(re)Joués en 2023 - Liste commentée

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Fini (coop à trois)

Quatrième épisode de la série de jeux de puzzles plateformes 2D des finlandais de Frozenbyte et c'est un peu dans la foulée de ce que j'avais pensé du second (pas joué au troisième) sauf que...je l'ai fait en coopération ce coup-ci!

Globalement, la pâte artistique est toujours assez chouette, même si c'est moins bariolé et saturé que les épisodes 1 et 2; ce qui enlève un peu de charme et de personnalité à cet épisode. Ça reste Trine, mais paradoxalement, je trouve le premier toujours plus joli que cet épisode.
En coop, je noterais aussi que la lisibilité est un peu confuse, la faute à des swap-color pas très heureux qui restent dans des tonalités très proches et plutôt sombres; on passe donc un peu son temps à chercher son perso alors qu'une simple silhouette colorée par joueur aurait franchement rendu le tout bien plus simple. Il y a une tentative d'avoir le numéro du joueur qui flotte au-dessus de son perso, mais la police de caractère est tellement petite que 90% du temps, on oublie même que cette indication existe.

Pour la partie gameplay, toujours pas fan des combats que je trouvais vraiment envahissant dans Trine 2 et qui sont toujours aussi nombreux ici. MAIS, en étant à trois, on s'en fout, on bourre comme des ânes avec le guerrier et c'est réglé en dix secondes. Ce qui trivialise complètement cet éléments de gameplay, mais qui au moins enlève le côté frustrant des mêmes combats en solo. Le jeu a encore le système d'upgrades un peu nul: comme ils sont optionnels, les devs sont obligés de faire des puzzles qui ne prennent en compte aucune des compétences à débloquer, donc ces compétences ne servent à rien...

Par contre, quand Trine redevient Trine, à savoir un jeu avec trois personnages qui ont chacun des capacités différentes que l'on swappe pour résoudre des puzzles, bah c'est toujours chouette! Et on se fend la face en coopération évidemment, à s'entraver en permanence avec les caisses du magicien ou à couper les cordes des copains avec des flèches, tout en ayant certains puzzles vraiment bien fichus.

Toujours une recommendation molle en solo, mais un franc "oui" en multijoueur sur le canapé.

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Fini (198h)

Jeu de rôle action se déroulant en Angleterre au IXeme siècle. Même s'il est dans les clous d'Origins et Odyssey avant lui, Valhalla manque de souffle pour être aussi mémorable que les deux épisodes précédents que j'adore.

Étonnamment, c'est presque dans les moments narratifs que Valhalla brille le plus. Malgré Eivor qui n'est pas un personnage super intéressant (elle commence à l'être vers la moitié du jeu...75 hours in) les quêtes d'alliance sont vraiment chouettes et offre des sortes de mini-saisons d'un show, avec des personnages nouveaux et agréables à suivre à chaque fois.

Un mot aussi sur la seconde partie du cross-over avec Odyssey (j'ai commenté la première partie l'année dernière sur Odyssey justement): c'est cool! Ce DLC gratuit se déroule sur l'île de Skye, qui est très jolie. Il y a de chouettes coins à explorer et Kassandra est toujours bae.

Le jeu tient du reste sur un contenu pléthorique et je vais faire une todo sinon, je ne vais pas m'en sortir:
-Terminer l'histoire principale ✓
-Tuer tous les membres de l'ordre X
-Tuer tous les animaux légendaires ✓
-Finir les river raids ✓
-Faire le DLC cross-over avec Odyssey ✓
-Faire le DLC Druides ✓
-Faire le DLC France ✓
-Faire le DLC Ragnarok X
-Finir le mode rogue-lite X

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Fini

Premier des trois gros DLC de Valhalla, cet épisode se déroule en Irlande où l'on étend l'influence du cousin d'Eivor, roi de Dublin.

Première idée du DLC: reprendre le contrôle de zones de commerce, au nom du roi de Dublin; on commence par les vider des envahisseurs, puis on doit retrouver un acte de propriété qui permet de les remettre en route, et enfin on utilise des ressources que l'on trouve dans les raids, pour reconstruire les différences partie de ces commerces. Chaque commerce amène alors un nouveau type de ressource que l'on peut utiliser pour acheter des armures, tatouages et modification pour son bateau de viking, à des commerce étrangers. Et chaque achat ajoute de la notoriété à Dublin. Dans l'idée, je suis content de retrouver des éléments de ce type qui font penser à Monterrigioni dans ACII. Mais en réalité, cette partie commerce se fait au travers d'un menu quand on parle à un PNJ en particulier et les changements de niveau d'influence de Dublin sont si minimes qu'entre chaque niveau j'étais incapable de dire si la modélisation de la ville avait changé.

