Sorties ciné 2023

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Une petite île, un petit microcosme, un entre soi délétère, et deux amis qui se déchirent. Une seule arrivera à se sortir de cette fange où rode la Banshee.

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Le rythme saccadé de la narration brise la photographie magnifique de ce film.

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Un film d'action comme on en voit pas si souvent, consistant à montrer un père prêt à tout pour préserver son fils de la violence d'une guerre insensée. Pas de grand geste héroïque, pas de portrait flatteur, mais la simple histoire d'une relation père fils.

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Une gabegie financière tout entière au service d'un scénario stupide, d'une image ringarde, de personnages bêtes. Un cumul de clichés anthropocentristes, un imaginaire au ras des pâquerettes pour la faune et la flore.

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Dans une atmosphère spongieuse et humide, un prêtre progresse dans un décor qu'il ne connait pas, dans une foi qu'il ne comprend plus, photographiant des habitants qu'il ne voit pas vraiment. La force d'un religieux en mission jusqu'à se perdre dans la vacuité de son propos. Quelle force !

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Un film oubliable, parfaitement marketé pour la TV j'imagine. Les acteurs sont mal dirigés et peu crédibles, les dialogues sont creux. Des poncifs...

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Bon rythme, bonne bande son, scénario intéressant malgré quelques maladresses. Un bon film du dimanche !

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une débauche de moyens pour ce qui se voudrait un hommage, mais qui finit en plagiat de ce qui s'est déjà vu. Quelque part entre l'histoire de Tarantino (Once Upon a Time), les regrets de Spielberg (West Side Story bis), la photographie de Luhrmann (Gastby) Ce film n'apporte rien à la grande histoire du cinéma malgré quelques scènes incroyables.

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Il y avait tout pour en faire une bonne comédie française, dans la lignée d'Antoinette dans les Cévènnes... Et finalement on tombe dans des lieux communs éculés, sans même pouvoir profiter des paysages.

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Sur le papier, tout bien, acteurs, scénario, réalisation... Et pourtant un manque de rythme, de consistance, et finalement, de propos.

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Mauvais acteurs, mauvaises chorégraphies, blagues racistes et/ou misogynes.

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"surprisingly ok"

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Probablement des Marvels récent l'un des plus "cohérents", mais il n'en reste pas moins qu'en dehors du Méchant, les acteurs sont globalement mauvais, les ficelles scénaristiques mauvaises, sans compter la douche de moralisation intrinsèque des super productions américaines.

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Une belle surprise pour un film, qui comme tant d'autres ces temps derniers, rend un éloge discret à son propre genre, le cinéma. De très beaux moments de poésie, une belle illusion, une belle direction. A revoir

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Y aller sans en attendre grand chose et finir étonnée d'une production française qui sort légèrement du canon. La photo n'y est certes pas pour rien, mais au final une histoire qui sait se contenir sans s'éparpiller, touchant effectivement, par sa simplicité.

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Park Ji Min dans Retour à Séoul est un mélange de destruction et de solaire. En errance auprès d'elle-même, le personnage qu'elle interprète rejoue différentes variations de l'abandon sans jamais trouver son équilibre.

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un certain manque de rythme, de conviction. Un traitement parfois à la lisière du documentaire, sans pour autant rentrer dans les enjeux colossaux que représentait alors Areva.

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Un texte pas toujours au goût du jour, des acteurs parfois en surjeu. Un traitement de boulevard, qui reste agréable à regarder mais tombe à plusieurs reprises dans un duel homme femme pas très intéressant ni actuel.

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Il y avait matière à faire un beau film mais les personnages sont si clichés et les scènes si convenues / attendues... On passe à côté des sujets qui semblaient pourtant le coeur du synopsis.

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Une farce horrifique qui fait plaisir à voir, un monstre convaincant, des scènes de foules absurdes et des anti héros qui portent l'histoire à son paroxysme. Le contexte social sert de support à une satire ni subtile ni bourrine, et on rit autant de la bêtise des personnages que de la parodie sociale.

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Rythme, acteurs, bande son... Un cocktail détonnant pour une histoire qui pète pas plus haut que son cul, se concentre sur son essentiel, à savoir du suspense et du sang. Absolument jouissif

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Quelques très rares jolies scènes, dans un fatras mal monté, des personnages mal campés, une histoire branlante. C'est dommage, l'aspect visqueux de ce film lui donnait un sacré potentiel horrifique, dont il ne reste que qlq scènes d'insectes à faire pâlir.

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humour ringard pas toujours facile à supporter. Acteurs perdus dans le fond vert.

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le duo royal illumine le film, par leurs personnages et interprétations. Pour le reste, si la photo et les costumes rendent agréables les 2h de film, il n'en reste pas moins que le choix poussiéreux d'archétype femmes à sauver/espionne sexy/bad guy fait sombrer dans l'ennui. Quitte à avoir modernisé l'ensemble à coup de snipers, pourquoi ne pas en avoir profité pour ré écrire des personnages plus contemporains ?

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intéressante trame narrative, mais parfois un regard bourgeois naïf, comme au zoo, sur un "peuple", confirmant ainsi un regard classiste dont l'auteur essaye pourtant de se soustraire.

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un bon film d'action, une histoire accrocheuse, une bonne bande son. On sent que tout a été fait pour plaire aux fans, que je ne suis pas, mais malgré tout j'ai pu profiter du spectacle.

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Je n'ai pas accroché à l'univers graphique, parfois très laid et figuratif (notamment le ver). La plongée dans la psyché d'un deuil est un sujet intéressant, traité par l'onirisme, c'était prometteur. Pourtant on ne comprend pas l'amour adolescent que l'héroïne porte à son acolyte, et cette trame fait perdre le fil du sujet. Dommage car Suzume n'avait pas besoin de béquille morale pour accepter son entrée dans la vie d'adulte.

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parfois, le traitement documentaire nuit au rythme du film, mais le sujet, autant que les acteurs et les personnages qu'ils incarnent, nous entrainent dans un monde violent, celui d'une société coréenne fondée sur le mérite, quoi qu'il en coûte. Ce film montre le coût, et l'inertie, le déni de la souffrance que peut infliger un système économique aussi libéral.

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En y allant un peu à reculons, quel surprise de découvrir un thriller aussi peu dichotomique... Aucun personnage n'est épargné, aucune morale et une attaque du modèle dominant d'une société de consommation, qui consomme ses propres citoyens. Le rythme et la poésie, lugubres, sonnent le glas de l'Amérique.