Cover Répertoire des films ou revus en 2023 !

Répertoire des films ou revus en 2023 !

Qui dit nouvelle année dit, inévitablement, nouvelle liste. Mais cette fois-ci, changement d'habitude : au vu de la mise à jour complètement pétée de SC qui ne se bouge pas le cul pour rendre ergonomique le fonctionnement de son site, et les abonnés qui ne se bousculent plus autant qu'avant quand ils ...

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Liste de

169 films

créee il y a plus d’un an · modifiée il y a 8 jours

Dany, le chat superstar
6.9

Dany, le chat superstar (1997)

Cats Don't Dance

1 h 15 min. Sortie : 1997 (France). Animation, Comédie, Fantastique

Long-métrage d'animation de Mark Dindal

Maximemaxf Valentine a mis 7/10 et l'a mis dans ses coups de cœur.

Annotation :

Vu le 1er Janvier

7,5/10

La Bataille d'Alger
7.9

La Bataille d'Alger (1966)

La battaglia di Algeri

2 h 01 min. Sortie : 21 octobre 1971 (France). Drame, Guerre

Film de Gillo Pontecorvo

Maximemaxf Valentine a mis 9/10 et l'a mis dans ses coups de cœur.

Annotation :

Vu le 3 Janvier

9,5/10

Mélodie du Sud
5.4

Mélodie du Sud (1946)

Song of the South

1 h 34 min. Sortie : 12 novembre 1946 (France). Comédie musicale, Comédie dramatique

Film de Harve Foster et Wilfred Jackson

Maximemaxf Valentine a mis 4/10.

Annotation :

Vu le 5 Janvier

Mélodie du sud me paraît un film fascinant à évoquer dans son contexte de production et sa place souvent renié par les responsables de Disney en raison de la manière qu’il a eu de traiter la question des rapports raciales après la guerre de Sécession dans l’Amérique sudiste. Mon souci est que ce film live transpire tellement d’une naïveté très déplacée et d’une relecture vachement malhonnête et mensongère de l’histoire et des rapports qu’il en devient très malaisant. Que ça soit en montrant des gens de couleur partir au travail ou rentrer du boulot en chantant gaiement ou les personnages ne jamais évoquer, Johnny faire ami ami avec un enfant noir sans que personne ne trouve rien à redire (pas même un regard suspect ou dédaigneux, que nenni) ou les accents des noirs qui font que le film vieillit vraiment mal avec le temps, seul la mère de Johnny a droit à quelques scénettes évoquant et supposant ce qu’on aimerait voir dans un film du genre mais autrement, Walt Disney et Wilfred Jackson n’ont jamais le courage d’aller dans cette voie. Et ça ne sont pas les personnages enfants qui sauvent le film tant ils m’ont donné envie de les gifler jusqu’à la saint glinglin. Le seul qui s’en sorte est bel et bien l’Oncle Rémus : conteur insouciant semblant lui-même plonger dans ses propres histoires qu’il conte à qui souhaite l’écouter, et dont les séquences animés fonctionnent globalement bien grâce à l’expérience de Wilfred Jackson dans le domaine en plus d’avoir de fonctionner avec les non-dits et d’avoir des inspirations comiques bienvenus. Mais ça ne suffit pas à sauver l’intérêt même d’un film qui passe tellement à côté de la question et qui, si il mérite qu’on s’en rappelle comme film de patrimoine, ne se distingue malheureusement pas vraiment de la meilleure des manières.

4/10

Mickey Mouse - L'histoire d'une souris
6.9

Mickey Mouse - L'histoire d'une souris (2022)

Mickey: The Story Of A Mouse

1 h 29 min. Sortie : 18 novembre 2022. Cinéma

Documentaire de Jeff Malmberg

Maximemaxf Valentine a mis 8/10.

Annotation :

Vu le 6 Janvier

8/10

Arthur, malédiction
2

Arthur, malédiction (2022)

1 h 27 min. Sortie : 29 juin 2022. Épouvante-Horreur

Film de Barthélémy Grossmann

Maximemaxf Valentine a mis 1/10.

Annotation :

Vu le 7 janvier

Aucune idée si oui ou non je mettrais une annotation, y'a juste trop de truc à dire là : on peut même pas parler de simple ratage à ce stade...

0/10

Candyman
6.6

Candyman (1992)

1 h 38 min. Sortie : 20 janvier 1993 (France). Épouvante-Horreur, Fantastique

Film de Bernard Rose

Maximemaxf Valentine a mis 6/10.

Annotation :

Vu le 9 janvier

Passage possible à 7 en prenant du recul !

6,5/10

Un jour à New York
6.9

Un jour à New York (1949)

On the Town

1 h 38 min. Sortie : 17 mai 1950 (France). Comédie musicale, Comédie, Romance

Film de Stanley Donen et Gene Kelly

Maximemaxf Valentine a mis 8/10.