En sus, il y a également des arènes druidiques où, sous l'emprise de fumée empoisonnée, on doit se battre contre une salve d'ennemis, dont certains (les loups-garous en particulier) sont sacrément costauds.

Et le DLC explore la religion/les croyances druidiques au travers d'un nouveau culte à assassiner, composé d'une dizaine de membres: les Danus, des druidesses en roue libre. Autant la partie politique est okay, mais n'apporte rien de spécial par rapport au jeu de base, autant cette partie là offre quelques missions avec une belle ambiance glauque que j'ai beaucoup apprécié et qui rappelle la partie Velen de The Witcher 3.

Pour finir, une excellente nouvelle: plein de nouvelles armures avec ce DLC et le jeu de base en avait vraiment besoin. On a une armure celtique, une druidique, plus trois ou quatre sets supplémentaires à débloquer via le système de commerce et d'échange de denrées.

C'est donc un bon DLC dans une nouvelle zone avec une histoire correcte et une atmosphère macabre par moment que j'ai apprécié; presque trop long, à l'image du jeu principal. Pas à se taper le cul par terre, mais vraiment cool.

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Fini

Arrivée d'Eivor en France pour participer à un conflit opposant saxons, francs et clans nordiques.

Le DLC se déroule dans une nouvelle map, plus petite que l'Irlande de Wrath Of The Druids, comprenant beaucoup de campagne française, agrémentée de quelques villages et d'un Paris médiéval au centre, qui n'a pas grand chose à voir en taille comme en architecture avec le Paris de Unity. Visuellement, c'est joli, mais un peu à l'image du jeu principal, c'est assez plat et ça peine à rendre les déplacements à cheval moins monotones. L'histoire est okay, mais ne m'a pas emballé outre mesure, au point où j'ai même quitté le DLC en pensant avoir fini avant de me rappeler qu'il restait une quête après ce qui aurait du être la fin.

Côté gameplay, on a une tentative de revenir à AC1, avec quelques assassinats où l'on doit investiguer un peu pour pénétrer dans les zones occupées par la cible, avec comme option aussi de tout casser. Quelques combats de boss un peu sympa aussi. Et une mission "finale" explosive, qui rame à mort, mais un peu drôle quand même (mais qui n'est pas la mission finale parce que le DLC continue alors qu'il n'y a plus rien à raconter après...bref)

Le contenu ajoute deux armures chouettes, mais l'une d'entre elle est liée à un système de missions aléatoires en mode daily de MMO. Il faut faire monter une jauge d'"infamy" en faisant des actes terroristes contre les francs (tuer des chefs d'armée, voler des documents secrets etc). En soit, ça n'est pas plus ou moins bien qu'un autre moyen de contextualiser le gameplay (Wrath Of The Druids avait un truc similaire avec les missions de loyauté pour les rois d'Irlande), mais cette partie est étonnamment "grindy" et force souvent à traverser la map qui, encore une fois, est okay, mais n'offre par grand chose à faire.

Au global, pas trop emballé par ce DLC.

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Fini (Platine)

Jeu d'aventure plateforme, pas original pour un sou. C'est Journey sans la DA et avec mille ans de retard. C'est Shelter sans le cachet visuel. J'ai joué il y a quelques années à deux jeux avec le même niveau esthétique dont j'ai oublié le nom (il y avait Aer peut-être?).

Ça fait la blague le temps d'une soirée.

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Arrêté

Point&Clic narratif où l'on explore les destinées de trois british personnes faisant face chacune leur tour à des phénomènes paranormaux. C'est par les créateurs de Virginia, et même si c'est un brin mou et que le pitch de base me plaît moins, j'ai initialement plus accroché qu'à leur précédente expérience, très jolie mais à la substance peu roborative.

Au final, j'ai été jusqu'au Chapitre 3 du premier personnage, et l'ennui est beaucoup trop présent. J'arrête pour cette fois, on verra un autre coup si j'ai plus de patience.

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Fini

Jeu de plateforme 3D dont la mécanique centrale est l'utilisation de transformations ayant chacune un pouvoir associé. Et c'est...super bien en fait!

