SensCritique prend soin de ma culture musicale

Par Lucid, en Décembre 2016 (CDM)

Écouté le 7 Janvier 2017

Apocalypse triste, submersion consternée de l'ancien monde. Et dans les ruines, l'ultime rave ?

Par Flagblues, en Décembre 2016. (CDM)

Écouté le 11 Décembre 2016.

J'avais découvert les Savy Fav dans un concert explosif où j'avais été ébloui par la performance de Tim Harrington, barbu paré de mille couleurs multipliant les bains de foule et s'égosillant magnifiquement. À tel point que j'avais alors oublié d'écouter la musique du groupe ! Le retard est désormais rattrapé grâce à Flagblues, et force est de constater que l'énergie du chanteur est partagée par tous les membres du groupe. Ça bourrine bien, tout en restant parfaitement ciselé et maîtrisé. Petite préférence pour les premiers morceaux, moins hardcore et plus rafraîchissant à mes oreilles.

Par BiFiBi, en Novembre 2016 (CDM)

Écouté le 28 Novembre 2016.

Pas emballé. C'est de la chamber pop pas trop mal avec des expérimentations sympas (l'intro de Hey Trespasser), des instruments rigolos ici et là, des paroles un peu niaises mais c'est ce qu'on veut. Mais non ça prend pas.

Par Tintamarre Wazoo le 20 octobre 2016

Écouté le jour même

De grosses nappes de son bruitistes qui oscillent entre rock psychédélique, ambient et vaporwave. Bien ouèj Wazoo, c'est tout à fait mon kiff.

Par Amory, en Septembre 2016 (CDM)

Ça ressemble un peu à du Public Image Ltd., le dub en moins, le funk en plus. Ah et avec des japonais. Bref, c'est plutôt chouette, un peu foutraque parfois, mais ça envoie.

Par Woozz, en juillet 2016 (CDM)

Écouté le 28 juillet 2016.

Ça faisait une éternité que je n'avais pas fait une cure de rock progressif, et il faut dire que ça fait du bien ! Les musiciens de Ptooff! montrent qu'ils connaissent leurs bases sans pour autant lésiner sur les expérimentations pour un résultat détonnant, quoique finalement jamais bien surprenant. Est-ce vraiment un mal ?

Par daftsashi, le 6 Mai 2015

Écouté le 9 Décembre 2015.

Par AmPsycho, en Mars 2015 (CDM)

Écouté le 9 Décembre 2015.

Vraiment cool, pleins de moments doucereux et épiques, du bon rock indé qui fricote avec du shoegaze malgré quelques passages à blanc qui ressemblent un peu à de la pop pour ado.

Par dominopute, le 29 Octobre 2015.

Écouté le jour même.

Par Flo FX, en Juin 2015 (CDM)

Écouté le 4 Octobre 2015.

Musique d'ambiance sombre, noisy avec un violon en lead. Mais bon voilà, je n'ai jamais aimé le violon, et je n'accroche pas du tout. Autrement, les sonorités en arrière-plan sont très réussies.

Par non-sens, le 25 Septembre 2015

Écouté le 26 Septembre 2015.

Petite merveille de musique latine, qui virevolte avec grâce et joie entre funk, lounge, bossa nova, psychédélisme, avec bon nombre d'instruments tropicaux, de bruitages, des cuivres... Tous les morceaux sont très différents et l'ensemble peut parfois paraître confus, mais c'est bien là le seul reproche qu'on puisse faire à cette pépite.

Par dominopute, le 22 Septembre

Écouté le 24 Septembre 2015.

Cortini emmène son auditeur dans un voyage atmosphérique vers de sombres abysses inconnus, tout juste illuminés de quelques déflagrations musicales. Un beau voyage introspectif.

Par dominopute, le 23 Juillet 2015

Écouté le 24 Septembre 2015.

Du rock turc, un peu funk, un peu psyché, avec des instruments folkloriques, et surtout groovy en diable. Ça a parfois un petit air de Fela Kuti oriental, à essayer !

Par Planet Roam en Juillet 2015 (CDM)

Écouté le 9 Septembre 2015.

Quel plaisir d'écouter un album de noise aussi direct et jouissif ! Il faut dire que le genre est parfois bien plus prétentieux qu'il ne voudrait bien l'admettre, mais ça c'est pas pour les gars de Todd. Tour à tour punk, garage, stoner, toujours psyché, bruitiste et bruyant, Big Ripper vient gentiment te défoncer les tympas et fichtre ça fait du bien.

Par Avory, en Avril 2015 (CDM)

Écouté le 8 Septembre 2015

De la britpop bien calé sur les Smiths, avec des horizons un peu plus punk. Ça se déguste avec délice.

Par dominopute, le 30 Août 2015

Écouté le jour même.

D'habitude pas très emballé par la techno, je dois bien reconnaître que Lakker pousse les choses relativement loin dans cet album. Basses qui claquent, pétillements, longs souffles glacés, la musique va rapidement façonner un décor merveilleux autour de nos oreilles et nous propulser à travers celui-ci à toute vitesse. Refusant la facilité et les rythmes binaires qui jalonnent (trop) régulièrement les sets de techno, Lakker balance ici des sons originaux, incroyablement propres et finalement très personnels. Je ne peux m'empêcher de m'ennuyer sur quelques morceaux, mais de nombreuses fulgurances jalonnent les 55 minutes de l'album, à l'image de Three Songs, furieusement dansant et enivrant.

Par dominopute, le 11 Août 2015

Écouté le 24 Août 2015.

