'une grande justesse, en passant par la lumineuse Nailia Harzoune.

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Subtil, pudique,délicat,mais aussi intense, servi par une très belle photographie, un film riche de la présence magnifique de Romain Duris et de Marine Vacth. La plus belle histoire d'amour absolu qu'il m'ait été donné de voir. Un moment de grâce!

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Excellent scénario d'Yvan Attal. Daniel Auteuil et Camelia Jordana sublimes. Un hymne à la langue française d'une grande richesse. Je me suis régalée!

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Un très bon film,original, monté comme un thriller, qui met en scène l'affrontement de deux êtres que tout oppose. Marina Foïs est formidable, comme d'habitude, et Matthieu Lucci remarquable.

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Un bon film, même s'il est très académique dans sa réalisation. J'ai regretté que Barbier se soit contenté d'une illustration, certes d'une grande fidélité, plutôt que de s'approprier l'oeuvre de Gary. Il n'en reste pas moins que la photographie, très soignée, le montage et les interprètes donnent du souffle et de l'émotion à l'ensemble. Mention spéciale pour Niney, hallucinant dans ses scènes de "folie" et surtout, surtout, Charlotte Gainsbourg, éblouissante!

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Alors, oui, le scénario est brouillon, oui, Dane De Haan est très moyen dans le rôle-titre, mais Cara Delavngne est divine et on plonge dans une féerie visuellement parfaite! A condition, peut-être, de la regarder avec des yeux d'enfant... ce que j'ai fait tout du long!

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On retrouve dans ce film les thèmes chers à Klapisch, la fraternité, la solidarité, le lien social... qui ont fait le succès de "L'auberge espagnole" et autres. Moins de fantaisie débridée dans cet opus mais davantage de maturité dans l'écriture. Et toujours le même amour des personnages, parfaitement bien construits, et qui nous touchent. On peut ajouter une bien belle conception d'une France métissée réunie pour faire la fête autour de nos vins, Vraiment un joli film!

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Un film déroutant. Trois strates de lecture : d'abord un thriller très classique, voire bourré de poncifs ( ou de clins d'oeil, c'est selon ), dont on se désintéresse assez rapidement malgré le jeu de caméra, très anxyogène, qui colle à la peau de Jennifer Lawrence. Ensuite, on est intrigué par les références bibliques continuelles et on commence à se dire qu'Aronofsky nous a bien baladés depuis le début et que non, finalement, ce n'est pas un thriller. Ou plus exactement que le genre du thriller n'est qu'un outil que le réalisateur a utilisé pour faire passer un message bien plus personnel. Au 3ème niveau, on comprend enfin : ce film est une métaphore du travail de l'artiste-démiurge, et la Mother l'Inspiration incarmée. Brillant! Savant! Mais une oeuvre difficile d'accès, étrange et dérangeante.

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Un premier film à la réalisation certes classique ( sauf dans sa partie africaine, à l'atmosphère étonnante ) qui traite des lendemains de la Grande Guerre, des traumatismes de ceux qui en sont revenus, avec force et finesse à la fois. Romain Duris apporte à son personnage une présence fiévreuse et séduisante, mais il est souvent éclipsé par la puissance de jeu de Grégory Gadebois, absolument fabuleux dans son rôle de muet. Rien que pour lui, et pour ces deux trajectoires humaines de 2 frères rescapés, qui touchent en plein coeur, le film mérite d'être vu.

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Un polar bien mené, une atmosphère bien plantée, des dialogues riches de sens ( notamment dans la réserve indienne ) et un Jérémy Renner très convaincant.