J'aime beaucoup la pâte artistique de Naoto Ohshima, de Sonic à Blinx. Balan montre qu'il en a encore sous le capot; plein de couleurs, de malice, ça communique ce que le jeu raconte (pas). Certains costume manquent tout de même un peu le coche (probablement plus une question d'animation). La musique est...pas mal une fois qu'on a passé le premier Acte et son thème au piano absolument abyssal. L'équipe de Yuji Naka a décidé de ne pas mettre de texte dans le jeu. Zéro explication de ce qu'il se passe. Et ça marche pas des masse. Alors si, on capte la base de chaque Acte, mais qui sont Balan et le méchant par exemple, qui sont les héros, que sont les Tims, ces croisements de poussins et de lapinous? Tant de questions qui ont une réponse...sur Internet, sur le site officiel du jeu ou dans un roman de 290 pages dont j'ai appris l'existence dans une review du jeu.

Concernant le gameplay, le concept est que tous les boutons correspondent à une seule action. L'action change quand on change de costume: sauter planer, tirer un projectile, se rendre invisible etc. On a le droit de stocker trois costumes et le reste et gardé de côté quand on écrase un des trois avec un nouveau. Il y a un élément de grind car quand on est touché, on perd son costume, et on doit donc stocker des costumes de côté pour pouvoir les utiliser de nouveau.

Laborieux, mais le level-design compense largement; il est susceptible d'être coupé par l'utilisation des costumes venant d'autres niveaux et qu'il est globalement super réussi!

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Fini

Jeu de survie/action et d'épouvante, se déroulant dans un monde post-pandémique. Et c'est toujours super bien, ce que la suite abyssale en terme d'écriture m'avait fait oublier.

Ça fait environ 10 ans à quelques jours près, que je jouais à TLOU pour la première fois, soufflé par la qualité visuelle, la valeur de production et la mise en scène du scénario tout à fait honorable, bien que manquant d'originalité. J'avais aimé aussi le jeu à proprement parler qui pour moi consolidait l'expérience "cinématographique", le vilain mot qu'on aime pas trop dans le jeu vidéo. Ma critique de l'époque est toujours dispo sur SC d'ailleurs.

À ré-évaluer aujourd'hui, une partie de son absolu sérieux me parle moins, mais il y a un vrai cœur mis à l'ouvrage qui ne se dément pas; les personnages sont bien définis, sincères, les situations et leurs thèmes sont présagés avec habileté et naturel, au point que la fin du jeu, que j'adorais déjà à l'époque, me parait encore meilleure aujourd'hui tant je réalise à quel point elle a été annoncée dès l'introduction du jeu.

La partie jeu cherche à offrir une expérience continue: cinématiques, exploration des décors (limités mais ayant souvent des recoins) et actions/infiltrations s'enchaînent avec la même méthode que la trilogie Uncharted avant. Seulement cette méthode d'exposition montre aussi plus facilement les limites du nombre d'interactions ou les limites de ces interactions: on voit plus aisément les ficèles quand on doit faire quelque chose de précis et qu'on loupe un indice dans le level-design pour savoir ce que c'est. Le jeu étant plus lent qu'un Uncharted, ces moments de révélations sont plus rares. Mais le nombre d'actions n'augmentant que peu pendant l'aventure (pose une planche/échelle pour traverser un vide ou monter quelque part, pousse un objet lourd, sprint jusqu'à la cutscene suivante...) on finit pas être au bout des idées de jeu juste avant que le jeu soit au bout de ses idées de scénarios. Fort heureusement, avec seulement une dizaine d'heures au compteur, la redondance ne se fait pas tant sentir et on est globalement sur un jeu qui se tient du début à la fin, grâce à ses personnages et son gameplay d'infiltration brutale simple mais efficace.

À l'instar d'un The Hobbit qui m'avait fait croire que je n'aimais plus la trilogie The Lord Of The Ring, Part.2 m'avait convaincu que TLOU n'était finalement pas un si bon jeu, juste un meilleur titre que son exécrable suite. Et finalement, j'aime toujours.

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Fini

Meilleur que dans mon souvenir, même si l'on reste sur un DLC dispensable.

On y joue exclusivement Ellie, avant et au milieu des évènements de TLOU. Grosso modo, on a une partie walking sim où le jeu explore la relation avec Riley, évoquée dans le jeu principal; ces parties tiennent la route pour les chouettes dialogues et les décors ultra fournis en détails. Il y a aussi l'effet "bombe sous la table" de Hitchcock, à savoir qu'on sait que ca finit mal et on a la tension de savoir quand.

Et on a une partie plus mécanique classique de TLOU; infiltration action et épouvante dans un centre commercial où l'on cherche les médicaments pour Joel, suite à sa blessure dans le laboratoire. On se passerait bien de cette partie en terme d'histoire tant elle n'a aucun intérêt, mais sans elle, le DLC aurait été bien maigre en interaction.

