Top 26 James Bond

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Se situant au début de la vague actuelle des reboots cinématographiques, Casino Royale remporte le challenge avec fracas, faisant fi de toute cohérence chronologique pour nous offrir un divertissement d'une rare qualité. Les producteurs ont eu les couilles de risquer de se mettre une bonne partie des fans à dos, et ils ont été jusqu'au bout de leur intention. Merci à eux !

"Veuillez m'excuser, cette dernière main a failli me tuer..."

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LE James Bond par excellence. Un délicieux parfum Hitchockien imprègne ce déferlement de classe, de magouilles gouvernementales et de scènes cultes.

Sean Connery IS James Bond.

"Du vin rouge avec le poisson... J'aurai du me méfier d'une pareille hérésie."

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Difficile de placer Skyfall avec si peu de recul. Néanmoins, quelle claque ! Certains Bond ont une meilleure photographie que d'autres, une meilleure bande-son, un scénario plus poussé... Skyfall a tout à la fois. Avec en prime, une émotion qu'on n'avait pas connu depuis Au Service Secret de Sa Majesté. Carton plein !

Décidément, Daniel et Sean se livrent une rude bataille dans mon coeur !

"Take the Bloody Shot !"

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Un Bond méconnu, un acteur principal (qui n'en était même pas un, à vrai dire !) boudé... Et pourtant, une des meilleures aventures de 007, qui s'humanise un ptit coup après la période Connery. Côté technique, un montage diablement efficace, surprenant pour l'époque, et des scènes de ski à couper le souffle. La classe.

Bond, regardant la fille qu'il vient se sauver prendre la fuite : "Ça, ce n'est jamais arrivé à l'autre."

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Un exemple parfait du cocktail bondien, entre légèreté et menace planétaire. Moore au top de sa forme. "Nobody Does It Better", sans doute une des meilleurs chansons titre des Bond. Et ce putain de saut à ski ! Du plaisir en barres.

"Mais James, j'ai besoin de toi !"
"L'Angleterre aussi !"

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Après 6 ans d'absence (et, au passage, la fin de la guerre froide, ce qui est quand même super ballot pour notre personnage), 007 revient en force avec le meilleur des Brosnan. Une ambiance unique, hantée par le passé et la bande-son d'Eric Serra. Une excellente cuvée !

"Ici le colonel Ouroumov ! Sortez mains en l'air !"
"Très original..."

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Un Sean Connery on ne peut plus détendu sauve le monde sous nos yeux en traversant des paysages de cartes postales. Cette quatrième aventure fut l'apogée de la Bondmania. Un personnage de film a-t-il déjà eu autant de charisme ?

"Ce fusil est réglé pour une femme..."
"Vous vous y connaissez en armes, M. Bond ?"
"Non... Je m'y connais un peu en femmes."

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La meilleure prestation de Moore, qui conserve sa légèreté tout en se réconciliant avec la dureté du personnage original. Un très bon film d'espionnage, tout en tension et subtilité (bon ok, pas la scène d'ouverture).

"Pardonnez-moi mon père, car j'ai péché."
"Un bel euphémisme, 007 !"

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De nombreux éléments marquants ont contribué à faire de ce 007 une référence bondienne : la DB5 gadgetisée, le terrible Oddjob, et les efforts notables de M. Goldfinger pour offrir une mort divertissante à ses victimes. Après deux aventures relativement "réalistes", rien ne va plus (pour notre plus grand plaisir).

"Tu portes toujours cette arme sur toi ?"
"Oui, un petit complexe d'infériorité."

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Mon plaisir coupable en ce qui concerne Bond. Pas bien subtil, mais une avalanche d'action parfaitement orchestrée et plutôt jouissive.

"Les bonnes nouvelles sont les mauvaises nouvelles."

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Les meilleurs Bond sont souvent ceux qui s'éloignent de la formule classique, et Permis de Tuer en est un bon exemple. Bond démissionne et part en roue libre. En deux films, Dalton a donné une nouvelle dimension à 007.

"Qu'est ce qu'on fait de l'argent, patron ?"
"Tu le blanchis."

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Entrée sympathique de Roger Moore, qui divisera grandement les fans. Un rafraîchissement bienvenu après la période Connery qui s’essoufflait.

"Tu es si belle que les bras m'en tombent."

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Ouf ! Après 7 Moore (dont les derniers devenaient un peuuuu ridicules), Dalton vient donner un nouveau souffle à la franchise. Un peu trop tôt, si on en croit les résultats au box office. Belle entrée pour Timothy Dalton, cependant !

