Romances toxiques ou malsaines glorifiées en Jeunesse/Jeunes adultes-Adulte

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Romand ADULTE: Réécriture plus ou moins réussie du conte "La belle et la bête", "Un palais d'épines et de rose" a une rigueur psychologique aussi insensée que son scénario boiteux. Mais si on se concentre juste sur Feyre, la protagoniste, on réalise qu'elle développe de l'amour pour son propre geôlier. Et oui, c'est une version aggravée du syndrome de Stockholm, soit le développement d'empathie pour son bourreau. Bien vu. Enlevée par un immortel pour avoir tué son meilleur garde, puis détenue dans une cage dorée ( parce que hey! c'est une belle punition pour un meurtre), c'était pourtant un personnage qui devait nous apparaitre "forte". Mais être une archère et avoir la langue bien pendue ne fait pas les femmes fortes. Surtout quand elle est aussi une épouvantable personne aussi idiote qu'incohérente.Bref, nous avons donc Feyre qui passe de fille inconnue à trophée de chasse entre deux immortels. C'est donc un autre triangle amoureux qui se profile, toxique comme d'habitude, mais soyons francs, Feyre tient plus du petit animal de compagnie qu'on peut allègrement embobiner ( et baiser!). Oubliez toute notion de respect mutuel, de tendresse et d'égalité, on est encore dans l'apparence physique magnifique et parfaite associée à l'état d'immortalité et du sexe hétéronormé inspiré du porno. Un grand délire malsain, en somme. Un roman qui est la preuve, une fois encore, que l'attrait sexuel comme seul composante d'une relation dominante n'est en rien de la romance. C'est juste du c*l. Ce qui est également notable dans cette série, c'est la stupidité des mâles, qui ont quand même passablement peu de jugeote à s’embarrasser d'une personne aussi mesquine, inconstante et ouvertement hostile que Feyre, juste pour son beau c*l. J'ai rarement vu un personnage féminin aussi détestable que Feyre. Même America Singer a l'air brillante à côté d'elle, c'est dire...

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Romans ADO: Cette couverture vous rappelle quelque chose? Bravo, c'est presque la même que Twilight, et devinez quoi! C'est aussi une histoire de vampire avec un triangle amoureux! Sur 12 tomes! Pour la seule fin de savoir de quoi je parle quand je conseille des livres, je me suis tapée le premier tome et tous mes cauchemars de manque d'originalité, de futilité sentimentale et de stéréotypes débilisants ont prit forme sous mes yeux. On a donc Chloé, la fille-spéciale-mais-ambivalante, envoyée dans une école spéciale parce qu'elle a une marque au front, et qui ,avec ses pouvoirs, va battre une méchante rivale blonde et tomber en amour avec le mystérieux gars obscure, sexy et compliqué le plus populaire de l'école. Wow ( sarcastique). En une seule phrase, il y a au moins 20 livres de cités implicitement, faut le faire! Cette série est l'exemple typique du roman calqué sur d'autres à des fins commerciales. Surtout que le carnage se poursuit sur 11 tomes! Une fois encore, les messages envoyées sont superficiels: soit belle, sors avec le plus beau gars, soit gentille, ne reste pas célibataire, être la plus forte, c'est être spéciale, l'ordinaire est loser, etc. etc. Navrant comme fond de trame. Mais cette liste est consacrée au couples, alors parlons en! Enfin...parlons de quoi? C'est une relation basé sur les pouvoirs, la beauté et d'ailleurs croisée d'une autre relation étouffante entre la blonde mesquine et superficielle et le bad boy incompris. Et tout ça seulement dans le premier tome! Le plus triste, c'est qu'encore une fois, on prône le même archétype de gars pour nos ados, comme si seuls ces salauds étaient les seuls dignes d'attention. Chloé se profilait comme une jeune femme de tête, mais finalement, tout se gâche quand elle tombe dans le panneau avec le gars mystérieux, ( dont le nom m'échappe encore). À croire qu'une ado forte DOIT finir en couple et pas avec n'importe qui, le trou-de-cul mystérieux, obscure, sexy, incompris, yeux bleus, veston noir. Et cette devise de "toi-seule-me-comprend", c'est surtout une façon détournée de dire "toi-seule-est-assez-stupide-pour-coire-que-je-vais-changer". Un autre belle exemple de relation irrespectueuse, superficielle, qui n'est basé ni sur l'acceptation de l'autre, ni sur la confiance envers l'autre. Triste histoire.