C'est sympa, mais le découpage gameplay/narration et l'exploration de deux trames dont on connaît déjà l'issue rendent le tout superflu.

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Fini

Jeu de puzzles et d'énigmes avec une surcouche narrative et animée. Et c'est toujours mon jeu préféré sur DS!

La particularité de Professor Layton, c'est la dissonance comique entre son principe de gameplay, à savoir cliquer sur des gens et des objets et en tirer une énigme de cahier de vacances, et sa narration un peu sérieuse mais pas trop, toute en dialogue et en scènes animée. Le premier Layton fait un effort tout particulier pour que son scénario final soit en accord avec le caractère saugrenu des personnage qui posent des énigmes à chaque coin de rue. Mais le côté très séparé du gameplay et de la narration n'est jamais réellement caché.

Et c'est pas grave du tout, parce que ça marche!

Je ne sais pas si c'est la valeur de production incroyable pour un jeu DS, le chara design de grande qualité, les écrans aux tons chauds rappellant les Triplettes De Belleville, l'histoire étonnamment prenante, mais Pr Layton Et L'Étrange Village demeure une merveille que ke suis ravi de revisiter !

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Fini

Suite de la saga Layton, cet épisode est une prequelle, chronologiquement le premier episode qui raconte la rencontre entre Herschel Layton et Luke, son jeune acolyte.

Toujours de la giga-bombe cette formule, même si à ce stade de la saga, le scénario n'essaie plus vraiment de concilier histoire et énigmes à gogo. Les habitants de Mysthallery sont juste maboules et filent des énigmes sans raison.

Mais on s'en moque un peu, le mystère est chouette, bien qu'un peu plus mélodramatique que Le Curieux Village. Et les énigmes sont toujours vraiment cools, les énigmes cachées apportant souvent un brin plus de challenge.

Bref, archi conquis par cet épisode qui me confirme que je suis vraiment fan de Layton sans le savoir...va finir par me falloir une 3DS!

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En cours

Jeu d'enquête P&C. On incarne Kyle Hyde, ancien flic, sur une enquête mandatée par un mystérieux inconnu, potentiellement en lien avec le décès de son père.

Un jeu bien étrange dans sa présentation mais réellement superbe. On navigue à la première personne dans des décors en 3D niveau PlayStation, avec des personnages en 2D dessinés. Et dès que l'on engage un dialogue, on a droit a de très beaux dessins crayonnés et légèrement animés pour les dialogues. Le tout s'accompagne d'une OST ambiante assez géniale.

Pour ce qui est du gameplay, on est finalement sur du P&C classique pour la navigation et la récolte d'indice. On a un carnet où l'on peut ecrire en tactile ses idées. Et les dialogues offrent quelques embranchements avec des questions à choix multiples.

Le scénario, du peu que j'en ai aperçu se lance bien une fois passée la phase tutorielle, un peu longuette mais qui permet de bien installer toutes les interactions possibles.

Pour le moment gros kif. Ce qui est peu etonnant, compte tenu du fait que j'avais beaucoup aime Hotel Dusk, le premier épisode.

Recommandé chaudement !

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Platine

Walking/Postman sim, où l'on incarne Meredith, une dev qui prends quelques semaines un job de postière pour oublier le stress de la ville. Et j'aime bien...

Visuellement le style simple me plaît pas mal, avec de jolis modèles de personnages, une emphase sur les couleurs. Par contre le jeu fait pas terminé: ça rame, le popping est l'un des pires que j'ai vu sur PS4, la plupart des textures des décors sont presques des aplats cracras de couleurs...et pour un jeu où l'on passe sont temps à rentrer et sortir de son camion, même pas une animation d'ouverture/fermeture de portière, alors que d'autres actions moins communes (sortir l'appareil photo du sac) sont là.

Ça tire le jeu vers le bas, mais heureusement la mondanité de l'ambiance, le côté ultra reposant du concept fonctionnent super bien sur moi. J'adore livrer les gens et leur parler, même quand il n'y a pas fondamentalement grand chose à dire et que les histoires sont d'une banalité folle.

Le gameplay se résume à parcourir la map pour livrer les adresses et à choisir ou non d'aider certaines personnes pour avoir plus de dialogues avec eux. Simple mais tout à fait ma came.