Annotation :

Vu le 11 janvier

8/10

Babylon
7.3

Babylon (2022)

3 h 09 min. Sortie : 18 janvier 2023 (France). Comédie dramatique, Historique

Film de Damien Chazelle

Maximemaxf Valentine a mis 9/10, l'a mis dans ses coups de cœur et a écrit une critique.

Annotation :

Vu en AVP le 15 janvier

Pas surprenant que la presse cinéma américaine soient si divisés face au dernier phénomène sorti du ciboulot de Damien Chazelle tant Babylon porte merveilleusement bien son titre avec cette transition si innovante mais pourtant si tragique pour les figures du cinéma qu’il met en scène. Du prologue de la première demi-heure complètement folle (décadence, impudeur et excentricité incontrôlée en puissance) jusqu’à ce finale méta célébrant le septième art d’hier comme d’aujourd’hui, l’auteur de Whiplash et La La Land nous dépeint la fin d’une époque ou l’impossible ne semblait pas avoir de limite, ou une actrice en herbe opportuniste pouvait devenir une star dans un étrange concours de circonstances avant d’être aussitôt dépassé par une industrie qui évolue si soudainement mais n’a pas assez de place à offrir à tout ceux qui ont contribué à l’art cinématographique par le passé. Chazelle se penche autant sur les figures qui resteront dans les mémoires (la décadente et excentrique Nellie LaRoy ainsi que l’alcoolique et passionnée Jack Conrad, portée à merveille par deux acteurs de grand talent) que sur les individus qui ont œuvrés dans l’ombre pour faire avancer le cinéma (Many Torres et son ascension fulgurante) et nous conte avec adresse, affection et passion le parcours tourmenté de ces gens dans une industrie qui leur survivra quoiqu’il advienne. Babylon déroute, fascine, transporte, fait rêver mais est aussi briseur de rêve en plus d’être le témoin d’une démonstration de maîtrise scénique incroyable de la part du cinéaste américano-français, réussit à mieux incorporer ses références que son précédent film (difficile de ne pas penser à Chantons sous la pluie, mais avec un œil plus critique et souvent plus cruel sur l’évolution engendré autour de l’art illusionniste que procure le cinéma et l’histoire de l’homme impliqué dans ce grand changement) et nous reste dans les oreilles avec un Justin Hurwitz qui se surpasse autant sur son partenaire de longue date. Film méta parlant aussi bien de cinéma qu’il fait du cinéma, Babylon a tout pour être l’un des films de cette année 2023 et est un véritable phénomène comme on en voit que beaucoup trop rarement.

9,5/10 (chronique de blog prochainement)

La Folle Ingénue
7.8

La Folle Ingénue (1946)

Cluny Brown

1 h 40 min. Sortie : 4 juin 1947 (France). Comédie romantique

Film de Ernst Lubitsch

Maximemaxf Valentine a mis 8/10.

Annotation :

Vu le 16 janvier

8/10

The Fabelmans
7.3

The Fabelmans (2022)

2 h 31 min. Sortie : 22 février 2023 (France). Drame, Biopic

Film de Steven Spielberg

Maximemaxf Valentine a mis 9/10 et l'a mis dans ses coups de cœur.

Annotation :

Revu en AVP le 20 janvier

Voir mon annotation en 2022

9,5/10

Night on Earth
7.5

Night on Earth (1991)

2 h 03 min. Sortie : 18 décembre 1991 (France). Comédie, Drame, Sketches

Film de Jim Jarmusch

Maximemaxf Valentine a mis 8/10.

Annotation :

Vu le 22 Janvier

Ah ben voilà je préfère ça : j’avais des appréhensions à revoir un Jim Jarmusch à ses débuts après le soporifique Stranger Than Paradise ou il confondait, selon moi, traiter du thème de l’errance et faire un film errant sans but. Avec Night on Earth et ces 5 sketchs, Jarmusch en dit beaucoup plus sur la vie et le caractère de chacun, sur leurs rencontres fugaces le temps d’un trajet en taxi dans 5 villes du monde, que ça soit un émigré d’Allemagne de l’Est et un new-yorkais loquace et alerte, un italien pêcheur et un homme d’église trop sensible, ou encore une aveugle française sur la défensive face à un chauffeur ivoirien à fleur de peau. Night on Earth étonne agréablement par sa capacité à créer tantôt une chimie prenante entre une agente de casting et une conductrice débraillé et à la vie bordélique alors que rien ne les lient, tantôt toucher par les déboires de vie d’un chauffeur de taxi finlandais qui rabat les cartes face à un employé ayant eu une mauvaise journée, ou faire rire à dose d’humour noir par les récits de jeunesse ô combien phallique et déplacé d’un Roberto Begnigni énergique, avec une simplicité de filmage et une durée équilibré entre chacun de ces courts. Le tout rythmé par la voix caverneuse de Tom Waits (à la bande originale) qui, disons ce qui est, reste gravé en tête. Encore un très bon choix dans la filmographie de Jim Jarmusch dont un visionnage occasionnel ne fait jamais de mal.

