revival du rock 70's garage/psychédélique 2010 - 2019

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Les petits australiens de Tame Impala ont aujourd'hui gravi bien des marches, avec Lonerism on retrouve des influences à la pink floyd, the beatles et pleins d'autres encore. Album à ne pas rater

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Premier album pour les australiens de Tame Impala

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Premier ep de Tame Impala qui comprend l'excellente chanson : " Half full glass of wine"

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Avec le psyché et pointilliste Super Forma, le Parisien Orval Carlos Sibelius invite les Who, Pink Floyd et Ennio Morricone à un voyage fascinant, dont on ne veut jamais revenir.

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Avec son album pop et psychédélique, la Française Melody Prochet, tête pensante et coeur sensible de Melody’s Echo Chamber, touche la félicité du doigt.

Melody’s Echo Chamber est précisément ce pont parfait entre la beauté instantanée et radieuse de mélodies qui semblent chuter directement des étoiles et une mise en son acide, psychédélique, chercheuse, une expérimentation discrète qui les teinte d’étrangeté comme de force, de nouveauté comme d’effets psychotropes. Les belles I Follow You, Crystallized, Some Time Alone, Alone, la très bien nommée Bisou magique, le petit tube âpre Endless Shore, par leurs incalculables ambivalences, leurs horizons variables, leurs géométries incertaines, font ainsi voyager les esprits de la naïveté adolescente aux sensualités plus adultes, des sensations du froid absolu au chaud des astres.

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Si le «wall of death» évoque plutôt une pratique violente du milieu metal (genre pogo), il est plus ici question de garage rock lysergique. Petits frères des Black Angels, les trois Parisiens excellent dans le rock c(r)amé et hautement psychédélique : lourdes guitares incandescentes, clavier vintage, chant évanescent seront bien au programme.

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When a band calling themselves White Manna christen a track Acid Head, they risk flirting with parody. The Californian quartet’s mantric psych-rock sound, coupled with the nomenclature, paints a potent picture, but in reality they’re far from pastiche. Their clarity of vision is visceral and true: these guys know what they like, and chase it single-mindedly across five lengthy jams.

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Les allemand de vibravoid nous font planer avec des mélodies et des ambiances dignes des plus grands

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L’impressionnant deuxième album des Black Angels s’appelle Directions to See a Ghost. Alex Maas déclare n’avoir jamais vu de fantôme, mais la légende dit que certains membres du groupe ont longtemps vécu ensemble dans une maison hantée. Et des fantômes, il y en a plein dans leur musique : la scène actuelle des copains néopsyché (Brian Jonestown Massacre, les Warlocks, Clinic), Spacemen 3, The Jesus & Mary Chain, Joy Division, le Gun Club, les Doors, le Velvet donc, le premier Pink Floyd… Les Black Angels viennent d’Austin, au Texas, capitale mondiale de l’alternative-country, du bluesrock, du singer-songwriter, et berceau du rock psychédélique avec le 13th Floor Elevators.

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Un jeune hollandais évoque les fantômes des Zombies, Syd Barrett, des Turtles ou Sagittarius : le raffinement de ses chansons est prodigieux

Agé d’à peine un quart de siècle, ce jeune Hollandais dégainait alors les popsongs psychédéliques d’un premier album qu’il a savamment intitulé Cabinet of Curiosity, et qui ressuscite avec une classe et un sens de l’écriture inouïs quelques beaux fantômes des sixties- Zombies, Syd Barrett, Turtles et Sagittarius en tête.

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Travailler chez un disquaire peut faire naître des vocations : c’est ce qui est arrivé à ces quatre Californiens qui se sont rencontrés chez le célèbre magasin de disques Amoeba Music à Los Angeles pour former Allah-Las en 2008. Nouvelle sensation psyché-surf, Allah-Las fait revivre les belles heures de la musique West Coast et de la pop sixties. Placée sous le signe du soleil et de l’été, leur musique est le remède idéal au « Summertime Blues » : guitare électrique 12 cordes gorgée d’écho et de réverbération, mélodies lumineuses, tambourin, amplis à lampes chaleureux, … tous les éléments sont réunis pour nous renvoyer directement en 1966. Le premier album paru l’année dernière (et produit par leur complice Nick Waterhouse) est un petit chef d’œuvre de pop, à la fois moderne et nostalgique.

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Le psychédélisme guérit-il la détresse psychologique ? Oui, répond ce trio frappé.