J'aime vraiment bien mais je serai bien en mal de le recommander à cause de sa technique vraiment rédhibitoire et du concept même qui s'adresse aux gens qui respectent le code la route dans GTA ET qui se passionnent pour les discussions avec leur voisine fan de chats. Ça reste un jei assez unique.

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Fini

Jeu d'aventure avec un système de combat un peu chiadé où l'on joue une guide pour les esprits qui ne trouvent pas le repos (et qu'on va leur tataner la face pour qu'ils aillent bien se reposer).

C'est immédiatement une claque visuelle. À l'instar d'un Ratchet&Clank, on a l'impression de jouer à un film d'animation tant c'est réussi techniquement. La direction artistique est très choupi, malgré une palette de couleur peut-être un peu froide. Jolie musique également, bien que je n'ai pas encore entendu de thème "mémorable".

Côté gameplay, c'est une bouffée d'air frais de retrouver un jeu si proche de ce qui se faisait dans la fin des années 90, début 2000: du jeu d'aventure et d'action à base d'exploration, de collectibles, de combats et avec assez peu de prise de tête.

Le seul "bémol" qui empêche Kena d'être un jeu qui restera, c'est un peu moins de sérieux et plus de personnalité dans ses personnages, dialogues et moments de scénario. Le tout ressort de manière générique car le jeu peine à communiquer ce qui est unique chez son héroïne et dans son univers.

Reste un super titre, recommandation chaude de ma part, j'adore y jouer!

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Fini

TRPG rogue-like où l'on cherche à bouter des insectes kaijus avec nos mechas, au tour par tour. Après avoir pas mal poncé la version PC il y a quelques années, j'y rejoue sur téléphone dans une version tout à fait excellente et c'est toujours trop bien.

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Arrêté

Jeu de chasse et d'exploration à la première personne se déroulant en -10000.

Il y a vraiment deux sentiments qui cohabitent:
-punaise ils l'ont fait ces cons, un jeu à la préhistoire avec quasi pas de dialogues. Quelqu'un a Ubisoft en 2016 a pitché ce jeu comme un Triple A et il a été réalisé
-en même temps, ils ont pas trop eu à se fouler pour le faire, tant c'est proche d'un Far Cry 3.

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Arrêté

Écosystème-builder/gestion chill sur téléphone. Très chouette et reposant en version facile.

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Platiné

Remake du jeu de plateforme et de tir du même nom sur PlayStation. C'est chouette mais la mollesse de l'écriture tire beaucoup le jeu vers le bas.

Pas grand chose à ajouter au commentaire sur mon premier run (liste de 2018). J'y rejoue en étant plus dans le mood, mais également dans le but de faire décrocher le trophée platine.

Globalement, c'est un bon moment en terme de jeu, mais l'écriture me fait rarement sourire. Ratchet est parfaitement ennuyeux dans cet épisode et parle rarement à son acolyte (alors que c'est le nom du jeu leur relation). Reste le bon level design et les graphismes ultra beaux.

C'est pas si mal, mais un brin dommage que le jeu ait été gâché par la direction éditoriale et l'attachement au film.

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Fini

Jeu d'échec en ligne ou contre des bots, avec un paquet de puzzles, de ressources permettant d'apprendre les coups les plus joués, les openings, les fins de parties etc.

Grâce à un collègue qui m'a fait installer cette app, je me remets aux échecs auxquels je n'ai pas joué depuis pratiquement quinze ans, et c'est vraiment chouette.

L'app en elle-même est bien fichu, avec notamment un explorateur de coup qui permet plus facilement de tester des stratégies avant de faire un coup. Mais on se sent étriqué par les limitations de la version gratuite. Le problème, c'est que la premium est derrière un abonnement annuel de 50€ pour la formule la moins chère, et je ne suis pas certain que j'y jouerai encore autant dans un an.

Je recommande quand même, car avec un même compte, vous pouvez jouer sur votre téléphone ou sur le site chess.com directement.

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Platiné

Jeu d'aventure et puzzles ou l'on incarne une enfant qui voyage d'îles en îles en manipulant des cartes. C'est chouette.

C'est typiquement le jeu qui n'existe que par une mécanique mais qui le fait bien. La carte du Monde est divisée en carré et on peut à tout moment dézoomer, prendre un des carrés (même celui où l'on se trouve) et réorganiser la carte en changeant le carré de place et en le tournant; ce qui fait également tourner le "vrai" décor où l'on navigue. On ramasse régulièrement de nouveaux carrés pour étoffer la carte et avancer plus loin.

