Pour ne pas se limiter aux notes (albums)

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Album arménien qui mélange avec brio le jazz et la musique orientale (je sais pas trop comment appeler ça...) qui m'en apprend plus sur les musiques traditionnelles tout en y apportant une modernité. Je recommande cet album pour tout les curieux, les fans de jazz et les personnes souhaitant passer un bon moment.

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Morceaux très inégaux (dieu que je ne supporte pas la 4eme piste et que j'adore la 3eme). En revanche, pour les fans de progressifs foncez sur Alive Again qui ne vous dépaysera pas surtout si vous êtes fan de Dream Theater mais qui porte l'album.

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Une très bel orchestre porté par la voix charismatique et reconnaissable de Sinatra. Que demander de plus ? A part un peu plus de diversité dans l'album. Mais ne crachons pas sur la soupe, cet album reste excellent.

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Un chef d'oeuvre signé Santana qui grâce à des instruments enivrants nous transporte vers un rite chamanique où nous ne faisons plus qu'un avec la musique.

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Cet album est symptomatique de mon amour pour Pharoah Sanders, on a ici un cadre atypique où le jazzman laisse exprimer sa spiritualité en même temps que l'amour pour ses racines. Cette somme nous donne un album d'ethno jazz ou jazz du monde où le jazz est confronté avec les musiques traditionnelles de peuples premiers en langue originaire .
https://www.youtube.com/watch?v=sVLNPh86JHo
Je ne sais malheureusement pas de quel langue ce morceau est chanté, malgré tout cette album demeure très dépaysant et reste une très excellente porte d'entrée vers le continent Africain.

Sanders réussit le pari de nous ouvrir au monde pour qu'on le découvre de soi même et de ne pas rester prisonnier de soi même et de ses préjugés et pour cela je dis bravo.

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Direction New York pour découvrir le jazzman porto ricain Tito Puente.
Nous avons ici un album sympathique avec une ambiance tantôt romantique, tantôt dansante. On peut noter une belle reprise (salsa ?) de Take Five de Dave Brubeck qui n'a rien à envier la version originale.
https://www.youtube.com/watch?v=KB4iVzf10lY

Hormis ces petites remarques, je n'ai pas grand chose à ajouter à part que ce n'est pas l'album le plus marquant et entraînant de Tito Puente. Mais c'est loin d'être mauvais.

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Des morceaux reposants et classieux qui passent comme des petits pains. Mais je pourrais reprocher une certaine timidité dans l'album qui l'empêche de décoller aussi haut qu'on pourrait l'espérer. Mais ça reste un bon crû.

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Premier album de Stupeflip et le résultat est convaincant bien qu'un poil en-dessous des deux albums suivants.
Le diptyque du shit est très bon si on écoute les deux morceaux à la suite car "je fume pu d'shit" tout seul ne fonctionne pas est semble être un morceau bien inoffensif qu'on écouterait volontiers en fumant du shit. Mais l'excellent morceau "j'refume du shit" lui vaut bien toutes les campagnes de prévention contre la drogue vu qu'il retourne les paroles de "je fume pu d'shit" en montrant la triste réalité d'un junkie.

Je profite aussi de ce post pour recommander les lives de Stupeflip qui sont indispensables dans la mesure où le groupe retravaille ses morceaux et le résultat peut s'avérer bien meilleur qu'en version album.

https://www.youtube.com/watch?v=k4nOHDxUM_I&t=2903s

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Un bon démarrage avec une première partie qui reste bien dans le ton général de David Bowie, cependant je suis un peu moins fan de la dernière partie de l'album où j'ai eu du mal à vraiment être dedans.

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Il est difficile de parler de géant comme Radiohead car mes mots même ceux savamment recherchés ne pourront jamais retranscrire les émotions nous portant lorsqu'on l'on écoute un album aussi mystérieux que celui-là.
En l'écoutant, j'ai l'impression d'être aspiré dans les profondeurs vers un endroit qui n'est pas totalement la mort mais qui n'est pas totalement la vie. Au fil des morceaux, on s'enfonce avec une solitude de plus en plus croissante jusqu'au final qui nous fait émerger hors de ce monde étouffant.
Pour résumer cet album est un voyage à part entière vers un monde inconnu qui ne demande absolument pas d'être éclairé car cela reviendrait à l'anéantir mais à s'y perdre.
Bien que je connaisse cet album par cœur, chaque écoute me semble être une découverte féconde.