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Romans ADO: Autre pentalogie jeunesse dans l'axe "Mon École est spéciale", la "Night School" Cimmeria accueille la "délinquante" Allisson ( une autre qui a bu avant 18 ans et fait quelques vilaines conneries mineures, mais qu'on a surtaxée de "délinquante"). D'ailleurs, elle devient rapidement sage et studieuse, délaissant ses rouges cheveux et ses répliques au profit d'une parfaite attitude de fille modèle. Pourquoi pas? Elle veut peut-être rendre sa grand-mère, la directrice, fière? Mais le tout se gâche avec l'arrivé de ce gars obscure, mystérieux, sexy, incompris, torturé, bla bla bla, du nom de Carter. Le Bad Boy de service est arrivé! Et forcément, avec qui va-t-il se lier? Ben oui, notre Allie! Qui bien sur, va faire une fixette dessus et va vouloir le "sauver" de son passé hanté. Syndrome de l'infirmière. Parce que ce mâle alpha obscure est un membre de la "Night School", oui monsieur! Et forcément, si monsieur y est, elle doit y être aussi! J'exagère un brin, mais soyons honnête, si Carter n'y était pas, serait-elle vraiment encline à y aller? Je me demande. La suite est comme toute les relations malsaines habituelles, le gars contrôlant, jaloux, inconstant, qui passe son temps à pleurer l’incompréhension du monde face à sa rebellitude si cool! Non, vraiment, Allie mérite mieux, mais même quand elle fini par passer à quelqu'un d'autre, c'est toujours "Carter" qui monopolise son cœur. Je comprend qu'on puisse connaitre des hauts et des bas dans un amour adolescents, mais quand les ados font face à des salauds, surtout dans les livres où c'est valoriser, ça me peine. Ça promeut toujours le même message: sortir avec un bad boy, c'est devoir s'abandonner complètement à lui. Ça n'a rien de beau et ça n'a rien de "bien". C'est même pathétique. C'est dommage, parce que le personnage d'Allie avait un potentiel de meneuse, mais tout cet imbroglio sentimentalo-compliqué la prive d'une réelle chance de prendre la tribune.

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Romans ADO: Hein? Quoi! Non, pas celui-là, voyons, c'est un livre géééénial! Oui. C'est un bon livre. Je me suis dilatée la rate tout du long et j'ai adoré la famille de Gwen, la protagoniste. Mais soyons francs: Gidéon, mâle principal, est un con. On a tendance à pardonner facilement la manière malsaine des beaux gars à être aussi désagréables, impolis, pour ne pas dire goujat avec les filles et spécialement avec les filles à qui elles plaisent. C'est le cas de Gideon. Ce grand prétentieux de noir vêtu est peut-être mystérieux, obscure, sexy et clairement incompris, mais le fait est qu'il est méchant avec Gwen alors qu'elle n'a rien fait pour mériter pareils traitement. Mais Gwen, aussi amusante soit-elle est aussi une belle potiche et va bien sur tomber raide dingue de ce grand ténébreux, qui partage avec elle un secret temporel. ( Oula, la phrase poétique) Une fois encore, ça m'agace de voir qu'on lui passe son arrogance, sa condescendance et son caractère de chien, juste parce que: Il-étais-une-fois-il-est-trop-beau. Et il y avait ce gars, là, machin, l'ami friend-zoné, qui était pourtant assez sympa... les héroïnes en jeunesse ont trop souvent des gouts de merde ces temps-ci...Bref, une bonne histoire, mais un couple vraiment bordeline.

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Roman adulte: Bon, primo, je dois le dire: Les ballerines ONT TOUJOURS UN CHIGNON! Donc, merci pour le joli tutu rouge en pétales, mais aller donc faire vos devoirs sur le ballet classique. Donc, secundo, voici l'histoire de Vanessa, aspirante ballerine, qui cherche à découvrir le mystère derrière la disparition de sa sœur, elle aussi ballerine. Génial! Un amalgame de ballet et de thriller, ça m'a l'air sympa! Mais devinez quoi? Vous me voyez venir, hein. Oui, Vanessa va rencontrer monsieur-obscure-mystérieux-sexy-je-suis-un-beau-salaud et va perdre partiellement la tête à cause de lui. Merveilleusement prévisible et pathétique. Le plus navrant est le fait que même quand elle découvre qu'il se sert d'elle - bravo pour la confiance, le respect et la fidélité - notre chère demoiselle reste complètement accro à ce ténébreux danseur de ballet faux-jeton. Donc, malheureusement, il aura fallut cette horrible relation toxique pour gâcher tout le reste. Un reste qui avait du potentiel, soit-dit en passant.Ça me rappelait l'histoire de Fantôme de l'opéra, mais version ballet, avec un fond ésotérique. Mais hélas, notre détective en chaussons perd autant son jugement que sa jugeote et fini droit dans les emmerdes. Honnêtement, cette histoire aurait été meilleure sans la présence de Monsieur-Ténébreux-passé-difficile-j'ai-de-bonnes-raisons-d'être-un-salaud.