À partir de ce principe, le jeu balance des énigmes: la fleur machin ne pousse que dans une clairière entourée de forêt, tu trouveras tel personnage à côté de l'embouchure de la rivière qui est près de la source...et on ré-arrange la carte en conséquence pour faire apparaître des chemins, objets ou accéder à de nouveaux persos.

Seul "défaut" du titre: je l'ai trouvé longuet. Trop de dialogues pour ce qu'il y a raconter (même si c'est très mignon) et au moins deux chapitres manquaient de challenge. D'une manière générale, le rythme est très haché par des dialogues. J'ai un brin traîné les pieds à la fin.

Reste une direction artistique choupi et une mécanique centrale rigolote. Je recommande quand même pour les plus patients en terme de dialogues.

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Fini

Jeu de rôle roguelite d'épouvante où l'on prend le contrôle d'un personnage dans un monde dark fantasy aussi cruel que les mécaniques de jeu. Et c'est SUPER BIEN.

Alors gros "warning": le jeu est vraiment cruel, au point où les premiers runs peuvent paraître débiles de méchanceté. Mais plus on l'approche comme un jeu d'aventure ou une "immersive sim", c'est à dire en utilisant plus l'exploration et les objets que le système de combat, plus le jeu montre sa profondeur et plus on arrive à "baisser" la difficulté. On reste malgré tout sur un jeu à la Darkest Dungeon, ou une série de mauvais coups peut mettre en l'air un run complet.

Visuellement, sans être la plus aboutie techniquement, la direction artistique est splendide: grotesque, gore, désaturée, utilisant des stéréotypes de la fantasy ou du conte de fée. Le jeu est aussi très cru en terme de violence physique voire sexuelle (vous n'avez vraiment pas envie de mourir entre les mains d'un harvester). Et le son est tout ce qu'il y a d'éprouvant moralement.

C'est surtout mécaniquement que ça défonce. On a un système de combat au tour par tour classique du jrpg, mais où chaque membre d'un ennemi peut être une cible ou une attaque; il y a donc tout une dimension stratégique autour de comment démembrer efficacement les ennemis sans se faire démembrer soi-même, ou perdre la vue etc. Mais les combats ne sont pas obligatoires, car les ennemis sont visibles à l'exploration et peuvent interagir avec d'autres éléments de jeu, comme des pièges. On peut également utiliser des habiletés de combat en dehors des combats pour se faciliter l'exploration.

Le jeu est donc balancé autour du fait de choisir ses batailles et de se servir de chaque élément à sa disposition, d'explorer et bien sûr...de mourir comme une merde et de revenir pour en manger plus. Et la tension qui en ressort le met dans la catégorie du survival horror sans hésitation.

Grosse recommandation!

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Fini

Jeu de gestion et de construction de parcs d'attraction. C'est un de mes jeux préférés, seulement pour la partie construction et c'est toujours trop trop bien.

J'y rejoue après avoir déterré mon PC "g@merz" de 2014 pour le retaper et l'engraisser un tout petit peu en performance. Et je sais pas, je voulais tester un jeu pour voir comment il fonctionnait sous W10 et c'est le premier qui me soit venu en tête.

À ma très grande surprise, Steam est parvenu à m'installer le jeu en conservant mon parc inspiré d'une "Non Specified Wizard Academy" et c'est incroyable. En sept ans, il y a eu plein d'ajouts évidemment et je vois beaucoup de choses que je pourrais ajouter encore et encore. Le parc n'est pas prêt d'ouvrir!

Toujours 10/10.

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Fini

Jeu de puzzle où l'on doit arranger des cases d'une BD et y placer des personnages pour répondre au synopsis proposé. Et c'est très court, très ingénieux et très bien chou.

Je recommande chaudement et prie pour une suite un jour.

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Arrêté

Second épisode de la saga de jeux de puzzle/VN. Toujours une formule aussi efficace et l'une des intrigues qui démarrent le mieux de la saga.

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Fini

Escape/puzzle game en coopération. Et plus j'y joue, plus c'est cool!

J'y joue avec mon meilleur pote une fois toutes les St Glinglin et à chaque fois, c'est vraiment un super bon moment et la qualité du titre se révèle de plus en plus. Le studio a bien bossé sa copie et ce quatrième épisode est le meilleur.

La plupart des puzzles fonctionnent sur un des trois modes suivants:
-un joueur a les informations et doit les communiquer clairement, l'autre résout avec ce qu'on lui dit
-les joueurs doivent résoudre en parallèle un puzzle mais de manière synchronisée
-les joueurs ont la moitié des informations et en les combinant ils résolvent le problème ensemble

On a évidemment quelques combinaisons de ces trois modes de résolution, mais dans l'ensemble, le jeu s'applique à varier les puzzles et les plaisir en fonction de ça, donnant également à chacun une place différente en fonction de qui a eu la plus grosse part du travail à l'énigme précédente.

