Quand la musique est bonne... et pas le film.

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Spawn n'était déjà pas un bon comics : c'était en fait un très mauvais comics qui pouvait faire illusion. Prendre de bons scénaristes c'est cool, leur confier un épisode chacun pour faire des effets de manche c'est nul ; le tout sur des dessins signés Image, donc de la bouse 80s. Alors faire un bon film à partir de ça c'était pas gagné, mais là on atteint des sommets de nullité. Les chansons de la BO, par contre, déchirent plutôt leur race, et donnent un bon côté rock à quelques scènes qui en deviendraient presque regardables. J'ai dit "presque".

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Indubitablement un des pires films de tous les temps, la musique est la seule chose qui mérite d'en être retenu.

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Le pire épisode de Star Wars produit jusqu'ici, et si tissa demande pourquoi missa te le dira : outre l'insupportable Jar Jar Binks, on a un épisode qui suinte la romance de bas étage, les intrigues politiques molles, les seigneurs Sith caricaturaux et les maitres Jedi insipides, bref : on se fait chier ! Pourtant John Williams nous y pond une de ses plus belles bandes originales, dont le point culminant est sans aucun doute l'incroyable Duel of the Fates.

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Personnellement je crois que j'ai plus détesté Matrix Reloaded (la scène du temple était horrible !!) même si le public de ce site semble pencher légèrement en la défaveur de Revolutions. La B.O. est par contre une des plus belles de la franchise, et le morceau Navras est juste incroyable (c'est un peu le Duel of the Fates de Don Davis, sons électro en plus). C'est donc bel et bien Matrix Revolutions qui a sa place ici.

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J'ai hésité à mettre ce film dans la liste, parce que le film n'est pas si mauvais que ça. Mais pas très bon non plus. La BO par contre est juste à tomber : Bernard Hermann y illustre parfaitement le thème central (l'obsession, duh !) et nous pond une musique à foutre la chair de poule. Sans elle le film tomberait plutôt à plat, grâce à elle il est encore regardable.

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Un film insignifiant, une B.O. emplie de ce que le grunge de Seattle avait de mieux à offrir.

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Mick Jagger dans un film de SF, ouaaaaais... Euh, en fait non. Le film est hautement oubliable, par contre la B.O. contient quelques perles, dont la plus belle est pour moi le Mona Lisa Smiles de Jane Child.

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J'aime bien Hardware, mais c'est loin d'être un chef-d’œuvre. C'est un petit film indépendant avec un traitement original. Dommage qu'il fasse un peu Terminator du pauvre (alors que son thème central est en fait tout autre). Le réalisateur est un fan de rock, pas de doute, la présence de Lemmy (Motörhead) et de la voix de Iggy Pop (Iggy forever !) en attestent. Et dans ce film la B.O. tient une part essentielle. Même si certains passages (genre Public Image Ltd) ont pas mal vieilli, les morceaux de Simon Boswell sont au top, les chansons sont efficaces dans leurs styles, et même les passages "atmosphère" avec des extraits de dialogues sont intéressants à ré-écouter et mettent de suite dans l'ambiance.

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Previously dans The Crow : Brandon Lee prend une arme chargée à blanc sauf que non, pan il meurt, on arrive à finir le film avec des bouts de ficelles.
Comment a-t-on pu penser qu'une sequel serait une bonne idée ?
Même la présence d'Iggy Pop, en chair et surtout en os, ne relève pas la sauce. Par contre la musique contient quelques morceaux de bravoure, que ce soit dans la musique de Graeme Revell ou dans les chansons (Iggy again !).