Top 10 de mes Jeux de la Décennies (2010 à 2019)

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https://twitter.com/Clelest/status/1163445301056802816
Que dire sur Persona 5, à part que c'est un JRPG qui à tout compris de la perte d'aura qu'avait le genre fin de la dernière décennie ? Et ça c'est niveau Gameplay, parce que niveau histoire c'est encore plus ouf. Rares sont les jeux à entrer autant en résonance avec notre monde, à filer son propos au point que quasi tout les sujets abordé se rejoignent et font partie d'un tout.
L'univers musical y est d'ailleurs excellent, très funky et jazzy inspiré du genre Acid Jazz avec bien entendu, quelques petit riff de gratte pour faire plaiz aux metaleux.
Persona 5 est le jeu de cette décennie, sans conteste il règne !

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Katana ZERO, c'est l'histoire d'un jeu qui a été poussé vers la pâte Hotline Miami, et sans faux pas que fera le très moyen My Friend Pedro, à dépasser le maitre de Devolver Digital... enfin dans ma tête.
Déjà en cette fin d'année, tout le monde semble l'avoir oublié. Dommage.
Parce que Katana ZERO c'est LE JEU m'as fait prendre conscience que oui, Narration et Jouabilité ne sont pas antinomique, que le Gameplay peut servir la Narration de façon parfaite, tout en soulevant des thématiques intéressantes et en offrant une certaine liberté dans la façon de jouer.
Et même si il ne réinvente pas la roue niveau compil' musicale dans le JV (Hotline Miami encore une fois) elles ont le mérite de coller parfaitement à l'univers du jeu, aux sonorité électro à grosse basse !
Rarement rembobiné une cassette aura voulu dire tant de chose !
Katana ZERO est deuxième et pourtant, sachez qu'il frôle la perfection !

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"C'est un bon jeu mais pas un bon Zelda"
C'est que les Zelda n'étaient pas de bon jeux alors, et cette affirmation elle va en faire mal à plus d'un.
Parce que Breath of the Wild, c'est un Zelda, l'incarnation la plus pure du maitre Miyamoto. Une liberté sans nom, des interaction au poil, BotW à sus se servir des nouveaux outils à sa disposition pour transcender une forme ronger jusqu'à l'os d'un Ocarina of Time trop photocopié.
Univers, mise en scène, gameplay systémique, et liberté, c'est ce pourquoi le tout premier Zelda est sortit, et c'est pas parce que vous n'y trouvez plus l'aura que ce n'est plus Zelda.
Et aussi con que sa puisse paraître, jamais aucune scène de JV ne m'a autant émue que celle de l’Épée de Légende, qui n'a pourtant rien d'extraordinaire.
Et pour les musiques bah... suffit juste d'écouter le thème du village d'Euzero, et s'avouer qu'on a rarement fait mieux en terme de musique de JV, avec une cohérence incroyable, qui évite d'exciter une musique pour un rien.
Bref, The Legend of Zelda : Breath of the Wild est un incontournable comme l'a été Final Fantasy VII à son époque, comme Ocarina of Time etc...

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Celeste, avant d'être un jeu au Gameplay exigeant (et pourtant on nous aide), c'est un jeu touchant, une histoire sur la dépression, ses ravages et comment s'en sortir. C'est une métaphore pas très joyeuse et pourtant, gravir le mont Celeste pour remplira d'une force nouvelle. Vous serez étonné de ne pas voir de Souls dans cette liste, mais sachez que ce jeu est mon Souls à moi, qui m'a appris beaucoup plus que le dépassement de moi-même.
Sans parler des musiques incroyable de Lena Raine, cohérente et psychiquement en accord avec l'histoire, capable de faire lâcher une larme avec une seule note changé sur une montée incroyable.
Si un jour Matt lit cette liste, sache que oui, ton jeu m'a aidé à comprendre pourquoi j'allais mieux ;)

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Bravely Default... le regain avant l'heure des JRPG.
C'est le jeu qui à l'époque où tout le monde s'oriente vers l'action, il décide de dynamiser ses affrontements avec un système de jeu novateur et surtout une possibilité de rendre le farming malléable. On veut farmer à un endroit et ne pas affronter d'ennemis dans le donjon ? Possible ! Ajoutons une option pour aller plus vite une fois en combat etc...
Toute l'intelligence du jeu, en plus d'une histoire vraiment bonne, est dans son classicisme assumé, reprenant la formule des job de FF V (et de Dragon Quest ne soyons pas mauvaise langue), en ayant conscience de ses faiblesses et en les outrepassant par des options ergonomiques. Et le monde a suivit puisque tout les vieux JRPG porté sur PC ou Consoles actuelles ont une possibilité d'accélération et de modulation.
Et c'est sans parler des musique que Revo à composer. De A à Z le jeu est incroyable, se permettant même à certaines rêverie tel les musiques durant les Attaque Spéciale, conférant des bonus tant que la musique n'est pas terminée.
Jouez à Brevaly Default, qui à ses défauts (lol) mais qui les compense par une bravoure sans limite !