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Quel plaisir de découvrir des groupes de Trip-Hop en France car c'est un genre qu'on rencontre majoritairement chez nos concurrents les Britanniques et force de constater qu'on s'en sort pas trop mal dans le domaine.
Quant à l'album en lui-même on sent les traces de DJ Shadow et de Massive Attack qui ne peuvent être que de bonnes augures. Le disque s'écoute très bien et réussit à rester tout le long raffiné.

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Le maître (après John Coltrane) dans le domaine du Jazz, je n'ai pas d'autres choses à dire.
Pharoah Sanders réussit à mêler le jazz qui est un genre de musique profane avec un côté spirituel qu'on retrouve dans tous ses albums à ma connaissance. Les deux morceaux s'écoutent très bien, mais le problème c'est que les mots me manquent pour décrire un tel chef d'oeuvre sans passer par des banalités.

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Ça s'écoute en fond , c'est bien ça le problème, le tout est loin d'être désagréable, on passe un bon moment mais cet album ne m'a pas marqué bien que je l'aie écouté plusieurs fois.

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Ne vaut pas les premiers albums de mon cher Leonard mais tout de même, on sent un renouvellement permanent dans les sonorités, en fin de compte l'album s'écoute d'une traite avec joie bien qu'on peut noter quelques fautes de goût. Par contre quelqu'un pourrait m'expliquer cette pochette rococo au possible ?

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Très bon album où le chœur donne une grande épaisseur à l'album. Je ne vais pas m'étendre longtemps sur l'album au risque de ressortir des banalités mais je tiens tout de même à souligner qu'à part Supertramp je vois très peu de groupes de prog chanter la joie qui est une palette parmi tant d'autres qui est trop peu exprimé par ce genre de musique. Du moins on sent que le groupe est plus décomplexé que la majorité des groupes de prog.

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Véritable coup de cœur ! Cet opéra se mérite, il faut l'écouter une multitude de fois en saisir la beauté.
Si on ne l'écoute qu'une seule fois, on retiendra seulement "la donna e mobile" et on passe à côté du reste.
Si on l'écoute deux fois, d'autres morceaux émergeront, mais cela ne serait pas suffisant pour retenir les quintessences
Si on l'écoute dix fois, on commence à apprécier les morceaux dans ce qu'ils ont d'individuels et pour ce qu'ils apportent à cette immense structure vivante qu'est cet opéra.
J'imagine que mille écoutes ne seront toujours pas suffisant pour saisir toute la richesse, toute la beauté de l'oeuvre de Verdi et c'est à ça qu'on reconnaît un chef-d'oeuvre, chaque écoute est différente dans la mesure où on révise chaque fois notre jugement.
Finalement, l'opéra est une expérience fuyante, qui agit comme une énigme impossible qui nous incombe de résoudre à notre manière.

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Univers très sombre porté par le groupe Dream Theater. J'aurais du mal à parler tant je me sens étranger à cet univers. Je ne dis pas que je n'aime pas cet album loin de là, je l'écoute très souvent avec plaisir.
Quoi que 3 mois après ma dernière écoute, j'ai oublié tous les morceaux.

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Album mystique où John Coltrane semble être épris d'une vision divine et veut nous la partager non pas avec des mots mais avec de la musique. Il n'est pas étonnant que Pharoah Sanders s'est beaucoup inspiré de ce disque pour Karma.

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Album peut-être moins profond que des visages et des figures mais à coup sûr plus entraînant et très dynamique.
J'ai un grand coup de cœur pour le morceau qui s'appelle Marlène qui est assez glauque.
https://www.youtube.com/watch?v=vi8Mru9oQys

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On a l'impression d'assister à une grande fête par l'aspect qui est certes un peu brouillon mais tout de même très accueillant.

