TOP 10 des Meilleures Bandes Originales de 2016

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Le retour du grand James Newton Howard, qui nous met une claque monumentale tant cette bande originale est un concentré d'émotions. Le compositeur nous offre une oeuvre écrite avec sincérité et avec du coeur, et ça s'entend.

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Bear McCreary accomplit l'exploit de surpasser sa bande originale composée pour la saison 1, qui s'était tout de suite imposée comme un must-have. Cette oeuvre est un exemple en terme de continuité narrative, tant McCreary réemploi ses différents thèmes avec une aisance incroyable, tout en insuflant de nouveaux thèmes tous plus beau les uns que les autres. Vivement la saison 3 !

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Le retour du maitre Ennio Morricone, qui plus est sur le nouveau chef d'oeuvre de Quentin Tarantino. Que dire de plus. A part que le compositeur n'a aucunement perdu de sa superbe, et insuffle au film une grande part de son ambiance, et donc de sa réussite. Un oscar amplement mérité, chapeau bas l'artiste.

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Michael Giacchino à un certain don pour écrire des bandes originales qui savent à la fois être décomplexées, sans pour autant omettre la part dramatique du récit. Ce Doctor Strange en est un brillant exemple, tant son thème musical transpire la coolitude par tous les pores, alliant un mélange d'instruments inhabituels (clavecin, sitar, orgue pour ne citer qu'eux) et même de sons manipulés. Prises de risques à saluer donc, surtout pour un Marvel !

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On ne présente plus John Williams. Pas besoin. Et quand il sort un nouvel album, on la ferme et on écoute le maître. Après un Réveil de la Force flamboyant, John Williams confirme qu'il est encore le maître à bord en proposant un conte musical dont la narration et l'écriture confine au génie. Comme d'hab en fait.

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Accompagné de Junkie XL, Zimmer continue son exploration du mythe de Superman, de Batman et de l'univers DC dans son ensemble. La partition brille par son côté brut, sauvage, et sans concession. Un conte noir, bruyant, massif et torturé aux dimensions mythologiques.

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Devant remplacer au pied levé Alexandre Desplat, Giacchino n'a eu qu'un mois pour composer la musique d'un nouveau Star Wars, avec la pression monumentale de passer après le maestro John Williams. Défi réussi de façon impressionnante, tant la sensibilité du compositeur (sans égaler le maître, ça va de soit) arrive à transcender le récit grâce à de nombreux thèmes et ambiances travaillées dans la droite lignée des autres Star Wars.

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Lorsque la musique prend pleinement part à la narration. Tout l'intimisme de cette oeuvre touche au plus profond le coeur du spectateur et de l'auditeur pour ne plus le lâcher, et participe à l'effet coup de point du film.

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Ramin Djawadi se surpasse, faisant évoluer tous ses thèmes de manière magistrale, veillant avec soin à la cohérence narrative de l'univers musical qu'il construit depuis la saison 1. Notons par ailleurs le chef d'oeuvre "Light Of The Seven", long adagio plaçant cette bande originale comme la meilleure et la plus aboutie de la série jusqu'à maintenant.

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Zimmer passe en mode expérimental dans cette bande originale pour le moins "éléctronique", nous prouvant ainsi qu'il pouvait passer outre son style habituel. Beaucoup de bonnes idées et de prises de risques pour un résultat percutant et ... déroutant.