8/10

Spirit : L'Indomptable
4.5

Spirit : L'Indomptable (2021)

Spirit Untamed

1 h 28 min. Sortie : 28 juillet 2021 (France). Animation, Aventure, Western

Long-métrage d'animation de Elaine Bogan et Ennio Torresan

Maximemaxf Valentine a mis 2/10.

Annotation :

Vu le 25 janvier

Si Spirit : l’indomptable (lol) n’était pas tiré d’une série en 3D qui, elle-même, est un reboot du film de 2002, je serais peut-être moins rancunier vis-à-vis de Dreamworks pour avoir pondu de son côté obscur de l’animation un produit qui est tellement l’antithèse du film de Kelly Asbury et Lorna Cook (envers lequel j’ai une profonde affection) que ça en est inexcusable. Outrepassons l’animation en 3D datée digne du début des années 2000 avec le budget réduit et le travail sous-traité par un studio partenaire, Lucky et la galerie de personnages tous plus vide les uns que les autres de personnalité, outrepassons la platonique et inexistante mise en image nous rappelons qu’on regarde un film d’animation indigne de sortir en salle, les chansons creuses et sans originalité, les clichés à ras bord et outrepassons aussi les idiotes d’écritures bêtes comme pas permise (le père qui envoie sa fille vivre chez pépé après la mort de sa mère au lieu d’essayer de l’élever ? Qui ne tente même pas de la faire surveiller pour qu’elle n’approche pas de Spirit ?). Le plus incompréhensible c’est de voir à quel point cette licence (reprise en série puis rebooté ici en film) renie totalement le fond du p’tit bijou Dreamworks Animation : le film de 2002 s’évertuait à rendre Spirit libre et fier, à le faire réagir différemment selon ses rencontres qu’elles soient bonne ou mauvaise, à en faire le porte étendard d’un Ouest sauvage fantasmé qui n’a pas encore été contrôlé par l’Homme et qui ne le serait pas encore, à l’image du mustang se battant pour rester à l’image de ce grand Ouest sauvage et libre de ses choix. Ici tout ça part au chiotte dés que Spirit est capturé en un éclair et qu’il se laisse dresser docilement par Lucky au bout d’une demi-heure de film, et que tout prend des allures de série pour fillette tant y’a aucune peur ni implication sincère qui ressort de ces 1h20 de film sans compter le générique. Au final on n’a qu’une envie : c’est de revoir le film de 2002 et d’oublier cette gonflante étrangeté qui n’a même pas rentabilisé son budget et est à l’image des mauvaises séries d’animation occidentaux en 3D avec lesquels on biberonne nos mômes. En tant que tel c’est pas offensant à proprement parler, mais il y’a tellement rien dans ce film, mais vraiment rien.

2/10

Snoopy et les Peanuts, le film
6.4

Snoopy et les Peanuts, le film (2015)

The Peanuts Movie

1 h 33 min. Sortie : 23 décembre 2015 (France). Animation, Aventure, Comédie

Long-métrage d'animation de Steve Martino

Maximemaxf Valentine a mis 8/10.

Annotation :

Vu le 26 janvier

Pourquoi Blue Sky Studio n’a pas tenté de proposer davantage de film de ce style ? Snoopy et les Peanuts, je connaissais que de réputation, n’ayant jamais mis la main sur une BD de Charles M. Schulz mais les bons échos de ce film d’animation des papas de L’Âge de Glace me sont parvenus aux oreilles et pour le coup, ça a été la bonne surprise comme j’aime en avoir. Graphiquement rafraîchissant avec un stylisation BD et une physique saccadé très bien modélisé, Snoopy et les Peanuts est un film très bon enfant qui réussie à être également accessible grâce à sa représentation à l’échelle d’enfant d’une société adulte. Ces derniers n’étant incarnés dans ce film que par des bruitages sonores et jamais physiquement, Steve Martino laisse toute latence à Charlie et son entourage pour délivrer ses leçons de vie avec une certaine ingéniosité et une identification très forte qui se fait autour du gamin gaffeur. Par le biais de situations toutes très bien traités, d’un timing comique bien contrôlé aussi bien sur le plan du slapstick que de la réplique, et d’une sincère envie de bien faire et de donner plus d’un sens de lecture à la quête personnel de Charlie, c’est au final le film d’animation le plus sincère et surtout le plus abouti depuis les 2 premiers L’Âge de Glace. Même les scènes, détachés du réel, avec Peanuts sont assez divertissantes à défaut d’être pleinement utile. Et après avoir vu le gros navet infantile de 2021 sur Spirit, autant dire que voir un film comme Snoopy et les Peanuts fait vraiment du bien.

