Septembre 2017 - Septembre 2018, objectif : 100 livres

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Une histoire intéressante mais qui traîne un peu en longueur. J'ai préféré le film.

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Une histoire trop courte et - j'ose le dire pour un "classique" - relativement mal écrite. Beaucoup de détours et de précisions pour une intrigue qui tourne dans le vide.

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C'est très rafraichissant au début. Puis ça devient niais... et long.

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Deux petites nouvelles efficaces, qui marquent un tournant dans les aventures du détective.

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Un livre qu'on peut adorer ou détester, selon la manière dont on l'aborde. J'ai passé pour ma part un bon moment ; tout conscient que je sois des étrangetés méthodologiques inhérentes au projet.

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Un livre bref ; pas totalement dénué d'intérêt, mais assez largement oubliable. Dommage que le contenu de l'ouvrage ne corresponde pas vraiment à ce qu'on aurait pu espérer : point de véritable plongeon dans la Syrie en tant que pays. Kessel passe plus de temps sur la singularité des personnages auxquels il a eu affaire.

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Dans un style bon enfant mais selon une méthode originale, on nous emmène dans les coulisses du pouvoir, Dégustations et digestions à l'honneur.

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Une déception. Ma critique vous fera comprendre pourquoi. J'ai trouvé ça long, bavard, prétentieux.

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Une histoire intéressante, sans plus. Comme dans beaucoup de ces premières œuvres de science-fiction, on passe un peu trop de temps à étaler sa science et l'intérêt global en pâtit.

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Difficile de critique un discours. Mais il permet de bien cerner les enjeux au moment de son énonciation.

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Un Molière que j'avais joué étant jeune... mais pas lu. Difficile de juger ce classique, tant j'avais déjà l'impression de le connaître avant de le lire. C'est plaisant. Sans plus.

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Ce livre m'a surpris... par sa niaiserie. J'imaginais un livre dur et sombre ; il l'est en un sens, mais il y a aussi toute un réseau de bons sentiments hyperboliques qui m'ont lassé.

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Excellent dans ses meilleurs moments ; je ne m'y attendais pas. J'ai moins accroché aux dernières pages, plus sombres, moins percutantes à mon goût.

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Assez plat dans l'ensemble, mais la chute m'a fait sourire, toute prévisible qu'elle soit :)

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Je vous renvoie à ma critique : un livre ambitieux mais brouillon de par la prolifération de ses personnages.

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Intéressant dans l'ensemble, ce livre tombe quand même dans les pièges qu'il s'efforce pourtant d'éviter : l'eurocentrisme guette, sans être malhonnête une seconde.

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Une œuvre "facile" dans un sens ; très subtile dans l'autre. Ce qu'il y a de fort dans "Le garçon au pyjama rayé", c'est qu'au final, le tragique ne vient que de nous. De ce qu'on sait. On est ému, mais Bruno est un enfant. Il a joué jusqu'au bout.

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Ca fait du bien de lire un Hugo efficace, sans digressions, avec un peu d'action, de romanesque pour servir la démonstration.

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Je vous renvoie à ma critique : ce livre m'a déçu, alors que j'aurais adoré l'adorer.

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L'absurde avant l'heure, venu tout droit de Russie. Cela m'a fait rire, mais évidemment, c'est un peu court (jeune homme... c'est un pic... tout est lié !).

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Extrêmement barbant, bavard, vieillot. J'ai détesté - ma critique en dit un peu plus.

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Lu dans le cadre d'un examen sur le tremblement de terre survenu à Lisbonne en 1755. Intéressant pour celui qui veut mieux connaître les rapports entre les deux philosophes.

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Un gros coup de cœur. L'absurde du début à la fin, le sens qui se fait et se défait tout seul ; j'adore.

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"La leçon" m'a déçu, en comparaison de "La cantatrice chauve". J'ai trouvé la pièce assez terne, loin d'être aussi enlevée et effrontée que son successeur. Au bout du vingtième "J'ai mal aux dents", les miennes grinçaient quelque peu...

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Ohlalala, qu'est-ce que j'ai été déçu. Je m'attendais à un peu de glauque et de flippant. C'est juste looooong, pédant, inutilement détaillé... J'ose penser que les nouvelles suivantes sont plus approchables.

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Un livre complet sur le sujet, qui semble mettre en exergue les conséquences littéraires/philosophiques de l'événement (ce n'est pas l'ouvrage le plus scientifique sur la question) mais qui le fait bien. Une synthèse intéressante.

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Le début m'a passablement ennuyé, et dans tous les cas je ne suis vraiment pas fan du style de Tonino Benacquista. Je trouve ça trop "sec" ; ça manque de rondeur à mon goût. Mais contrairement à ce que j'imaginais au début de la lecture, le livre ne m'a pas laissé de marbre : les dernières pages sont troublantes. Sans êtres captivantes, elles dégagent suffisamment de brutalité pour faire réfléchir.

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J'ai décidemment beaucoup de mal avec la littérature fantastique du XIXe siècle. C'est toujours le même topo : un narrateur à la première personne qui répète cent fois à quel point tout cela est mystérieux, ohlalala, et que l'homme joue avec la nature, ohlalala, et qu'il y a des conséquences... ohlalala. J'ai ressenti à peu près la même chose qu'en lisant "Frankenstein" : beaucoup de blabla, des prises de risque limitées, une thématique intéressante mais exploitée sous un angle trop "intellectuel", comme si les auteurs du fantastique naissant voulaient absolument compenser leurs irrévérences par une assise scientifique. *Bâillement*

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Mouais, bof. Je m'attendais à mieux. C'est tellement irrévérencieux que ça en devient lourd ; c'est comme si Gelluck passait tout son livre à nous dire : "Hey, regardez, regardez, je me permets tout", sans y ajouter vraiment un petit quelque chose qui ferait la différence. Par contre, et pour ça respect, il me semble impossible de totalement conspuer l'auteur tant il fait preuve d'auto-dérision, et tant celle-ci s'inscrit dans la matrice de son bouquin. Bref, même si ce n'est pas toujours drôle, il le sait et le dit. Peut-on lui en vouloir d'essayer ?

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Lu dans le cadre de mon examen sur le séisme de Lisbonne. Particulièrement bien écrit et faisant montre d'une méthode imparable, cet ouvrage ne m'a globalement pas ennuyé malgré le sujet (très) pointu qu'il aborde. Il y a beaucoup de générosité et un souci d'exactitude louable dans le travail de Quenet ; sans que ce semble pédant un instant.