Sur fond de psychédélisme et de pop sinueuse, ce second album raconte cet apprentissage empirique de l’éloignement, le développement d’un certain instinct de survie lorsque l’impression d’être à deux doigts de l’implosion physique et psychologique devient écrasante. Aucune surprise alors de voir sur la pochette de l’album le visage de Janet Farrar, célèbre auteur d’ouvrages sur l’occultisme : dans II se cache sûrement une formule magique cathartique pour vaincre la dépression.

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Comme Tame Impala, Temples offre une extension futuriste aux vénérables écritures du genre, badigeonnés à l’époque en couleurs écarlates sur buvards complices. Bientôt, tout le monde voudra être gardien de Temples.

Sun Structures, totem méritant d’être vénéré ne s’inclue aucunement une sacralisation. Cette caverne d’Ali Baba est truffée de bonnes intentions surfant sur la vague psychédélique mais tipi parmi tant d’autres, il ne révolutionne en rien ses prédécesseurs. Inclassable, indescriptible, inapprivoisable, l’album n’est que goût et saveur méritant le calumet de la paix d’une part pour ses intentions et sa recherche. Ou un orage d’incompréhension à force d’exercer la danse de la pluie dans nos esprits d’autre part. Dieu ou Satan, quelque chose de divin somnole en nous maintenant.

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Pantalon trop court, longues chaussettes blanches et petits souliers noirs, chemise rose et vert pâles boutonnée jusqu’en haut, veste en laine verte trop grande, allure de nerd dégingandé, le Néo-Zélandais Conan Mockasin se distingue d'abord par son allure. Sa musique, elle, est une véritable machine à songes tordus. Psychédélique, aquatique, à l'image de Forever Dolphin Love, album lunaire et réfléchi sorti en 2011.

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Ses ambiances et atmosphères ont, selon son auteur, uniquement été inspirées par la simple sonorité de ce mot, “caramel”. Nous subodorons de notre côté, mais la force des disques de Mockasin est que chacun se fera sa propre image, que le bonbon en question contient quelques substances à ne pas confier à de trop jeunes bambins ; glissant, moite, plein de petits vices agréables et de positions inédites, Caramel est un album régulièrement sensuel, physique, chaud comme une nuit de sexe bizarre.

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A croire sa discographie déjà longue comme le bras (pas moins de neuf albums sortis depuis 2012) et ses sonorités garage psychédélique, on peine à croire que King Gizzard & The Lizard Wizard ne soit venu au monde il y a si peu de temps. A l’entendre, c’est plutôt jusqu’aux années 60 que l’on remonterait pour trouver ses premiers méfaits. Mais non, puisque c’est il y a seulement sept ans, à Melbourne en Australie, que ces jeunes hyperactifs ont un jour décidé de s’en aller défier les Thee Oh Sees et Ty Segall sur leurs propres terrains, dans les bacs en tentant de les rattraper mais aussi sur scène ou leur énergie n’a rien à envier à celle des californiens. Maintenant que la mission est quasi accomplie, on découvre peu à peu la richesse du groupe dont le rock s’habille désormais sans cesse de nouvelles influences, de techniques d’enregistrement pour le moins originales (les voix du premier album ont été enregistré avec quatre iPhone), voire de véritables concepts sur le fond et/ou la forme dès lors qu’il s’agit de sortir un nouveau disque.

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Avec “Death Song”, The Black Angels restent les ambassadeurs du rock psyché moderne

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Triptides continue d’explorer sur ce quatrième album une surf pop délicieuse qui n’est pas sans évoquer les groupes qui ont donné les lettres de noblesse de ce style : Beach Boys et The Mamas & The Papas pour ne citer qu’eux… Cependant à l’instar de ces précurseurs, le groupe, maintenant installé en Californie comme pour mieux recadrer son style, ajoute à cette surf pop un côté psychédélique et new-wave qui n’est pas pour nous déplaire (Hideout, Saturday).
De Wake à Over, l’album traversera des hymnes tantôt brillants, voire sautillants, tantôt vaporeux, voire confus. Tout au long des dix morceaux, vous aurez l’impression de voyager en van le long des côtes de l’Est des USA à la recherche du meilleur spot pour surfer.

“Azur” est la preuve qu’un groupe contemporain peut nous impressionner avec un retour sur le passé. Même les excellents Allah-Las ou Real Estate se font doubler sur ce coup-là. Le moins que l’on puisse dire, c’est que le label français Requiem Pour Un Twitter a eu le nez fin en signant un groupe aussi rafraîchissant.