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Roman JEUNE ADULTE: Ici, on DÉNONCE la relation toxique. Ou plutôt, on ne l’encense pas. Juliette, dite "Papillon" avait un conjoint qui a d’emblée expliqué qu'il ne laisserait aucunes fille se mettre en travers de son projet de vie très rigide. L'erreur de Papillon a été de penser pouvoir changer ça. Donc, près d'un an plus tard, ce mâle couillon quitte Papillon, qui n'aurait même pas prit la peine de l,avertir de son départ, n'eut été son coloc qui l'a dénoncé par accident. Ce charmant spécimen a ensuite le très mauvais gout de reprendre contact avec une Papillon désœuvrée et en pleins deuil relationnel, histoire de lui faire savoir qu'il l'aime encore et qu'il pense à elle, et qu'il la voit avec lui à Paris, mais sans la faire venir, évidemment. En somme, il fantasme sa relation, alors que Papillon souffre son absence. Très malsain comme relation. Aussi, ce couple avait une bonne relation niveau sexe, mais très piètre niveau communication. Loïc est un manipulateur et est absolument incapable d'être empathique pour sa compagne. Tout repose sur SA vision du couple et tant pis si Papillon n'y adhère pas.
Seule ombre au tableau, ce mâle prétentieux est de retours vers la fin, ce qui augure pour un ....bingo! Triangle amoureux ( potentiellement malsain).

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Romans ADULTE ( Érotique): J'ai connu ce déchet toxique à travers les branches, mais une chose est sure: Un roman dans lequel un salaud doublé d'un mec violent, abuseur, rancunier, jaloux, cruel et paresseux, qui va aller dévierger une fille pour une saloperie d'histoire de pari, c'est, en un mot: Dégueulasse. Et ce qui est pire encore, c,est que la dinde déflorée va tomber "amoureuse"de cette sale petite racaille. Oui, je suis dure, mais je ne comprend pas comment cette chose peut être classée en Romance, alors que pire encore que les Twilight, c'est le summum de la toxicité et coche tous les critère de la violence conjugale. Une relation basée sur le cul, remplie de violence, de mensonges, de non-dits, de coup bas et de cycles de lune-de-miel qui se répète encore et encore, avant de redevenir violent, non-dit, coups bas, etc. "After" est une histoire de violence conjugale, glorifiée au panthéon des romances noires. Je ne sais pas ce qui m'inquiète le plus: le fait que l'autrice croit à son délire de romance ou alors les lecteurs et lectrices qui y adhèrent aveuglément. Et quand je vois des ados de 14 ans baver dessus, j'en ai des frissons dans le dos..."Avant lui, elle contrôlait sa vie", ouais, mais maintenant, c'est lui qui la contrôle. Quelle descente aux enfers... Aussi, pourquoi les romans et films destinés au filles présentent toujours les filles en contrôle de leur vie comme des ratées? Comme si elles passaient à côté de leur vie? Comme si la seule chose susceptible de les combler était un beau ténébreux qui baise bien? Et surtout, pourquoi cela n'arrive-t'il qu'aux personnages féminins...

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Romans ADULTE ( Érotiques). Quand je croyais avoir tout vu, une autre autrice trouve le moyen de faire pire que la précédente. Après le bazar de Todd avec ses After, voici une autre ode à la romance toxique. En fait, à ce stade, on peut parler de crime contre la personne, soit "séquestration", "viol" et ultimement de la manipulation psychologique. Une femme kidnappée est forcée de tombée en amour avec son geôlier, elle a un an pour ça. Contrairement aux gens non-qualifiés en psychologie qui le clame: ce n'est PAS le syndrome de Stockholm. Ce syndrome se caractérise par le développement d'une empathie, non pas d'un amour, pour son persécuteur. Pas mieux, vous direz, et vous auriez raison. Concrètement, on assiste ici à une asservissement sexuel de première catégorie, parce que le "beau-ténébreux-sexy-obscure" la viole, la contraint, l'insulte, l'humilie, la ridiculise, l'infantilise et la couvre de présents pour compenser sa culpabilité ( s'il en a une, ce dont je doute). Non seulement extrêmement mal écrit ( selon mes sources, je n'ai pas lu ce roman), comme moult romans porno, cette chose vous induira en erreur: il n'y a rien, RIEN, de sexy dans le viol. Et je fustige quiconque aura le culot de comparer ce navet au classique de "La bête et la bête", tout autant que ceux qui ose comparer Twilight à Roméo et Juliette. Leurs auteurs et autrices en pleurerait s'ils savaient à quoi leur œuvres sont comparées de nos jours...

