Punk à bec fin : anthologie de l'art punk

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On ne peut pas faire plus art punk que ce col bleu qui flotte en l'air avec sa bannière évoquant la liberté artistique et des usines dans la distance. Tout dans le groupe du théâtral David Thomas est l'expression réussie d'un punk qui se veut musique d'avant-garde sans renier ses racines.

Voir aussi : Datapanik in the Year Zero ; Dub Housing ; New Picnic Time ; Song of the Bailing Man

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Indiscutablement l'un des groupes les plus mélodiques du genre, on leur doit ce lien entre Velvet Underground, glam et pop qui a inspiré maints artistes.

Voir aussi : Adventure

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Deux fans de Velvet Underground découvrent le krautrock à la fin des années 70 : ce qui arrive par la suite va vous étonner.

Voir aussi : Suicide (The Second Album)

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La collab entre Talking Heads et Brian Eno (qui soyons francs, était un peu partout dans ces années-là) débouche sur une extase polyrythmique à la complexité inégalée.

Voir aussi : Speaking in Tongues ; Talking Heads '77 ; More Songs About Buildings and Food

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Déglingués d'un bout à l'autre.

Voir aussi : Psychic... Powerless... Another Man's Sac

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Le groupe va prendre des tons plus sombres par la suite, mais le premier album reste un hymne du punk qui n'a pas peur d'explorer de nouvelles pistes.

Voir aussi : 154 ; Chairs Missing

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Peut-être l'origine la plus claire de la funk-punk ou de la dance-punk.

Voir aussi : Solid Gold

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Un mélange absolument explosif de rythmes et de genres en forme concentrée, les morceaux ne dépassant que rarement les deux minutes. Quel dommage que la disparition de D. Boon ait mis fin prématurément à ce projet.

Voir aussi : The Punch Line

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Collage brutal et primitif de funk, punk et indus.

Voir aussi : For How Much Longer Do We Tolerate Mass Murder

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L'une des plus grandes surprises des dernières années, Squid est un tourbillon de rock expérimental qui unit un "chant" psychotique à la Talking Heads à des folies rythmiques et dissonantes englobant l'hip-hop autant que le punk et le post-rock.

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Ce groupe fait tellement de choses qu'il est difficile de le classer quelque part. Il ne reste qu'à essayer.

Voir aussi : The Raincoats

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Le projet du chanteur de Sex Pistols est la preuve que l'esprit expérimental de l'art punk n'a pas été greffé sur le punk de l'extérieur, mais était déjà implicite dans le genre. Metal Box est par ailleurs un excellent exposé de la virtuosité de la basse dub de Jah Wobble.

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Situé carrément à la frontière de l'avant-punk et de l'avant-prog, preuve que quand on déconstruit suffisamment la musique les deux bouts se rejoignent.

Voir aussi : Schlagenheim

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Il est difficile de croire que cet album est sorti en 2019 plutôt qu'en 1979. Même le mixage semble fait pour nous leurrer en nous faisant rêver d'être tombé sur un ancien vinyle de punk expérimental.

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Le grand groupe de feu Mark E. Smith a été l'un des premiers à importer très ouvertement le krautrock dans le post-punk, plus spécifiquement Can dont l'influence est omniprésente.

Voir aussi : The Real New Fall LP ; Live at the Witch Trials ; Dragnet ; Bend Sinister ; Grotesque (After the Gramme) ; The Wonderful and Frightening World of The Fall ; The Unutterable

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L'éclectisme de The Residents les conduit loin dans des contrées étranges où seuls les plus courageux sauraient les suivre tout comme dans le pays de la pop la plus irrésistible. Ce n'est pas un ensemble de musiciens, c'est une institution.

Voir aussi : Meet the Residents ; Not Available

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Une autre oeuvre qui perce l'espace-temps, celle-ci se veut davantage de la funk-punk joyeuse et populaire que de la poésie. Mais malgré le filtre sépia, sa puissance reste atemporelle.

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Le punk mais dans l'espace et avec une bonne dose d'indus.

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Assemblage impressionnant et d'une grande puissance lyrique qui fusionne jazz, folk, punk et même hip-hop avec un savoir-faire remarquable. C'est cet album qui m'a persuadé à enfin franchir le pas et à créer cette liste.

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La dance-punk a produit un certain nombre d'opus peu connus mais remarquable, dont celui-ci avec la chanteuse et bassiste Jane Munro.

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Ils ne seront pas les seuls à tenter l'hybridation entre punk et folk, mais ça reste un essai assez remarquable de ce qu'on peut faire dans ce domaine.

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Voir aussi : What's THIS For...! ; Night Time

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Auteur d'un certain nombre de morceaux de pop-punk joyeux avec un usage du synthé assez unique, le groupe a malheureusement décidé de les enregistrer à nouveau avec un arrangement beaucoup plus sombre et proche de Joy Division qui leur a fait perdre leur identité. Du coup il est assez difficile de trouver les versions originales, mais elles restent un régal pour les oreilles.

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A part leur admiration manifeste pour les projets de républiques socialistes en Afrique, ils sont aussi remarquables par leurs aventures hallucinatoires côtoyant l'indus et le rock psyché.

Voir aussi : Customs

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Voir aussi : 3rd from the Sun

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Voir aussi : Fire of Love