La mise en contexte, comme je le disais l'année dernière, puisque j'ai commencé le jeu en 2022 (...je vous ai dit qu'on jouait toutes les St Glinglin) est rigolote pour l'ambiance, mais si on sent un travail sur la partie scénario, les puzzles sont toujours over-the-top et pas super bien intégrés dans le contexte...mais c'est pas bien grave!

Je recommande très chaudement cet épisode, mais honnêtement toute la série. Hâte d'avoir la suite.

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En cours

Cinquième escape game aventure en coopération par Total Mayhem Games. Toujours aussi cool.

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Fini

Troisième jeu d'aventure/film interactif d'épouvante dans l'anthologie The Dark Pictures, se déroulant en Iraq lors de l'invasion américaine de 2003, sous le prétexte de la recherche d'arme de destruction massive. Il s'agit de mon épisode préféré de la tétralogie.

Niveau contrôles et interactions, on est plus proche de Little Hope que de Man Of Medan: MoM avait vraiment un level-design sinueux, de mauvais changements de caméra qui rendaient la navigation incroyablement laborieuse. Little Hope prenait place dans des espaces plus ouverts (grandes rues d'une ville, petits squares pour enfants, magasins avec de larges allées...) House Of Ashes se passe principalement dans un temple gigantesque à la gloire de Naram-Sin d'Akkad; il y a bien des couloirs étroits par moment, mais la caméra libre, sans être super bien fichue, permet d'éviter la désorientation de MoM.

Cette partie "technique" passée, on se retrouve face à un épisode qui se sert étonnamment bien de son contexte géopolitique, au moins pour les arcs narratifs de ses personnages. On y joue quatre membres de l'armée américaine, et un soldat iraqien; Supermassive Games parvient à faire quelque chose de ces différents points de vue: on a des conflits de patriotisme, des abandons de convictions, des remises en question du statut de l'ennemi. Mon regret sur cet opus est l'introduction en 2000 et quelques avant Jésus-Christ qui, certes apporte un peu d'ésotérisme à l'Iraq moderne où l'on joue, mais dont le parallèle avec l'époque moderne apporte assez peu sur le plan des thématiques. Mis à part le fait que l'on joue un akkadien qui peut se retrouver à coopérer avec un sumérien, le reste, la partie malédiction notamment, est fun, "pulpy" mais pas spécialement en rapport avec le reste.

Au final, c'est vraiment mon épisode préféré de cette tétralogie pour le moment. Il faudrait que je joue à Devil Inside Me en solo, pour m'en assurer.

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Platiné

Jeu de rôle d'exploration et d'action prenant place dans la mythologie grecque, où l'on incarne un.e mortel.le, seul.e espoir des Dieux de l'Olympe face au titan Typhon. C'est ULTRA dérivatif, mais ULTRA chouette.

C'est Breath Of The Wild dans les grandes lignes avec du AC:Odyssey pour le combat. Quand on utilise le pouvoir de magnétisme pour jeter des trucs sur les ennemis, qu'on gère son endurance dans les phases d'escalade, que l'on explore le Tartare, zone de défis complètement déconnecté du reste du jeu et dans lequel on entre en résolvant une première énigme d'exploration...on a l'impression de jouer à une copie, faible artistiquement au premier abord, du premier Zelda de la Switch.

C'est pas tant la direction artistique qui pêche que les modélisations, détaillées mais peu inspirées pour la plupart. L'interface semble être un premier jet au lieu d'une UI raffinée par plusieurs années. Il y a un côté projet mobile, qui manque de shader cartoon, qui use de bloom et d'exposition intense parfois. Malgré ça, il y a principalement des moments de grâce, car le level design est super bien conçu et laisse la place aux vistas lointaines et aux couleurs saturées harmonieuses. Le design des décors est juste exemplaire!

L'écriture est rigolote, joue sur tous les stéréotypes de cette mythologie, en édulcoré pour les enfants. Il se trouve qu'en parallèle, je lis les excellents "Feuilletons d'Artemis, d'Ulysse etc." à ma fille et c'est drôle de retrouver l'absurdité dramatique et comique de ces récits.