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Roman JEUNE ADULTE: Dans ce roman fort rempli, nous avons une agence d'escortes de luxe version prince, même si ce n'est pas amené ainsi, c'est exactement ce que c'est. Pour une somme exorbitante, choisissez votre scénario préféré ( très peu expliqué, d'ailleurs) et vivez 15 jours de romance avec le Grand A. Un attrappe-dépendantes-affectives énorme, en somme. Mais ne vous faite pas de films, ces "scénarios" ne font pas rêver, peu s'en faut. On aura droit à une énième midinette en peine ( son copain est mort) qui accepte "à contre-coeur" ( évidemment, elles sont toujours contraintes ces idiotes) de participer à ce programme "spécial". Mais bien sur, entre le bellâtre insupportable de prétention et le prince charmant parfait, notre miss a du mal à savoir lequel est l'acteur engagé pour jouer son prince. Je n'arrive pas à saisir pourquoi elle tient à le savoir, c,est le but même de l'expérience de l'ignorer! Bref, on assiste, dans ce roman, à non pas un, mais deux triangles amoureux malsains aussi débiles l'un que l'autre, où les apparences sont les seuls critères. Finalement, on comprend que l'un est un foutu sociopathe ( dans le sens psychiatrique du terme, je précise) et l'autre, un Bad Boy qui cache un prince charmant. J'ai envie de pleurer devant cette rengaine tellement prévisible et stupide, c'est n'importe quoi. On a donc un roman où tout ce qui est relationnel est basé sur le physique, le mensonges, la rancœur et la vengeance. Beau, n'est-ce pas?

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Roman adulte: J'ai eu du mal avec cette série à bien des égards avant de finalement avorter ma lecture. Ce qui est perturbant, c'est l'impression d'un roman sexuel auquel on a vaguement "patché" un fond de guerre, sans doute la plus incohérente et grotesque que j'ai vu, pour cacher le fait que c'est un roman sur le cul. Le personnage féminin a l'intelligence d'America Singer dans "La Sélection", c'est-à-dire gravement absente. Arrivée dans un univers fantasy médiéval machiste, et à peine débarquée, notre imbécile de service se fait bêtement capturée puis violée trois semaine de temps sans offrir de résistance ni d'émotions crédibles. Quand même , 21 viols de suite et aucune crise de colère et de désespoir? Je comprend rien. Loin d'être traumatisée, plutôt vaguement mécontente ( et polie avec son violeur) elle se fait sauver par un dude par après. Et la suite ressemble à une querelle d'ados entre cette fille stupide et son "protecteur" qui ne veut rien avoir à faire envers elle ( je le comprend, dans un sens) et accessoirement aussi beau que son violeur - oui, parce que c'est son jumeau. La fille stupide veut se faire sauter par le sosie de son violeur. Ah ben! Donc, on a une cruche de 24 ans aussi mature qu'une petite fille de 6 ans, mais avec la libido d'un harem complet, la logique déficitaire d'un gourou de secte et la cohérence psychologique d'une poignée de porte. Mais ne soyons pas si dure envers elle: son "protecteur" est une tête de couille machiste et insupportable. Il y a bien des choses qui coince dans cet univers bancal, mais au niveau relationnel, c'est bordélique et d'une bêtise affligeante, entre des scènes de cul et du chamaillage inutile. Concrètement, ils n'ont rien en commun, pas de complicité, aucun respect ni confiance. bref, aucune raison d'être ensemble, sauf s’envoyer en l'air.