Bien plus prog que kraut, et tant pis pour ma pomme ! J'ai bien du mal à me laisser porter par les solos de guitares fous et les chants des hippies babas de Weed, et malgré plusieurs écoutes, je n'arrive pas à en conserver autre chose qu'un vague souvenir, et ce en dépit du plutôt bon morceau ultime et éponyme de l'album. Je passe mon tour sur cet album.

Par Polar, le 14 Août 2015

Écouté le 16 Août 2015.

gentil Polar

Par Amory, en Juin 2015 (CDM)

Écouté le 21 Juillet 2015.

Post-rock classique sans saveur particulière, et même un tantinet agaçant en raison de sa simplicité. Et le batteur est super nul.

Par Planet Roam, le 17 Mai 2015

Écouté le 24 Juillet 2015

Ayant beaucoup trop écouté Herbie Hancock dans sa période Head Hunters, j'ai négligemment mis cet album de côté dès qu'on me l'a proposé. Quelle erreur. Le pianiste revisite ses titres avec toujours plus de groove et d'expérimentations funky, en leur fournissant un côté très spontané qui détonne agréablement face à la version parfaite de l'album. Et puis bon sang ces solos. Génial.

Par VilainChien, en Mai 2015

Écouté le 18 Juillet 2015.

Comme souvent avec le jazz fusion, ça passe ou ça casse. Je plaçais pas mal d'espoir dans cet album et bien évidemment, les premières écoutes se sont révélées être assez âpres. Trop de notes, pas assez de feel tu vois. Mais bon, quelques écoutes supplémentaires ont été salvatrices et m'ont permis de mieux aborder cet album. Les solos à rallonge me gonflent ? Oui, mais ce sont à chaque fois de véritables épopées mélancoliques. Et au final, l'album finit par devenir attachant. Le jazz fusion penchant rock, c'est pas demain que j'en serai un aficionado, mais Nairam est un bien chouette disque, tout en fragilité et en déglutis de notes, et il mérite un coup d'oreille.

Par Woozz, en Juin 2015

Écouté le 14 Juillet 2015.

Coil vs ELpH ? Je ne connais que brièvement le premier, mais celui-ci est à mes yeux largement gagnant sur cet EP. Armé d'un beat imparable, son morceau d'ouverture masque complètement les autres compositions de son adversaire, pourtant pas dénuées de qualités. Ça manque peut-être un peu de texture, de vie... En tout cas, il m'aura fallu quelques écoutes pour me plonger dans les morceaux ambient de ELpH. Pas les meilleurs du genre, mais tout de même bien classes.

Par dominopute, le 23 Juin 2015

Écouté le 27 Juin 2015.

YES

Par Tintamarre Wazoo, en Mai 2015 (CDM)

Écouté le 27 Juin 2015.

Après quelques écoutes, je n'accroche pas trop (le trip-hop et moi, une histoire pas tip-top), mais c'est indéniablement un album riche, doté de riches compositions et d'un chanteur dédié à son art. Autrement sans plus.

Par AmPsycho, en Juin 2015

Écouté le 18 Juin 2015.

Terriblement inégal. Les second et le troisième morceaux oscillent entre le bas de gamme et le moyen : la voix du chanteur ne me revient pas particulièrement, les parties screamo sont à vomir, les parties post-rock sont, je trouve, clichés. Même constat pour la dernière piste (et son horripilante double-pédale). C'est plutôt dommage vu que le premier morceau augure du meilleur avec ses beats électro-mélancoliques. Enfin Hard to Reach ne tient pas tout à fait dans la longueur, malgré un très très bon passage autour d'une basse dub qui fait penser au Souvlaki Space Station de Slowdive. Enfin bref, je ne m' retrouve pas du tout là-dedans, c'est tout simplement pas un album pour moi.

Par BiFiBi, en Juin 2015 (CDM)

Écouté le 14 Juin 2015.

Si le côté J-Pop peut facilement rebuter, il serait bête de réduire 3776 à cela. Les instrumentations sont élaborées et ne s'en tiennent pas à un bête format "pop", à l'image de 時空ラブレター～アフター大噴火の世界の君へ～ qui s'étale sur pas moins de 20 minutes, et est par ailleurs le morceau le plus intéressant de l'EP (malgré une fin en demi-teinte). Reste la voix d'idol qui pourrait gêner les derniers détracteurs, mais pourtant elle apporte beaucoup de charme et de vie. En témoignent les versions instrumentales, nettement moins jouissives. Un bon bout de J-Pop en somme.

Par Amory, le 27 Mai 2015

Écouté le 13 Juin 2015.

Peu ou prou le même commentaire que pour The Power Out. C'était juste un poil moins marquant.

Par Amory, le 27 Mai 2015

Écouté le 5 Juin 2015.

Un superbe album de rock indé qui se plaît à gentiment déborder dans l'expérimentation. C'est extrêmement fin et ça passe tout seul, le genre d'albums qu'on se plaît à écouter encore et encore.

Par Planet Roam, en Juin 2015

Écouté le 4 Juin 2015.

Wah, c'est de la balle ce truc. Ça va être difficile pour moi de parler d'un genre dont je suis loin d'être un aficionado (la techno en l'occurence), mais c'est bien ce genre de trucs qui me donnent envie d'aller plus loin. Une prod super, des compos inspirées, un feeling terrible, c'est yes.

Par Planet Roam, le 25 Mai 2015

Écouté le 28 Mai 2015.

Si les passages soul et jazz sont supers, et ceux plus électroniques très intéressants, je n'ai pas aimé les passages plus dub/reggae... Question de goût, malheureusement.