8/10

Astérix & Obélix - L'Empire du milieu
3.3

Astérix & Obélix - L'Empire du milieu (2023)

1 h 54 min. Sortie : 1 février 2023. Aventure, Comédie, Fantastique

Film de Guillaume Canet

Maximemaxf Valentine a mis 1/10 et a écrit une critique.

Annotation :

Vu en AVP le 29 janvier

20 ans depuis Astérix et Obélix : Mission Cléopâtre qu’Astérix se fait humilier en film live. En passant entre les mains de Langmann/Forestier puis Laurent Tirard, les mêmes erreurs et incompréhensions n’ont eu de cesse de se répéter, maintenant imaginez qu’on combine le pire des 2 films. Astérix et Obélix : l’Empire du milieu est louable sur le papier dans l’intention de proposer une histoire purement inédite, mais s’écroule immédiatement dès qu’on voit Astérix faire sa crise végétarien et passer pour une victime sous les traits d’un Guillaume Canet pour qui l’envie d’arracher la moustache ne m’a jamais quitté (et encore Jonathan Cohen en Graindemais, c’est pas mieux). Tout le casting joue comme si chacun était dans un film différent : Lellouche et Canet dans une comédie romantique, Jonathan Cohen dans son show, Julie Chen et Leanna Chea dans un drame historique et un film d’art martiaux, même Vincent Cassel et Marion Cotillard, c’est affligeant. Pire encore, à aucun moment on a la sensation de voir les personnages de la BD à force de cumuler les noms de stars sur 1h50 de film, y compris l’ex footballeur suédois Zlatan Ibrahimovic, et le duo McFly/Carlito qui ne fait rien de mémorable. Ça tente (encore) de reprendre la formule que Chabat avait si bien appliqué en 2002 mais sans le comprendre et sans comprendre Astérix : entre clins d’œil inutile (Karaté Kid, We Will Rock You, Dirty Dancing, le cinéma d’arts martiaux avec la mise en scène la plus molle que j’ai vu depuis longtemps), des blagues modernes ratés ou éculés au milieu duquel se noie les trop rarissimes bonnes vannes (Orelsan en Titanix), une scène atrocement embarrassante avec son discours féministe surchargé, les personnages au caractère trahi, un Astérix quasiment inutile au fil rouge sauf pour faire de la présence et des intrigues amoureux pour nos héros déjà soporifique dans « Au service de sa majesté » (putain mais on ne lit pas Astérix pour voir ça bordel), Ramzy Bédia et Manu Payet chacun transparent ou lourd au possible et une bataille finale sans enjeu qui en plus ne se marie pas du tout avec l’esprit de la BD, l’échec est si colossal après les 2 films d’Astier et Clichy (bien qu’inégal par moment) qu’il y a de quoi s’inquiéter. Et ça me fait me redire que le premier film de Claude Zizi… il était vraiment pas si mal comparé à ce qu’on a à partir de 2008 en live.

1/10

Mon oncle
7.6

Mon oncle (1958)

1 h 57 min. Sortie : 10 mai 1958. Comédie

Film de Jacques Tati

Maximemaxf Valentine a mis 7/10 et le regarde actuellement.

Annotation :

Vu le 30 janvier

7/10

Miracle en Alabama
7.9

Miracle en Alabama (1962)

The Miracle Worker

1 h 46 min. Sortie : 10 octobre 1962 (France). Biopic, Drame

Film de Arthur Penn

Maximemaxf Valentine a mis 9/10 et l'a mis dans ses coups de cœur.

Annotation :

Vu le 2 Février

Est-ce un euphémisme de dire que sur ces 1h40, Patty Duke et Anne Bancroft m’ont totalement époustouflé d’authenticité dans cette adaptation cinéma de la pièce de théâtre déjà mise en scène par Arthur Penn lui-même ? Un Miracle en Alabama bouscule émotionnellement dans la confrontation entre une institutrice aux méthodes non conventionnels et une fillette de 7 ans muette, sourde, aveugle et sans éducation et donc pour qui tout est à rattraper. Tout est une question de patience mais également une guerre de nerfs entre une institutrice anciennement aveugle également et ayant vécu dans un milieu insalubre et infernale, et une enfant envers qui les parents n’ont rien donné d’autres que de la pitié et en ont oublié à la traiter humainement. On peut résumer ce conflit à la scène du repas qui vire à la confrontation la plus physique et cacophonique entre Helen tentant d’inculquer les premiers actes de savoir-vivre à une enfant qui ne comprends rien à cela, seule la colère et (osons le dire) la haine mutuelle semble en ressortir avec une brutalité impactante, pour finir sur une note d’espoir hors-champ. Penn travaille la composition de son cadrage et des éléments du décor ainsi que la place d’Helen et de la petite Annie pour montrer comment la communication par le toucher évoluera entre elles, et ce avec une précision chirurgicale qui force l’admiration. Tout est à la fois question d’éducation, de domination entre deux caractères intraitables, sans vouloir faire la moindre concession, et ou Penn ne craint pas de faire durer un plan pour exécuter durant plusieurs dizaines de secondes une évolution non négligeable dans le parcours que tente de faire traverser l’institutrice à la fillette. Difficile de ne pas être au minimum ému quand on constate en fin de course ou elles en sont arrivées dans ce chaos. Et cela a de quoi calmer facilement les enfants qui manquent d’éducation et de respect à leurs parents à mon avis : si vous ne vous comportez pas bien, les grands moyens frapperont à votre porte et vous le sentirez passer les enfants.