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Roman Ado: Twilight, c'est 10 000 pages pour raconter le gros béguin irrationnel d'une petite idiote de 17 ans qui veut se faire sauter par un vampire qui a 100 ans de plus qu'elle, quitte à le marier, pour arriver à ses fins. Ce qui est particulièrement vicieux avec cette série, c'est la glorification de deux relations toxiques et de la pédophilie. On aura beau dire, Edward a le physique d'un ado, mais l'esprit d'un vieux schnok machiste et paternaliste, qui regarde une ado dormir toute la nuit chaque nuit et se permet de lui jouer dans la tête en employant le détournement cognitif, au début surtout. Je me rappelle encore ce passage où Edward énumérait les raisons de ne pas lui faire confiance et Bella de conclure qu'elle pouvait entièrement lui faire confiance. Ah, bon sang! Mais quelle conne! L'autre problème, c'est que Bella est une dépendante affective, ce qui lui fait employer la même manipulation auprès du copain friendzoné, Jacob. Elle lui signifie qu'elle ne veut pas de lui comme petit ami, mais elle refuse de le laisser partir vivre sa vie. C'est cruel et c'est toxique. Mais Jacob lui même est une raclure: "Je sais que tu es amoureuse de moi, mais tu ne veux pas l'admettre". Cette simple réplique est terrifiante. Prétendre connaitre les sentiments de quelqu'un, c'est du haut degré de narcissisme et de déni. Pire, il s'impose à plusieurs reprises, et certains gestes relèvent de l'agressions sexuelle. Enfin, une fois mariée, Bella présente des signes de femme battues - mais commodément par la "force" physique "incontrôlée" d’Edward. Et je remarque encore une relation sans complicité, sans respect, sans vérité, sans projets ( autre que le mariage) sans intérêts communs, sans tendresse et sans communication saine. Belle se désincarne complètement, modelée aux gouts de son mâle, dépersonnalisée et totalement dépendante. C'est une relation à la fois vide et toxique. "Twilight", c'est le roman dans lequel tout ce qui se passe d'un point de vue relationnel est malsain. C'est donc la Bible en la matière et je souhaite qu'aucune femme , ou homme, n'ait à subir les horreurs que vivent les personnages de ce roman médiocre.
L'autre élément particulièrement pervers est le concept "D"emprunte" des loups. Personne ne semble avoir remarqué que la pauvre petite fille Renesmée ( quel nom foireux) est d'ores et déjà "vendue" à Jacob, à peine née. Le problème de ce concept est facile à voir: Il est unidirectionnel, la personne qui a le malheur d'être "Choisie" par un

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Roman adulte: J'ai eu du mal avec cette série à bien des égards avant de finalement avorter ma lecture. Ce qui est perturbant, c'est l'impression d'un roman sexuel auquel on a vaguement "patché" un fond de guerre, sans doute la plus incohérente et grotesque que j'ai vu, pour cacher le fait que c'est un roman sur le cul. Le personnage féminin a l'intelligence d'America Singer dans "La Sélection", c'est-à-dire gravement absente. Arrivée dans un univers fantasy médiéval machiste, et à peine débarquée, notre imbécile de service se fait bêtement capturée puis violée trois semaine de temps sans offrir de résistance ni d'émotions crédibles. Quand même , 21 viols de suite et aucune crise de colère et de désespoir? Je comprend rien. Loin d'être traumatisée, plutôt vaguement mécontente ( et polie avec son violeur) elle se fait sauver par un dude par après. Et la suite ressemble à une querelle d'ados entre cette fille stupide et son "protecteur" qui ne veut rien avoir à faire envers elle ( je le comprend, dans un sens) et accessoirement aussi beau que son violeur - oui, parce que c'est son jumeau. La fille stupide veut se faire sauter par le sosie de son violeur. Ah ben! Donc, on a une cruche de 24 ans aussi mature qu'une petite fille de 6 ans, mais avec la libido d'un harem complet, la logique déficitaire d'un gourou de secte et la cohérence psychologique d'une poignée de porte. Mais ne soyons pas si dure envers elle: son "protecteur" est une tête de couille machiste et insupportable. Il y a bien des choses qui coince dans cet univers bancal, mais au niveau relationnel, c'est bordélique et d'une bêtise affligeante, entre des scènes de cul et du chamaillage inutile. Concrètement, ils n'ont rien en commun, pas de complicité, aucun respect ni confiance. bref, aucune raison d'être ensemble, sauf s’envoyer en l'air. Et le plus bizarre là dedans, c'est que cette même fille a subit deux deuils majeurs: la perte de son époux et de sa fille de 4 ans et que ces deuils sont formidablement absents de sa psyché.