Niveau gameplay, ça flotte léger dans les contrôles. Mais la base de combat, avec des parrys simples à sortir, des combos en aériens et des pouvoirs marrants rendent le tout fun à jouer: c'est une évolution pour le mieux de AC:Odyssey. L'exploration jouit d'un level-design scolaire mais efficace, avec du back-tracking de temps à autre et une liberté de mouvement qui donne envie d'aller partout pour tester si on peut (et on peut). Et le jeu est très orienté plateforme et puzzle, bien plus que BotW, avec des énigmes simples mais qui marchent hyper bien et des challenges de parkours assez costauds de temps à autre. Le jeu laisse aussi la place à le casser un peu avec les pouvoirs de Fenyx et ça c'est très cool.

Je suis estomaqué de le dire, parce que l'aspect plagiat est initialement dur à avaler, mais j'ai adoré!

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Fini

Un premier DLC qui se concentre sur les "vaults", des défis cloisonnés déjà présents dans le jeu principal, mais ici un peu plus longs et complexes. C'est pas si mal.

La direction artistique est chouette, sans non plus vraiment faire impression. Et il y a tout de même un léger enrobage scénaristique qui prend la suite du jeu principal: Fenyx arrive au panthéon et Zeus lui propose une place si iel est capable de battre les défis des dieux. Il y en a un peu moins d'une trentaine; pas d'exploration ici, on est sur du pur DLC challenge. Alors soyons clair, si vous avez déjà tiré un peu la langue sur les nombreux puzzles et challenges de plateforme du jeu de base (ce n'est pas mon cas, j'ai adoré qu'on ait autant de défis à faire), ce DLC est à éviter comme la peste car il ne fait que reprendre cette partie du jeu et l'étendre à des défis plus longs. Cependant, ce n'est pas pour autant que le tout est paresseux.

Les devs ont ajoutés des variantes à quatre des pouvoirs de base du jeu, avec notamment la statue "leurre" que l'on pouvait déjà poser pour attirer des ennemis ou activer des interrupteurs au sol; on peut désormais échanger sa place avec la statue sur la pression d'une touche, ce qui permet de la lancer pour atteindre des endroits lointain ou de revenir rapidement en arrière en en laissant une avec laquelle on échange de place. Beaucoup de puzzles sont améliorés avec cette mécanique, et je pense que mon challenge préféré du jeu est dans ce DLC. Et même si les trois autres améliorations de pouvoirs sont un peu moins transcendantes, au global, le DLC parvient à renouveler ses puzzles pour donner une suite de challenges chouettes à parcourir.

Évidemment, comme dans le jeu principal, s'il y a une mécanique que l'on aime moins, on va en chier pour résoudre le défi qui y est lié. Mais globalement, pour peu qu'on soit okay pour un DLC 100% plateforming/puzzle, c'est plutôt une bonne pioche.

Je recommande SI ET SEULEMENT SI on cherche plus de "vaults" à résoudre.

Annotation :

Arrêté

Second DLC qui s'apparente plus à un swap color du jeu principal dans une map plus petite, qu'à autre chose. Mouerf

Dans les catégorisations des suites et DLC, il y a la catégorie "more of the same". Myths Of The Eastern Realm c'est la version la plus pure de cette catégorie. C'est comme recommencer le jeu principal, dans une map plus petite, avec un personnage avec zéro d'expérience et un re-skin des ennemis et objets du jeu principal.

Et quand je dis un re-skin, c'est pas pour être péjoratif, c'est littéralement ce qui se passe. Ce DLC utilise les mêmes monstres, pourtant issus de la mythologie Grecque, comme les gorgones ou les harpies, leur met des couleurs et un design vaguement chinois, et c'est tout; mêmes animations, mêmes gameplay rien ne change. De même pour le héro, Ku, qui est une copie conforme de Fenyx, mais asiatique. Cela crée même des choses étranges dans le contexte de ce re-skin: dans le jeu principal, le double saut est justifié par l'utilisation des ailes d'Icare, que Ku ne possède pas. Donc, bah juste il peut double-sauter.

Même l'histoire du jeu démarre de manière identique: le héros se réveille après l'attaque d'une force maléfique et constate que tous ses amis ont été changé en pierre et va aider une déesse pour remettre les choses en ordre. Mais ce qui m'inquiète un peu sur ce début, c'est que l'humour, certes lourdaud parfois, du jeu principal est juste absent ici. Déjà parce qu'on a pas Zeus et Prométhée qui se balance des vannes au delà du quatrième mur, mais aussi parce que le perso principal est plus sérieux que Fenyx ne peut l'être.

Bref, pas vraiment emballé. Si l'idée c'était juste de redémarrer le jeu principal, j'aurai fait un NG+ en fait.