9,5/10

Knock at the Cabin
5.7

Knock at the Cabin (2023)

1 h 40 min. Sortie : 1 février 2023 (France). Épouvante-Horreur, Thriller

Film de M. Night Shyamalan

Maximemaxf Valentine a mis 6/10.

Annotation :

Vu le 3 Février

Ou en est M.Night Shyamalan depuis le temps ? Alors qu’il avait retrouvé l’humanité de ses débuts avec Split avant d’être plus glissant avec Glass, son louable mais très bancal Old donne toute les inquiétudes justifiables quant au devenir du cinéma du réalisateur de Sixième Sens et Le Village. Knock at the Cabin est un autre de ses films partant d’un concept de départ attrayant sur le papier mais casse-gueule à mettre en application, pourtant pendant sa première moitié : Shyamalan s’en tire relativement bien en réussissant à rendre anxiogène et imprévisible la visite de ces 4 visiteurs et leur prédiction d’une fin du monde si un sacrifice n’est pas réalisé par la famille du personnage campé par Jonathan Groff. La focale, les plans serrés, les paroles ou actions maladroites de Bautista pour mettre un peu plus à l’aise et détendre jouant avec cette limite entre étrangeté et ridicule (la diffusion du dessin animé), la paranoïa du couple homosexuel au vécu mouvementé, la connexion avec le monde extérieur ne passant que par un écran de télévision et dont les infos semblent trop bien calculé pour que ça soit une réalité (avec un caméo qui m’a personnellement fait sourire de Shyamalan), on est curieux et on en veut plus. Mais passé la première moitié, Shyamalan tourne finalement en rond scénaristiquement sans réussir à creuser plus loin, en plus de cumuler là encore des directions d’acteurs inégales entre certains assez juste au final comme Bautista et Groff, et d’autres approximatifs voire ridicule (Nikki Amuka-Bird et et Abby Quinn Jackman notamment, et Rupert Grint s’en tire moyennement également) et le tout se finit sur une parabole biblique forcé et tout sauf subtil dont on aurait finalement aimé se passer. Mais après le cataclysme qu’a été Astérix et Obélix : L’empire du Milieu il y a peu, ça reste un film nettement plus défendable et une tentative largement plus honnête, mais on espère quand même plus de Shyamalan.

6/10

Bumblebee
5.6

Bumblebee (2018)

1 h 54 min. Sortie : 26 décembre 2018 (France). Action, Aventure, Science-fiction

Film de Travis Knight

Maximemaxf Valentine a mis 5/10.

Annotation :

Vu le 6 février

Effectivement c'est différent de ce que nous a proposé Michael Bay, et certains moments font mouche. Mais ça ne casse pas trois pattes à un canard.

5,5/10

Waterworld
5.7

Waterworld (1995)

2 h 16 min. Sortie : 25 octobre 1995 (France). Action, Aventure, Science-fiction

Film de Kevin Reynolds

Maximemaxf Valentine a mis 6/10 et l'a mis dans ses coups de cœur.

Annotation :

Vu le 8 février

6,5/10

Kaguya-sama: Love Is War - The First Kiss That Never Ends
7.6

Kaguya-sama: Love Is War - The First Kiss That Never Ends (2022)

Kaguya-sama wa Kokurasetai: First Kiss wa Owaranai

1 h 30 min. Sortie : 11 février 2023 (France). Animation, Comédie, Romance

Film de Mamoru Hatakeyama

Maximemaxf Valentine a mis 8/10, l'a mis dans ses coups de cœur et a écrit une critique.

Annotation :