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Roman ADULTE: Dans cette série aussi machiste que répétitive, les relations conjugales sont au degré zéro de la sincérité émotionnelle. Adultes stupides au tempérament puéril et au à la superficialité généralisé, la vaste majorité de ces personnages désespérément similaires ont une maturité relationnelle d'un enfant de 10 ans: "Ok, tu es beau/belle, on se marie demain!" Littéralement. Dès qu'un autre personnage apparait, vous pouvez être sur qu'un autre suivra, du genre opposé, pour devenir son époux ou son épouse. Et ils sont tous hétéro. Dans d'autres cas, c'est une histoire de cul, dont le personnage Swann, qui viole son propre maris. Il y a aussi le cas du gros mâle alpha macho Wellan, qui se fait pardonner absolument tout, parce que c'est le e chef des chevaliers, dont son infidélité - et se fait même offrir une enfant déesse pour avoir su partager son sperme. Bref, quand on parle de relations vides ou malsaines, on a les deux ici.

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Classement: ADULTE Une autre histoire d'une fille "coincée et intello" qui succombe au Bad boy couillon. Ni respect, ni confiance, on est dans des chamailleries d'enfants de maternelle, des rendez-vous arrachés grâce à des défis puérils, une fille qui se croit supérieure du fait de ne pas céder au Bad-Boy ( avant de céder au Bad-Boy) et une passion qui relève encore une fois de la séduction sans une once de raison. On a aussi un énième profil d'homme dominant contrôlant qui ne sait pas gérer sa colère. Ça augure bien pour la suite! Notez le sarcasme.

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Classement Érotique Adulte : Je n'ai pas lu ce livre, mais comme bon nombre de gens, malheureusement j'en ai entendu parler. Cette chose, sommairement, vend une relation non seulement toxique, mais violente, comme une romance. On a donc un prédateur sexuel de type narcissique qui a encore une fois le rôle du ténébreux incompris trop beau et trop riche, qui lui permet de faire ce qu'il veut parce que les règles ne s'appliquent pas à lui. Je ne souhaite à aucune femme, ni aucun homme, d'être le jouet sexuel d'un être aussi abjecte. Mais visiblement, du moment que le salaud est beau et riche, on est "forcément" dans une historie d'amour. J'ajoute que cette couverture rose et fleurie porte à confusion, car un roman d'horreur relationnelle ne devrait pas ressembler à un roman sentimental mignon.

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J'ai l'impression de me répéter sans fin, mais voici un autre cas de fille normale, mais finalement spéciale, qui va attendrir le Bad boy de service, essentiellement parce que "contrairement aux autres filles", elle, elle le connait "vraiment" et ne lui dit pas "oui". Ah, donc une fille qui dit non, ça veut dire que c'est la bonne? Bref, on a une ado qui se fait traiter de manière inadéquate à multiple reprise par quelques personnages masculins bien macho, dont le Bad Boy lui-même. Oui, mais, il embrasse bien! Nous avons un énième cas de "passion" sans raisons, qui n'est traduit pas aucune confiance, très peu de respect, une communication boiteuse et des hormones dans le tapis. Et comme toutes les histoires de cette liste, en amour, il faut souffrir!

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Classement: ADO Cette série devait aborder l'intimidation et le fait, dans une certaine mesure, mais plutôt que de dénoncer, elle se sert de l'intimidation pour établir sa trame romantique, parce que c'est romantique de tomber amoureuse de son propre bourreau, visiblement. Néanmoins, il n'y a pas qu'une présence de relation toxiques, mais bien CINQ. Non seulement le personnage principal, une centième fille mal sans sa peau qui lit de la romance de manière déraisonnable, est au centre d'un centième triangle amoureux toxique, ses propres amitiés sont nocives. Dans le roman, on retrouve beaucoup d'éléments toxiques: le détournement cognitif, bien sur, le mensonge, les non-dits, le manque de solidarité, la moquerie, beaucoup de projections et une bonne dose de violence psychologique. Notre petite idiote de service a DEUX intimidateurs, un "officiel"( le sportif tour-de-cul) l'autre "officieux"( le bad boy incompris) dont l'un a deux sbires en plus. Elle a le béguin pour les deux. Quelles qualités ont ces deux Gros Mâles alphas bien couillons? La beauté, évidemment. Arrogants, mesquins et formidablement immatures, l'un comme l'autre causent de réels problèmes à notre personnage principale, mais ce qui fait de cette série un cas perturbant, c'est qu'on axe l'histoire sur la ROMANCE. Que peut-il y avoir de romantique a sauver un sempiternel tour-de-cul qui se cache derrière son passé difficile comme excuse et un narcissique populaire et sportif, je me le demande? Mais surtout, comment peut-on croire que c'est romantique? Surtout quand l'un d'eux utilise la menace et les insultes, alors que l'autre défonce son estime de soi, la "sauve" à grand coup de violence physique, pour ensuite lui signifier que "Non, je te sauve pas pour toi, mais pour notre ami commun, espèce de conne". Que c'est beau! ( Notez le sarcasme)