"Finalement le violoncelle va nous être utile !"

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Un bond divertissant et plein de bonnes idées. Moore en fait sans doute un peu trop, mais on lui pardonne bien volontiers. Le film est rythmé et plaisant à suivre.

"Vous avez la déplorable habitude... de survivre."

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Le début de tout... Malgré un petit budget (un million de dollars), le film parvient à créer une ambiance aujourd'hui délicieusement rétro. Tous les codes ne sont pas encore en place, mais ce bon vieux James Bond Theme et Ursulla Andress sur la plage feront bien l'affaire.

"C'est un Smith et Wesson... Et vous n'aviez que six coups."

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Soudainement, Sean Connery s'ennuit ferme et ne le cache même pas à l'écran. Bond est devenu un poids dont il se débarrassera bientôt. Reste la démonstration que 007 est l'homme pour nous faire voyager (et que Ken Adam est un sacré décorateur, non d'un volcan).

"On ne vit que deux fois, M. Bond..."

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Une anomalie dans le paysage Bondien. L'histoire d'un Bond malade, aveuglé par la vengeance. Le malaise du personnage entre en résonance avec la production plutôt chaotique du film, en pleine grève des scénaristes. Il fallait oser !

"I don't think dead care about vengeance".

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Ce film parodique est tellement déjanté qu'il force le respect. Vous n'avez qu'à compter les réalisateurs pour avoir une petite idée du bordel complet que représente cette oeuvre qui réunit les plus grandes stars (David Niven, Peter Sellers, Orson Welles, Ursula Andress, et même Belmondo !). Un tournage chaotique pour un résultat vraiment, vraiment perché.

"Who is Le Chiffre?"
"Nobody knows, not even Le Chiffre."

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Ah ! Le Bond que j'adore un jour et que je déteste le lendemain. Kitsh à souhait (les Beach Boys dans la scène d'ouverture, un sacré traumatisme). Moore frise la soixantaine et n'est plus crédible une seconde. Reste ce sacré Christopher Walken, une bande son sympa et quelques blagounettes pas piquées des vers.

"Qu'est ce qu'il y a la dedans ?"
"Du gros sel."
"C'est fin !"

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Après la poursuite ahurissante sur la Tamise en ouverture, difficile de maintenir le niveau... Malgré quelques bons points, Le Monde ne suffit pas devient bien vite ennuyeux. Dommage.

"You won't kill me. You'll miss me."
"I never miss."

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Ce film est incroyable tant sa première partie est de bonne tenue, et tant la seconde donne envie de vomir face à une soupe numérique absolument répugnante. Triste fin pour Pierce !

"Time to face destiny."
"Time to face gravity !"

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Sean aurait peut-être mieux fait de s'en tenir à ce "plus jamais", qu'il aurait prononcé à la fin du tournage de "Les diamants sont éternels". Problème de droits obligent, pas de James Bond Theme. Ajoutez à cela une réalisation plutôt plate, et le résultat est bien terne. Décevant de la part de Kershner (L'empire contre attaque).

"Oh, je vous ai tout trempé !"
"Oui, mais mon martini est resté sec."

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James Bond dans l'espace. Faut-il en dire plus ?

"Do you know him ?"
"Not personally. His name is Jaws, he kills people."

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Un film relativement plat, qui s'applique à tuer dans l’œuf chacune des scènes qui aurait pu être excitantes. John Barry, tu m'as beaucoup déçu (les connaisseurs comprendront !). Triste résultat, malgré la présence de l'excellent Christopher Lee. A noter une dimension nanardesque qui a au moins le mérite de faire rire...

"Goodnight Sir."

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Après le bide monumental de George Lazenby, Connery reprend du service, ayant peut-être besoin de renflouer son portefeuille. Mais la période où il nous vendait du rêve est finie. Dis-moi Sean, si tu te fais chier faut le dire hein ? Bon, il reste les décors... Hum non, pas terribles. Blofeld ? Hum non, ridicule. Ah, je sais ! Shirley Bassey (Diamonds Are Forever, Foreveeeeeer)

"Vous venez de tuer James Bond !"

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Un téléfilm qui a le mérite de vous permettre de briller en société, en déclarant que James Bond fut porté pour la première fois à l'écran 8 ans avant l'arrivée de Sir Connery ! Et avec Peter Lorre dans le rôle du Chiffre en prime.

"Aren't you the fellow who was shot?"
"No, I'm the fellow who was missed."