Vu le 11 février

La saison 3 laissait beaucoup de choses en suspens après le sommet atteint au festival de l’Académie Shuchiin, mais aussi des incertitudes sur le cœur de cette saison : la relation maintenant floue et évolutive entre Kaguya et Miyuki. La principale crainte était d’assister à un retour en arrière pour faire durer artificiellement le manga, heureusement Aka Akasaka semble prouver qu’il est nettement au-dessus de ça et il choisit de confronter les deux génies du BDE sur un pied d’égalité quant à leur problème commun : celle de montrer leur grande faiblesse et surtout le masque sociale qu’ils se sont constitués de peur de blesser ou d’être blessé (la froideur glaciale de Kaguya issue de son éducation extrêmement stricte et de la psychologie des Shinomiya, l’éternel imperfection de Miyuki qui lui a coûté énormément par le passé). Passé les scènes de vies habituelles des membres du BDE et les nombreux rires déclenchés avec la maîtrise habituelle qu’on connait à Akasaka en matière de situation et de dialogue (le panier repas le retour, le parfum de Kaguya, l’invitation de Tsubame à la fête de Noël, le conflit des 3 Kaguya, le malentendu après le baiser langoureux de fin de saison 3, les conseils en amour), le terrain préparé pour d’autres liaisons amoureuses plus ou moins compliqué (Yû et Tsubame, le pendentif en forme de cœur récupéré par Iino Miko) et les passages court mais mesuré de certains guest (le père de Miyuki me fera toujours marrer), c’est surtout une extrême empathie que l’on finit par développer pour ce duo de grande inculte de l’amour dont la fierté se transforme définitivement en masque pour couvrir ce dont ils ont le plus honte. Je n’ai pas encore eu l’occasion de le voir en VF, mais on retrouve l’incroyable implication de la formidable Aoi Koga sur Kaguya et de l’extrêmement impliqué Makoto Furukawa pour porter leur panoplie variée d’émotion à merveille. Malgré un format de sketch qu’A-1 Picture ne tente pas d’adapter au format cinéma, Kaguya-Sama Love is War : The First Kiss That Never Ends est un excellent miroir du final de la saison 3 en plus d’également bénéficier de ses perles comiques et d’une animation peaufiné pour les besoins du format cinéma. Y’a pas à dire, vivement la suite en manga et en série animée.

8,5/10

Playtime
7.6

Playtime (1967)

2 h 06 min. Sortie : 16 décembre 1967. Comédie

Film de Jacques Tati

Maximemaxf Valentine a mis 6/10.

Annotation :

Vu le 12 février

C’est pas la première fois qu’un film de Jacques Tati me laisse de marbre au point de me demander, à nouveau, si son cinéma est fait pour moi ou si j’ai vu ses films dans les mauvaises conditions. Playtime emprunte beaucoup au cinéma muet, au comique visuel et sonore, au burlesque surtout et son travail de composition du cadre ainsi que des décors et de la reconstruction très aseptisé, aussi bien verticale qu’horizontale dans son architecture, et métallique de la ville ou M.Hulot gambade ici et là mérite d’être salué et remarqué. Mais j’adhère vraiment pas à cet humour « silencieux » ou tout n’est que brouhaha léger, chuchotements et discussions qui se mélangent pour un résultat difficile d’accès voire inaudible, ou il n’y a quasiment pas de protagoniste défini (Hulot et Barbara étant au final aussi figuratif que n’importe quel acteur) et ou Tati fait passer son propos par les scènes de vies qui prennent une tournure cocasse à un rythme trop lent à mon goût, trop poli, trop en retenu pendant trop longtemps, et une comédie du son qui a peiné à me faire sourire malgré la volonté satirique qui se cache derrière chacune des séquences mise en scène sur une société trop carré, trop proprette, trop formalisé et surtout trop encadré. Personnellement j’ai besoin d’avoir au moins 1 ou 2 personnages clairement définis pour être un minimum engagé, j’ai plus de compatibilité avec l’humour par les (bons) mots, le slapstick, le cartoon, le comique de situation avec les montées progressives et la manière de les mettre en pratique et de leur donner une utilité au récit… or ici j’ai juste l’impression que Tati donne plus la vedette à l’environnement et à des scènes de vies ou il déconnecte le spectateur de tout implication émotionnel ou de tout personnage, et donc pour moi la magie ne prend pas. Surement qu’il y a un public et tant mieux j’ai envie de dire car c’est clairement loin d’être un mauvais film au sens propre du terme, mais là : c’est vraiment pas mon style d’humour.

6/10

Alerte rouge
6.4

Alerte rouge (2022)

Turning Red

1 h 40 min. Sortie : 11 mars 2022. Animation, Aventure, Comédie

Long-métrage d'animation de Domee Shi

Maximemaxf Valentine a mis 8/10, l'a mis dans ses coups de cœur et a écrit une critique.

Annotation :

Revu en Blu-Ray le 13 Février

8,5/10

César et Rosalie
7.3

César et Rosalie (1972)

1 h 51 min. Sortie : 27 octobre 1972. Drame, Romance

Film de Claude Sautet

Maximemaxf Valentine a mis 8/10 et l'a mis dans ses coups de cœur.