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Roman ado. On a, encore une fois, un personnage de type "victime", Achille, un introverti dépressif qui se la joue extraverti, qui adopte des comportements à risque, pour mieux passer au travers du deuil se sa mère. Il devient le copain caché d'un jeune adulte hyper immature, Nicolas, extraverti ambivalent, qui entretient une dépendance à son ex, qui est d'une incroyable lâcheté et d'un grand égoïsme. Oh, c'est dépeint comme une relation mignonne, mais je n'y vois pas grand chose de sain. Au moins, Nicolas, qui joue le rôle du Bad boy ( ben oui, quoi d'autre?) n'est pas violent ouvertement envers Achille, puisque c'est de la violence psychologique qu'il emploi contre son amoureux. c'est d'autant plus odieux de sa part que son copain vient tout juste de se découvrir gay, vit un deuil et enchaine les comportements à risque ( alcool, foxage et cigarette). Pire, il s'excuse à l'aide d'un post-it de l'avoir largué sans lui dire, pour retourner avec son ex, alors que notre nouveau homosexuel sombre encore plus dans son mal-être. Et c'est lui qui, sans n'avoir rien apprit de sa triste expérience relationnelle, va retourner auprès de son bourreau des cœur "parce qu'il ne se voit pas sans lui", après trois mois de dépression intense. Ça, c'est de la pure et simple dépendance affective et c'est malsain. Il n'y a aucune logique ou estime de soi dans le fait de retourner dans les bras d'un couillon qui a la maturité d'un enfant de 11 ans qui aime la même musique et l'a déviergé/défloré. Mais il faut croire que ce l'est dans l'esprit de certaines personnes, parce que ce roman est classé "romance". "La grâce du moment" rappelle que les amours basés sur le physique sont creux, que les Bad boy sont d'épouvantables amoureux, qu'il faut croire au "premier amour", celui qui a initier et qui a abouti au sexe en premier, et que , bien sur, il en faut toujours un pour "sauver l'autre", même si aucun personnage n'a été sauvé dans cette histoire...Bref, l'amour superficiel rend aveugle, mais la passion qui en résulte rend débile.

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Roman ado: J'ai hésité à le mettre, parce que ce n'est pas une relation conjugale, mais cette "amitié" toxique rentre dans les relations interpersonnelles toxiques donc, allez-y! Donc, ce qu'on nous propose est un binôme entre un hypo-émotif et un hyper-émotif, mais à y regarder de plus près, vous noterez que le "super-sensible" est en réalité rien de plus qu'un couillon incapable de gérer sa colère. Il n'a pas d'autres émotions ce personnage, encore moins d'empathie. C'est pourtant lui qui cherche à induire des émotion chez son ami souffrant d’alexithymie, ironie quand tu nous tiens. Ce personnage est un raté, un enfant ayant été enlevé, oui, certes, mais qui se montre cruel envers les autres, spécialement son "ami", qui, pas plus brillant, se laisse malmener, violenter et même battre. Il n'y a rien d'amical dans cette relation et les insultes sont courantes en plus. Je déteste quand on sert la fiction avec une trame sur les émotions alors que le personnage supposé en avoir "trop" n'en a en réalité qu'une et c'est évidement la colère, parce que c'est visiblement la seule émotion qu'on autorise chez les personnages ténébreux incompris masculins. Et on trouve ça normal?

