Top 10 Jeux vidéo selon Sajuuk

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Halo 1 c'est l'évocation d'un souvenir fort de jeu vidéo, une de mes premières claque vidéoludique pour ma petite tête d'adolescent.
Si Half Life 1 avait initié mon envie de me perdre dans les univers que cet art nous propose, Halo 1 aura été la première œuvre à m'absorber dans un univers fictif à ce point.

En dehors d'une prouesse technologique, sans contestation possible, lors de sa sortie, Halo 1 aura élevé la scénarisation dans un FPS à un niveau que peu de jeux avaient tenté précédemment. Nous étions passer au delà d'un monde virtuel fermé et cantonné à un level design étriqué et centré sur des lieux d'un même ensemble, Halo c'était enfin la possibilité d'avoir un univers de FPS vaste et profond ouvert sur l'espace et une sensation de liberté et voyage folle, fortement conforté par la direction artistique et bien sûr cette BO magistrale.

Halo 1 reste une part de ma vie, virtuelle et réelle, importante, une pierre angulaire de ma passion du jeu vidéo qui m'a fait réaliser à quel point ce medium pouvait nous offrir des vrais moments d'évasions dans des univers lointains.
Et je ne remercierai jamais assez ce cher membre de ma famille de m'avoir prêté sa Xbox et montré que peu importe la plateforme on est tous ici pour découvrir les plus belles œuvres, manette ou souris en main.

Critique pour son 20ème anniversaire : https://www.senscritique.com/jeuvideo/Halo_Combat_Evolved/critique/200758640

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Je pense que la position de ce The Witcher 3 est avant tout dû à un concours de circonstances.
Dans une période de ma vie assez creuse en JV et une perte assez importante d'intérêt pour la majorité d'entre eux, je me suis lancé dans celui-ci sans aucune attente particulière en cela que je ne connaissais pas du tout la série, ni jeux, ni livres.
Ce fut un choc frontal et une expérience unique qui par chance, prit place juste avant mon expatriation, ce qui m’a donné tout le temps pour apprécier et parcourir cet univers grandiose, d’une seule traite et au rythme que je le souhaitais et ce n'était pas une mince affaire vu ce que nous a délivré CD Projekt.
Je ne remercierai jamais assez CD Projekt de m’avoir redonné l’envie du JV, riens de moins, et pour avoir secoué l'industrie du triple AAA qui en avait bien besoin…Un monde ouvert qui est une ode au voyage et une écriture qui n'est et ne sera certainement jamais égalée à cette échelle. Un alignement des planètes, les bonnes personnes ensembles au bon moment qui nous ont livré cette œuvre d'art.
Une pensée au crunch de dingue qu'ont dû subir les développeurs mais vous avez créé un chef-d'œuvre, le mot n’est pas trop fort.

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Honnêtement que dire de plus sur Half Life ?
Tout a été déjà dit et gare à celui qui n’en parlerait pas en bien, une volée de Gabe’s fan s’abattra sur vous.

Sortie en 1998 déjà, et pourtant toujours le sentiment d’y avoir joué hier… Peut-être, car il fait partie de mon rite annuel de jeu à refaire. Il ne vieillira jamais, c’est simple.

Comme expliqué dans l'en tête de la liste je préfère mettre en avant ce premier épisode simplement car je considère que c'est à partir d'Half Life 1 que le JV à réellement commencé pour moi, dans une sphère au delà du loisir mais bien plus d'une vraie passion et même si en 2004 avec Half Life 2 ma mis une claque monumentale Half Life 1 à une place particulière dans mon cœur de joueur, cependant les deux pourraient facilement être commuté dans ce top.

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Ah Dark Souls, soyons clair je n'ai rien d'intéressant de plus à dire que les millions d'articles ou vidéos sur la série et à vrai dire je suis plutôt néophyte des From Software (quand j'ai écris ces lignes en 2019) mais que diable fait ce jeu ici si ce n'est qu'il me trotte encore dans la tête après tout ce temps.

Dark Souls de part son engagement, requiert une telle attention qu'on se retrouve comme à modeler notre cerveau pour saisir chaque ficelle et embranchement pour appréhender l'œuvre sous tous ses aspects.
Cet engagement viscéral fait que si l'on est un tant soit peu sensible au travail de génie graphique et de Game design que Miyazaki-san et ses équipes ont produit, cela ne peut que déboucher sur une claque si puissante qu'on en vient à n'être plus le même joueur et j'oserai même dire, la même personne après une telle aventure.