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C'est l'histoire d'un gars qui était convaincu de tomber sur un Tactical et qui une fois lancer tombe sur un jeu de sport...
Et puis ensuite, le jeu à été une tuerie de A à Z. RPG Sportif, avec un univers très intéressant, des personnages attachants, des musiques incroyable de Darren Korb, un système de jeu très intéressant mais aussi très ardu. Mais ce que Pyre réussi le mieux, c'est sa Narration ! On est transporté en tant que Scribe dans cette quête de liberté aux allures de saison de la Premiere League, envoyant nos plus valeureux compétiteurs détruire ce qui nous a enfermé, nous laissant nous débrouiller avec ceux qui restent. Tel un Valkyrie Profile, Pyre est une œuvre indicible qui après un très bon Bastion et un excellent Transistor, réussi l'exploit d'être une expérience unique, dense et complexe.

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Je vois venir les "fans" "hardcore" de Fire Emblem. Oui c'est pas aussi complexe que les anciens, mais et alors ? La qualité d'un jeu ne se résume pas à sa complexité, par pitié !
Bref, Fire Emblem Awakening c'est mon premier Fire Emblem, avec des personnages forts, intéressant, un Gameplay qui favorise leurs développement par le joueur et justement, c'est ça qu'il y a d'intéressant dans ce jeu. Les relations deviennent un jeu dans le jeu, et optimiser celles-ci, en découvrir plus avec d'autres relations, bah c'est la seule motivation que j'ai eu à refaire encore et encore ce jeu. Parce que le plus important dans cette série qui à pour réputation de te faire perdre définitivement tes personnages dès que les PV arrivent à 0, bah c'est de faire en sorte que le joueur s’implique pour eux.
Bref, c'est un système qui à fait la qualité de ce jeu, Fire Emblem Awakening est LE Fire Emblem de cette décennie !

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Que dire de plus à part "La Musique" ?
Élément beaucoup trop souvent boudé par les Game Designer, s'en servant comme on s'en sert dans le Cinéma, elle trouve dans Crypt of the NecroDancer une utilité dans le Gameplay, le Game Design ET le Level Design. En gros, ce qu'il reste au jeu si on enlève sa musique, c'est des graphismes en pixel art et un système de jeu Rogue-Lite.
Et les compositions de Danny Baranowsky sont excellente et évolutive !
Bref, quand on vous demandera quel jeu musical est votre préféré, vous ne pourrez plus dire Guitar Hero, mais bien Crypt of the NecroDancer (ou Cadence of Hyrule, mix très bien dosé entre ce dernier et la formule Zelda)

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Parce qu'il fallait bien un Tactical, et même si il n'est pas considéré en tant que tel, quel jeu punaise !
L'univers est grandiose, l'histoire intéressante, la narration un peu lente, mais le Gameplay est une tuerie tant à comprendre qu'une fois maitrisé ! Personnages attachants, environnement grisâtre au possible pour dépeindre un contexte Steampunk loin de certains délires un peu improbable du genre.
Vous allez y passer des heures certes, et pas que de bonheur face à certains boss/donjon ou chapitre (qui vous force à ne pas faire avec les mécaniques de combats à 3 personnages !), mais le voyage est inoubliable !

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L'immersiv sim c'est un genre que j'ai connu grâce à Deus Ex Human Revolution. Tout le travail de Warren Spector s'est alors offert à moi et le jeu qui représente le mieux ses expérimentation débuté avec Ultima est Dishonored premier du nom.
Une liberté d'action hors norme, un univers (Steampunk encore) très intéressant et dont le joueur ce doit de s'investir pour en découvrir les ficelles, des phases de jeu très intéressantes, et un réel impact sur le monde qui nous entoure, c'est ça Dishonored, et c'est vachement bien !