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J'accorde que j'ai été bien trop dur la première fois où j'ai écouté cet album. Passer d'une guitare d'une grande pureté à un synthé bien ancré dans les années 80, ça surprend et pas forcément dans le bon sens du terme.
Passé les premières écoutes qui se rapprochaient de la torture, en fait cet album est loin d'être mauvais, bien au contraire. Leonard Cohen sort un album atypique mais élégant.
Si on se penche dans les paroles, on ne manque pas de remarquer que notre ami Leonard qui malgré son pessimisme ne manque pas d'humour :
Everybody knows that the boat is leaking
Everybody knows that the captain lied
Everybody got this broken feeling
Like their father or their dog just died

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Je n'ai pas encore écouté l'album, mais je n'ai pu retenir mon envie irrépressible d'écrire sur le premier morceau : Dance me to the end of love
https://www.youtube.com/watch?v=NGorjBVag0I

Ce morceau tient une grande place dans mon cœur non pas simplement car il est à mon goût mais plutôt pour la raison qu'il me projette vers mon futur. A l'heure où j'écris, j'ai encore 20 ans et tout ce qui concerne le mariage me laisse indifférent. Et pourtant, en écoutant cette chanson, je me suis imaginé le jour de mon mariage dansant avec ma future épouse (que je ne connais absolument pas). D'un coup, mon cœur a battu à la chamade et des larmes ont failli couler, je n'ai jamais connu ce type de sensation, j'étais pris aussi bien par la mélancolie que par la joie, mes mains tremblent encore... Ce morceau m'a fait connaître peut-être qu'une fraction de ce qu'on ressent le jour d'un mariage, et pourtant...

Le clip n'est pas en reste car après m'être imaginé le jour d'un éventuel mariage je me suis projeté le jour de mes 80 ans et ça fait réfléchir. Qui serai-je dans 60 dans et est-ce que flamme demeura malgré mon âge ?

Néanmoins, si ce morceau est un véritable coup de cœur c'est aussi la raison d'existence de ce morceau. Une femme violoniste (qui a vraiment exister) lors de l'holocauste parle à travers les paroles de Leonard Cohen. Avant de se consumer, elle devait jouer du violon, ainsi on a une retranscription de ce qu'elle voulait peut-être dire à son mari au dernier moment où elle pouvait s'exprimer par la musique et quand on s'intéresse aux paroles, il est dur de ne pas avoir un pincement au cœur :
"Dance me to the children who are asking to be born"


En fin de compte, Leonard Cohen est ce sage qui m'arrache de mon adolescence pour me projeter dans le monde adulte en me montrant en même temps ce qu'il y a de plus beau et de plus horrible en même temps.
Paix à ton âme !

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Opéra bouffe avec une entrée en grande pompe et certains moments inoubliables par exemple la scène ou Almaviva séduit Rosine par très belle ballade (je sais pas trop comment appeler ça).
L'opéra s'écoute avec grande facilité grâce au sujet léger qui se ressent dans la musique. En revanche comme le genre l'indique, un opéra bouffe est composé est dialogues, je sais que l'italien est une chanson en soi, mais au bout d'un moment c'est frustrant. Ce n'est pas un défaut dans la mesure où sur scène j'imagine que les dialogues se digèrent facilement.

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Excellent, j'adore la fin du premier morceau qui part vers une envolée psychédélique mélangée avec l'univers hindouiste. Le deuxième morceau reste lui aussi remarquable, en fait ces morceaux sont extrêmement motivants et nous donnent envie d'aller au bout de nos projets.

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Album qui garde beaucoup de charme grâce à sa musique qui fait penser aux vieux films de science fiction des années 60/70.

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Des instruments sombres et une voix douce, torturée... Thom Yorke prolonge l'identité musical de Radiohead avec cet album qui n'a rien d'anecdotique.

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Du assez bon et du très bon. Le style reste expérimental et pourtant l'album s'écoute. Un groupe à suivre car ils sont réellement capables de sortir un chef d'oeuvre.

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Très déconcertant, je ne serais absolument pas capable de fredonner le moindre morceau si on me le demandait, et pourtant après de multiples écoutes, on commence à apprécier cette étrangeté et à en redemander.

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Je dois l'avouer, j'ai été un peu déçu par l'opéra de Puccini, mon cœur n'a pas autant battu qu'à l'écoute de Rigoletto ou dans une moindre mesure du Barbier de Séville.
Des morceaux sont très biens, mais cet opéra ne m'a pas suffisamment marqué.
Je retenterai un jour, en espérant changer mon avis.

Annotation :

Fougueux , des morceaux qui restent en tête, l'album fait le travail, j'ai pas non plus grand chose à dire dessus.