Dark Souls est un morceau d'histoire du JV, il y a eu un avant et un après, une œuvre qui aura su absorber tant de matériaux de la culture humaine au sens large et à agencer cela de manière unique, qu'elle aura créé elle-même une nouvelle source d'inspiration dont seuls les quelques génies de From Software comprennent les tenants et aboutissants, longtemps copié jamais égalé.

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La trilogie Mass Effect, c’est certainement la saga qui m’aura le plus bouleversé et dans sa globalité celle dont je suis le plus attaché, mais si je devais en choisir un seul parmi ces trois là (Andromeda connais pas désolé), cela serait le deuxième épisode sans l’ombre d’un doute.

J’ai tout simplement trouvé l'écriture du scénario et son exécution d’une quasi perfection au point que je ne trouve rien n'a lui redire, un opening à couper le souffle, les Récolteurs, l'Homme Trouble et un final sous tension qui fait perdre patience à tout homme normalement constitué, littéralement absorbé par l’aventure.
Toute la maîtrise du Bioware qu’on aimait, RIP.

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Visionnaire s'il en est, Deus Ex cristallise tout ce que le jeu vidéo peut nous apporter d'enrichissant.

Véritable œuvre à la frontière des genres, il marque l'apogée de l'immersive sim.

Enrobé dans un scénario que s'il pourrait paraître cliché sur le papier, se trouve finalement très ancré dans la réalité au point que cela en devient presque perturbant.

Comme pour chaque page d'un 1984, chacune des conversations avec les PNJ vous fera dresser les poils et réaliser à quel point ce jeu avait réellement 20 ans d'avance, d'autant plus en cette année 2020...

Comme une anomalie ou alignement des planètes Deus Ex reste un jeu offrant tant de possibilités et liberté d'action que la majorité de ce que l'industrie produira par la suite n'égalera pas ou peu ce chef d'œuvre.

Un incontournable qui vous marquera profondément.

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Silent Hill 2, près de 20 ans pour enfin mettre les mains dessus, souvent propulsé au rang de meilleure production vidéoludique de tous les temps, s’attaquer à un pilier du genre d’on vous avez déjà entendu tonnes de choses positives à son sujet est un jeu dangereux car la déception peut être énorme. Beaucoup me demanderont si Silent Hill 2 reste pertinent aujourd'hui ? Il ne l’a jamais autant été et il le sera toujours au vu des thèmes abordés.
C’est certainement une aventure qui prend aux tripes non pas par des jump scares et autres artifices mais par son traitement de la psyché humaine, avec une manière de raisonner différente pour chacun d'entre nous suivant sa propre expérience personnelle. Silent Hill 2 peut faire mal ou au contraire servir de traitement, une fois la manette posée on y réfléchit beaucoup, à propos de lui mais aussi et surtout à propos de nous, dans un monde ô combien oppressant, face à une longue descente vers nos démons intérieurs et surtout notre destin.
La ville de Silent Hill personnage à part entière nous délivre ses vérités au fur et à mesure grâce à un game design d’on on ne trouve rien à redire. Au-delà de sa technique qui relève du miracle en 2001 Silent Hill m’a surtout marqué par son ambiance sonore oppressante, complétée par ses doublages qui ne font que renforcer notre sentiment de mal à l’aise. Le jeu est court, environ 8 ou 9 heures, mais le voyage n’en est que renforcé car à la manière d’un long film, les 8 heures qui s'écoulent pour James seront les mêmes que pour vous, noyé au coeur de l'oeuvre on a rarement été autant projeté dans un monde virtuel de la manière que Silent Hill 2 le fait.
On peut passer des heures à analyser cette œuvre, au travers de ses personnages, des monstres et des lieux, Silent Hill 2 regorge de thèmes profonds et de détails qui ne peuvent être que abordés de manière complexe et incontestablement nous emmènent sur un terrain glissant du spoiler.
Silent Hill 2 à quelque chose d’insondable, de mystique, qui tort tout ce qu’on pense être la forme d’un jeu vidéo traditionnel, même l'accès à ses différentes fins méritent à elles seules un 10 sur 10, tant elles débordent bien au delà des choix binaires communs du JV.
A vrai dire je pense que Silent Hill 2 dépasse allègrement le cadre du médium vidéoludique, c’est certainement une oeuvre que chaque personne se doit de faire dans sa vie, car après cela le monde qui nous entoure n’est plus tout à fait le même, comme bloqué à Silent Hill...