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***Je place ce roman adulte ici car j'ai trop d'ado en librairie qui me le demande***: Classement ÉROTIQUE ( 18 ans+) : Les mots me manquent pour exprimer mon dégout pour cette chose. Non, je ne me suis pas donnée la peine de le lire, les nombreux commentaires sont très claires là-dessus: Une fille retenue contre son gré, violée à répétition des années de temps par un Gros Mâle Alpha criminalisé qui va bien sur tomber amoureuse de son nouveau propriétaire, un certain Bad Boy de gang criminel, qui est décrit comme un "psychopathe" à chaque deux phrases. Pour citer une phrase du livre: "De la haine à l'amour, il n'y a qu'un pas". Ah, vraiment? C'est drôle, je pensais y voir là deux pôles opposés, marqué de très nombreuses nuances, mais il faut croire que dans ce genre d'univers, on est l'un ou l'autre.
Je ne vais pas m'étendre indéfiniment sur son cas, il n'y aucune base amoureuse, pas de confiance, pas de respect, pas de complicité ou encore moins de libre consentement, on est dans du sexe, du physique et du frisson. Affligeant. Sur Babelio, c'est amusant de voir que si les commentaires élogieux sont légion, ce sont les "likes" des commentaires les plus négatifs qui sont légion. Ici, on a un énième cas de "je vais te sauver avec mon amour" et "je vais changer par amour pour toi". Déjà, il faudrait qu'il sache ce que c'est "l'amour", ces deux imbéciles....

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[ Toxique] Un autre cas Wattpad, ce nid à relations toxique glorifiées. On a le classique ici: une fille en manque de sexe qui fait du voyeurisme sur son voisin riche et ténébreux, un bad boy couillon musclé qui n'aime que le noir ( et les cols roulés?) qui se rabat sur son passé difficile comme argument principal à son exécrable comportement. Et bien sur, à part le sexe, rien ne va dans cette relation. "Tomber amoureux, c'est donner à une seule personne le pouvoir de nous détruire. " résume bien le problème dans la tête de cette fille en mal d'affection. L'amour, le vrai, ne détruit pas, au contraire, il construit, appui et complémente. RIEN ne justifie ce genre de phrase, hormis la présence de composantes toxiques. On joue sur les deux extrêmes dans cette relation houleuse, à savoir "elle ressent tout" et "il ne ressent rien". Bien sur, c'est faux, c'est impossible de ne rien ressentir, sauf avec une grave atteinte psychologique. Mais c’est un peu l'idée, celle de la gentille héroïne qui va souffrir pour "réparer" le beau bad boy qui baise si bien, lui réchauffer son cœur de glace et être la "fille spéciale" qui va tout lui pardonner. Ça vous sonne "déjà-vu"? Ce l'est. C'est une recette chronique à ce stade. Les amoureuses, surtout les "premières fois" sont infestées de ce genre de pensée magique. En gros ce qu'on dit aux filles: Sauver les beaux bad boys, ils ont besoin de vous! Les autres? Quels autres? Les moins beaux? Les bien-dans-leur-peau? Nah, ils sont ordinaires, ils peuvent se passer d'amour. Merci, Wattpad et vos idées pourries qui se répète à l'infini. Ce n'est pas de la "romance", c'est valoriser des relations conjugales malsaines, comme si elles n'étaient pas déjà si nombreuses dans la vraie vie...

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[ Malsaine] Classement: Érotique. Réécriture du mythe de Perséphone, ce roman adresse donc l'une des pires relations de la mythologie grecque, soit l'une qui commence par un kidnapping. Sorte de "50 nuances de sexe grec", nous avons bien sur une vierge avide de sexe et un Bad boy magnétique dont les milliers d'année de vie le laisse malgré tout célibataire. Ce qui m'a semblé très évident dans les extraits est la forte présence de possession du mâle alpha pour son nouveau jouet sexuel qu'il dit "aimer". Les "tu es à moi" reviennent souvent, la jalousie est présente, mais la confiance, le respect et la complicités sont aussi carencés qu'un humain atteint de scorbut. Donc, encore une fois, un coup de foudre irrationnel, du sexe à chaque page, aucune fondation solide en amour, des répliques dégoulinantes de quétainerie/ringard et surtout, une relation malsaine.

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[ Toxique] [ Suggestion de MasReading] Classement: Érotique ( 18 ans+) "C'est une romance avec un bad boy présenté comme "LE héros qui va sauver la fille traumatisée". Les deux sont violents entre eux. La fille insulte le bad boy constamment, le bad boy tire la fille par les cheveux pour essayer de la forcer à manger (elle a des problèmes avec la nourriture) et même lorsqu'elle pleure il continue de la tenir, à un moment il la projette violemment contre un mur, le bad boy colle et touche la fille alors que cette dernière est traumatisée et lui dit ne pas la toucher (il faut qu'elle pleure et le supplie pour qu'il la laisse partir... et encore)... Durant certaines scènes, j'avais peur de ce que j'allais lire."

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[ Toxique] Classement: Érotisme. Suggestion de Justined38