Annotation :

Vu le 16 février

Si Netflix fait du vilain depuis un moment, il a aussi le mérite d’avoir dans son catalogue tournant des titres vers lesquels j’aurais peut-être eu plus de mal à me tourner précédemment. C’est le cas de César & Rosalie qui m’introduit au cinéma de Claude Sautet, qui dépeint le triangle amoureux formé avec David un amour de jeunesse dont plusieurs années la séparent de la vie vécue par Rosalie. Tout trois issues d’un milieu social différent, tout trois imparfaits mais cherchant sans cesse à devenir meilleur malgré leur travers personnel. Sautet privilégie le naturel dans sa manière de filmer, aborde la jalousie de César avec une palette d’émotion très finement traité et doit également beaucoup au talent d’Yves Montand, avant de le montrer faire ce qui lui est possible pour rattraper ses bévues et de développer une sincère amitié avec David, artiste à en devenir ayant conservé des émotions fortes pour une Rosalie indécise et qui ne sait pas quoi demander ni quoi choisir. Claude Sautet évite consciencieusement tout écueil lié au triangle amoureux et va même surprendre dans un dernier tiers (un peu longuette, certes) en démontrant une amitié naturelle se tisser entre les deux hommes. Les discussions autour repas, les parties de cartes, la spontanéité amicale entre ces gens de milieux différent, les moments de colères et d’emportements brefs mais intense, l’emploi de la bande originale de Philippe Sarde, le rattachement qu’on éprouve pour cet étrange mais fascinant trio, l’envie de se rapprocher le plus possible d’un idéal certes utopique mais qui n’exclut pas le travail sur soi-même, bref, malgré quelques longueurs qui se font sentir dans le dernier tiers c’est une très belle leçon de vie sociale réalisé par Claude Sautet. Et je pense que je vais en profiter pour voir ce qui a été mis sur Netflix du même réalisateur tant que cela est possible.

8,5/10

Max et les Ferrailleurs
7.4

Max et les Ferrailleurs (1971)

1 h 52 min. Sortie : 17 février 1971. Policier, Drame, Romance

Film de Claude Sautet

Maximemaxf Valentine a mis 8/10.

Annotation :

Vu le 17 février

8/10

Le Petit Nicolas - Qu'est-ce qu'on attend pour être heureux ?
7.3

Le Petit Nicolas - Qu'est-ce qu'on attend pour être heureux ? (2022)

1 h 22 min. Sortie : 12 octobre 2022. Animation, Comédie, Jeunesse

Long-métrage d'animation de Amandine Fredon et Benjamin Massoubre

Maximemaxf Valentine a mis 8/10, l'a mis dans ses coups de cœur et a écrit une critique.

Annotation :

Revu en Blu-Ray le 18 février

8,5/10

Les Choses de la vie
7.3

Les Choses de la vie (1970)

1 h 29 min. Sortie : 13 mars 1970. Drame, Romance

Film de Claude Sautet

Maximemaxf Valentine a mis 9/10.

Annotation :

Vu le 19 février

Troisième essai transformé avec Claude Sautet : après le triangle amoureux intimiste et le polar noir, retour à une tranche de vie dramatique ou il se penche sur le quotidien d'individus proche de madame ou monsieur tout le monde. Mais avec une touche de sensibilité en plus qui m'avait très légèrement échappé avec "César & Rosalie" : Sautet emploie à merveille le décor et l'environnement pour parler de ses personnages, et exploite la moindre de leur réaction pour les décrypter et leur donner de la consistance et de la profondeur (Hélène et sa scène de ménage en voiture face à un Michel Piccoli silencieux se contentant d'encaisser sans prendre pleinement conscience de la situation sur leur relation sur le coup ; les quelques instants passés sur les lieux de travail de Paul montrant son rôle d'architecte) en plus de traiter des rapports de Paul avec son entourage par le biais du réalisme en présentant des archives de son existence avec parcimonie (Catherine, son ex). Mais c'est surtout après l'ultime départ de Paul, après l'accident (à la brutalité excellemment retranscrite et transmises par le montage), que le titre gagne totalement son sens et son importance : les "choses" de la vie passant aussi bien par des petits rien en apparence insignifiante que des moments de joie ou des moments que l'on regrette, le tout avec la voix off très détachée et même tendre de Piccoli dont l'inconscience de son état bouleverse alors qu'il est en pleine remémoration de ces petits moments qui comptent tout autant que ceux qui nous reviennent en mémoire en priorité. Intime, filmé avec pudeur et attachement envers ses personnages, s'évertuant à donner du sens au détail et confirmant définitivement les talents de conteur de Sautet, Les Choses de la vie se place en tête de ce que j'ai savouré de mieux chez le cinéaste et j'espère que ça ne s'arrêtera pas là.

9/10

Il était une fois en Chine
7.4

Il était une fois en Chine (1991)

Wong Fei Hung

2 h 14 min. Sortie : 18 mars 2000 (France). Aventure, Arts martiaux, Historique

Film de Tsui Hark

Maximemaxf Valentine a mis 10/10.

Annotation :

Revu en Blu-Ray le 22 février

10/10

Les Fleurs de Shanghai
6.8

Les Fleurs de Shanghai (1998)

Hai shang hua

1 h 54 min. Sortie : 18 novembre 1998 (France). Drame

Film de Hou Hsiao-Hsien

Maximemaxf Valentine a mis 5/10.