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Sacré morceau (de chair) qu'est ce Dead Space. Le trip ultime de SF/JV/Horreur, unique en son genre et novateur sur plus d’un point Dead Space aura à tout jamais une grande place dans mon expérience de joueur.
Véritable bouffée d’air frais dans un genre qui commençait à s'essouffler, Dead Space a initié un retour de nombreux jeux d'horreur pour notre plus grand plaisir.

Trouvant le parfait équilibre entre action et frousse, le premier de cette trilogie restera l'épisode de plus abouti avant qu'EA n'impose un cahier des charges qui viendra comme à son habitude ternir petit à petit la saga même si le 2 reste encore très bon.

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Un jour je trouverai le temps d'écrire une critique...Quand un type vous accroche plus de 100 heures à un jeu alors que vous passez 90% du temps à marcher c'est qu'il a, lui et ses équipes, forcément du talent.

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Elden Ring n'est pas le From Software parfait auquel certains s'attendaient mais il n'en est pas moins le plus abouti. Comme ces ainés il y aura toujours des points à discuter mais jusqu'à aujourd'hui From Software nous avaient habitué à si grandiose que nous surprendre encore aurait été un exercice périlleux que beaucoup n'auraient pas tenté. Malgré cela Elden Ring est bel et bien l'aboutissement d'une formule longuement élaboré durant ces dix dernières années, le tout construit d'un monde immense et riche démultipliant les possibilités d'échecs mais que From Software à soigneusement évité nous livrant une œuvre qui définit ce que devrait être un vrai monde ouvert, proposant un vraie liberté.
Elden Ring a dépassé allègrement les espérances, artistiquement, techniquement (un saut de géant depuis Bloodborne), sa diversité, la cohérence de son univers mais aussi son histoire laissant encore plus d'indices en chemin, celle-ci comme à l'accoutumée donne envie d'explorer les moindres recoins à la recherche du détail à partager avec la communauté.
Il est maintenant temps pour From Software de clore le chapitre Dark Fantasy et des Souls pour répartir à la manière d'un Sekiro vers un univers et des mécaniques de jeu différentes.
Avec Elden Ring le paroxysme du genre a été atteint et les joueurs ont répondu positivement, gage From Software sera s'appuyer sur cela pour nous surprendre encore.

Je juge qu'Elden Ring est assez différent de la série des Dark Souls, ne serait ce que par ses ambitions démesurées, pour figurer dans ce top.

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#11

L'avis complet dans la critique ci-dessous.

https://www.senscritique.com/jeuvideo/alien_isolation/critique/200481478

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#12

Cette ambiance...inimitable.

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#13

Parceque des années de vie à suer sur ma Gameboy et sourire avec mes amis, que des souvenirs mémorables.

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#14

On me demande souvent pourquoi j’ai mis tant de volonté à vouloir m'expatrier en Asie et même si il y a de multiples raisons sûrement bien plus terre-à-terre, je pense que cela vient aussi d’une part de mon subconscient et ce Final Fantasy X y tient une place toute particulière.

Cela fait très Otaku de dire cela mais ne m’en voulez pas, il y a trop d'émotions qui me traverse à l'évocation de ce jeu qui symbolise l’amour que j’ai dans de nombreuses choses ici.

Fait uniquement à l'époque sur PS2 j’ai toujours eu une forte envie de le refaire, mais aussi une grande appréhension à le relancer sur les consoles actuelles de peur de détruire le mythe qui s’est créé dans mon moi adolescent, sacré dilemme.

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#15

Que pourrai-je bien dire sur cette merveille qu’est Soma ? Rien d'autre de plus pertinent en dehors de tout ce qui a été dit.
Soma est certainement le jeu vidéo avec l’un des, ou si ce n’est le meilleur scénario que j’ai eu la chance d’approcher. Le genre d'œuvre qu’on aimerait effacer de notre esprit immédiatement après le générique de fin pour la refaire avec le même plaisir que précédemment.
J’ai attendu bien trop longtemps pour faire celui-ci, malgré la montagne d’avis dithyrambiques que j’ai pu lire dessus, et c’est bien dommage, alors je ne vous conseille qu’une chose, foncez.
Soma n’est pas un jeu d’horreur comme les autres, l’horreur ne se manifestant pas directement sous les yeux du joueur ou partiellement, mais plutôt majoritairement dans sa tête, et cela même après la fin de l’histoire. Il faut simplement le vivre pour le comprendre.

