Seul au Cinéma

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Un soir, au Cratère salle très peu connue pour un film à la sortie confidentielle. Il faut dire qu'il n'y avait pas grand chose à rater...

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Sortie confidentielle, une nouvelle fois. A vrai dire, il y avait également une vieille dame, mais elle partit après à peine 20 minutes de film apparemment outrée que le film parle de sexe. Le film aura au moins interloqué l'employé venu boucler la salle (après le départ de la dame) qui resta de longues minutes à s'intéresser au film. Je le comprends, c'était une bonne surprise.

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Séance de 10h au Gaumont Wilson, en semaine. Apparemment lié au fait que le film avait déjà fuité sur le web.

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Séance de 22h, pour un film à la distribution discrète. Sympathique mais Uber-classique.

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Séance du matin, en semaine, au Gaumont Labège, cinéma qui semble peu se cacher d'avoir une clientèle Gros Beaufs en Famille.

Y aurait-il une malédiction sur les Chris du MCU ?

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Séance en semaine, en ville, à 19h, en VO, hors vacances... il faut bien dire que toutes les conditions étaient réunies.
Cela n'a néanmoins pas empêché un énergumène de pointer son nez après 25 minutes de film (sur l'aberrante demi-heure désormais permise), de s'installer au premier rang, et de repartir 25 minutes plus tard. Difficile de ne pas croire à un happening...

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Un film indépendant à la distribution confidentielle un lundi soir dans un CGR -réseau de salles des moins recommandables-, il fallait certainement s'y attendre...

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Séance du matin et en VO pour une Blumerie majoritairement diffusée en VF. Un film qui ne déchaîne pas les foules. Ca se conçoit vue la purge.

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Séance de 22h45 un lundi de septembre au Gaumont Labège pour un film en VO. Pas grand chose d'appâtant pour le spectateur lambda.

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Séance de 22h un dimanche à l'American Cosmograph, cinéma petit mais très fréquenté à Toulouse. Malgré deux relatives têtes d'affiche, énième film d'un réalisateur prolifique mais méconnu. Il a son public. Je n'en suis pas.

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Une sortie confidentielle pendant le post-confinement, alors que les salles ne font pas le plein et referment même pour certaines. Le tout en troisième semaine au Gaumont Labège et en semaine... Pour couronner le tout, le film est relativement déconcertant.

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Une séance de lundi 19h, qui plus est juste avant un match de l'équipe de France à l'Euro. Ajoutez-y que le film a droit à une sortie discrète... à juste titre.

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À vrai dire, étonnant que ça ne soit que la seconde apparition du Cratère dans cette liste. Je me suis retrouvé devant ce court sans même savoir qu'il serait diffusé. Il est intégré en première partie sur le DCP du film suivant, que j'étais venu voir. Bien heureusement, ils sont sur le même thème. C'est d'ailleurs à cause de ce thème que je n'ai pas tout de suite compris qu'il s'agissait d'un court-métrage indépendant du long. Même le générique de fin ne m'aurait pas tant surpris en plein milieu du métrage vu le caractère expérimental. Plus de détails au point suivant.

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Un film qui sortira en catimini, ici en avant-première de quelques jours dans le cadre d'un partenariat avec le festival Cinélatino. Un après-midi au Cratère, en semaine, en plein mois de juillet... Le voir seul ajoute une couche supplémentaire à la bizarrerie de la chose.

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Si 2022 n'aura eu aucune emprunte sur cette liste, 2023 frappe fort avec la seconde séance de l'année le 1er janvier à 22h15 au Pathé Wilson. Pas spécialement étonnant étant donné le créneau...

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Première entrée de cette liste pour une séance le jour de la sortie. Une tête d'affiche-réalisateur qui n'a jamais fait ses preuves au cinéma... Film à destination notamment des plus jeunes, avouons que le créneau du mercredi 19h20 avant les vacances scolaires est traitre.