Annotation :

Vu le 24 février

J’irais droit au but, Hou Hsiao-Hsien : je n’ai ni haine ni admiration pour le bonhomme. Hormis Le voyage du ballon rouge qui est le seul film ou j’ai réussi à m’y retrouver et à m’imprégner des scènes de vies avec Juliette Binoche en vedette, ses films m’inspirent au mieux une indifférence courtois avec une reconnaissance de ses qualités formelles difficile à remettre en cause, au pire un ennui soporifique (limite proche de m’endormir, c’est terrible) dû à sa mise en scène linéaire et son incapacité à susciter des émotions ou de l’intérêt sur le long terme tant le cinéaste taiwanais s’entête à miser sur le minimalisme en matière de narration et semble plus à même de valoriser le décor que ses personnages et leurs histoires personnelles. Les Fleurs de Shanghaï s’inscrit justement dans cette démarche plus que problématique : d’un côté il démontre qu’il a un réel talent pour diriger ses comédiens et donner une crédibilité totale à une séquence avec sa volonté de non-coupe, parsemant ici et là ses intrigues au cœur des maisons de courtisane de Shanghaï (les rivalités, les cœurs indécis, les promesses en carton menant inévitablement à la déception) et la gestion de l’éclairage et de la photo donne un grain honorable à ce film. Mais passé la moitié du film, le traitement minimaliste de ces petites histoires finit par endormir car elles ne semblent jamais décoller. Et ça joue à nouveau en défaveur du film au profit d’une esthétisation certes très enjolivé mais ça suffit pas à faire un film : juste un beau livre d’image au service d’une narration très décousu, à des personnages auxquels on peine à s’identifier ou à pleinement s’intéresser et un thème principal tellement répété qu’il a fini par me sortir par les oreilles (autant que le thème de George Delerue du film Le Mépris de Godard alors que pourtant c’est l’une musique magnifique mais faut pas abuser des bonnes choses). Et au risque de faire grincer les dents aux fans d’Hsiao-Hsien, j’en viens à croire que j’aurais mieux rentabiliser mon temps à réécouter les génériques de magical girl tel Magical Dorémi pendant 1h49 plutôt que refaire un essai avec la filmographie du cinéaste (don’t kill me please).

5/10

Empire of Light
6.5

Empire of Light (2022)

1 h 59 min. Sortie : 1 mars 2023 (France). Drame, Romance

Film de Sam Mendes

Maximemaxf Valentine a mis 6/10.

Annotation :

Vu le 26 février en AVP

La mode est au décor cinématographique dernièrement : entre la transition du cinéma muet au cinéma parlant avec l’exubérant Babylon et les débuts de cinéaste d’un enfant témoin de la déchirure familiale dans le très intimiste The Fabelmans, la concurrence est telle qu’il fallait bien une déception parvenir, et c’est sur Sam Mendès que cela arrive en ce qui me concerne. Empire of Light est un joli petit film bien réalisé, bien interprété par Olivia Coleman et Michael Ward mais qui peine cruellement à faire le lien entre les difficultés sociaux et sociétales vécus par Hilary et Stephen (la complicité de l’adultère et la schizophrénie pour l’une, les discriminations raciales par les skinhead britannique et l’aboutissement scolaire pour l’autre) et une prétendue hommage au cinéma. On ne se penche que trop rarement sur ce point-là tant le cinéma Empire n’est là que pour un décor central malgré les rares tentatives de donner de l’importance au lieu ou on ne sent aucune répercussion (l’avant-première de gala, l’étage abandonné, la séance en fin de film). Revoir les ambitions à la baisse pour quelque chose de plus intimiste est louable, mais en comparaison qu’un Away We Go ou d’un Les Noces Rebelles, j’ai senti qu’il avait moins la main que par le passé : surtout parce que son film est trop nettement balisé, peine à surprendre et réussi à pédaler dans la semoule pour rendre le personnage de Coleman empathique durant sa crise en milieu de film, et si l’entente est plus que correcte entre Stephen et Hilary, on est quand même loin d’être aussi ému qu’on aimerait l’être de la part d’un film de Mendès. Et dernier p’tit coup de clou, le duo Atticus Ross/Trent Reznor, c’est pas Thomas Newman. Leur composition au piano a beau tenter de se retrouver la sensibilité du compositeur de toujours de Mendès, on les sent moins inspirés et ça en devient même académique. Bref, un sympathique petit film de drame romantique mais qui dégage une désagréable sensation de fadeur passé Babylon et The Fabelmans, mais aussi 1917 et même Spectre malgré tout les problèmes qu’a ce dernier.

6/10

Angel Heart - Aux portes de l'enfer
7.2

Angel Heart - Aux portes de l'enfer (1987)

Angel Heart

1 h 53 min. Sortie : 8 avril 1987 (France). Thriller, Fantastique, Film noir

Film de Alan Parker

Maximemaxf Valentine a mis 7/10.

Annotation :

Vu le 28 février

7/10

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