Le gameplay est à la fois sommaire et profond (comme les abysses ou vous serez amené à aller), rares sont les jeux qui immergent la personne derrière son écran de manière si impactante et physique.
L’ensemble de l’aventure respire la méthodologie diégétique qui consiste à tout fusionner de manière parfaitement cohérente, on oublie très rapidement son clavier et sa souris, mention spéciale pour les puzzles qui ne semblent jamais en être réellement, tout cela en osmose avec un travail sonore stratosphérique.

Un jeu aux sujets si existentiels qui dépassent allègrement le cadre de l’œuvre, il n’y en a pas des tonnes (Silent Hill 2), d’autant que Soma n’aurait jamais pu exister différemment et c’est pour cela que je suis toujours autant amoureux de ce médium après plus de 30 années, Soma résonne comme il ne le ferait pas sous un autre format.
Voilà ça sera tout sur ce chef-d'œuvre (le mot est lâché.), faites-le, et imprégnez-vous du reste sur la toile ensuite, une fois que celui-ci aura redéfini votre manière de voir votre environnement, vos certitudes sur la conscience, la vie et la logique d’identité. Rien que ça.

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#16

L'avis complet sur le deuxième épisode de la série dans la critique ci-dessous.

https://old.senscritique.com/jeuvideo/homeworld_2/critique/201593598

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#17

Si j'avais adoré l'épisode de 2016, il restait objectivement encore des imperfections de jeunesse si on peut dire, dans le sens où ID Software avait tout à réapprendre de la série et sa façon de la remettre au goût du jour. La dernière partie du jeu était à mon avis bien en deçà du reste, en particulier sur son level design qui avait déjà tendance à se répéter en progressant dans l'aventure, et le boss de fin n'était pas nécessairement remarquable.
Mais avec Doom External, ID Software rappellent à tout le monde qu'ils sont les maîtres du genre avec une aventure construite de manière exemplaire, pensée et modelée au millimètre près. Naturellement là où on trouve une évolution remarquable c'est sur le level design, si celui-ci fonctionne encore avec un système "d'arènes" il est ici plus naturel et mieux intégré avec le reste des niveaux, qui sont plus vastes et plus ouverts que Doom 2016. La linéarité est toujours présente par moment mais c'est au service d'un gameplay qui touche ici la quintessence de ce qu'on peut faire avec un fast shooter, un deuxième épisode qui semble être Doom 2016 accéléré à 200%, avec des arènes plus "organiques" qui agissent autour du joueur.
Dans une volonté plus arcade, ID fait le choix d'avoir un jeu à l'ancienne, avec power up et autres qui tournent au-dessus du sol en couleurs et bien flashy. Le combo sauvage de gestion de santé, armure et munitions intrinsèquement lié au gameplay relève du génie. On devra en permanence et avec rapidité décider sur quel ennemi se jeter et avec quelle arme pour récupérer un de ses trois éléments qui viendrait à manquer.
Plus on avance, plus contrôler le Slayer devient grisant de plaisir, maîtriser la bête et vous ne toucherez presque plus le sol, virevoltant de monstre en monstre jouant la partition du gameplay de la meilleure manière.
La difficulté se retrouve relevée par rapport à l'épisode de 2016, Eternal n'a aucune pitié même en cauchemar (niveau de difficulté 3 sur 4), il faudra s'accrocher sur la fin du jeu mais ce n'est que pur plaisir de pousser le joueur à apprendre chaque recoin de la carte/arène pour gérer au mieux l'apparition sans fin des apôtres de l'enfer.
Visuellement dans sa version avec raytracing c'est un bonheur pour les yeux, supporté par une DA exemplaire qui se renouvelle tout au long de l'aventure.
C'est un véritable coup de cœur qu'est Eternal, à consommer sans modération.
Conditions test : i5 11600K/ RX7900XT

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#18

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#19

L'avis complet dans la critique ci-dessous.

Lisez là, j'y ai passé des jours x)

https://www.senscritique.com/jeuvideo/Mother_3/critique/230537188

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#20

L'avis complet dans la critique ci-dessous.

https://www.senscritique.com/jeuvideo/dusk/critique/202562519

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Mention honorable

Dark Souls 1 est déjà dans le haut de ce TOP mais légère exception pour Bloodborne qui ne fait pas parti de la série des Souls et que je juge suffisamment différent pour avoir deux From Software dans cette liste, dont celui-ci en mention honorable.