Palmarès : Cannes 2019

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Sélection officielle - compétition

19/20

Un film fou qui mérite ô combien la récompense suprême. Des moments iconiques, énormément de surprises avec notamment un twist en milieu de film totalement inattendu, et enfin un propos de fond extrêmement important dans cet affrontement entre deux mondes qui se détestent. Sans conteste un futur film culte grâce à sa fin, mélange de mélancolie et d'espoir.

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Sélection officielle - compétition

14/20

C'est l'événement «négatif» de ce festival de Cannes, le scandale que Cannes attendait tant. Personnellement ce que je trouve scandaleux, c'est que le film ne soit pas terminé. Plus hallucinant encore, tout le monde semble choqué par la misogynie supposée du film mais ne s'attarde pas aux défauts cinématographiques du film en lui-même, avec notamment un montage son particulièrement mauvais.
Je ne vais pas le cacher et je vais me faire l'avocat du diable, mais j'ai adoré la proposition de «Mektoub my love : intermezzo», du moins jusqu'à la fameuse scène du cunnilingus, intervenant vers 2h45 de film. La façon que Kechiche a de filmer les corps de ses acteurs est absolument hypnotisante et sensationnelle. Pas besoin de dialogues, les regards suffisent pour faire transparaître les émotions et le côté réaliste du long-métrage est si saisissant qu'on a l'impression d'être dans le film, et rien que pour ça cet intermède à la saga frappe très fort. Mais au-delà du côté technique (prise de son et montage son) qui laisse à désirer, ce qui m'a le plus dérangé c'est l'inutilité de la scène du cunnilingus mais également la conclusion du long-métrage qui jette et anéantit tout son développement avec sa dernière demi-heure. La domination et la tension sexuelle se dissipent, plus aucune sensation ne fait rage, tout est mort. Et que dire de la dernière scène, absolument risible, laissant place à une musique qui sert de générique. Le film n'est pas terminé et je trouve ça vraiment dommage que le public juge une version non finalisée, laissant les qualités du long-métrage de côté sous prétexte que le film fasse polémique. Personnellement j'y ai pris beaucoup de plaisir mais je n'apprécie pas la conclusion et la scène tant décriée, d'où ma note plus mitigée. Mais si le montage que l'on verra prochainement en salles supprime ces moments, peut-être que ma note ira titiller les sommets du premier, qui était un excellent film français, beau, sensuel et ensoleillé.

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Sélection officielle - compétition

14/20

Une première partie assez banale et décousue je dois dire qui aboutit sur un final déchirant, empli d'émotions, qui m'a littéralement fait fondre en larmes. Magnifique.

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Quinzaine des réalisateurs

14/20

Magnifique masterclass en compagnie de Robert Rodriguez. «Red 11» a été précédé par deux extraits du documentaire du réalisateur qui explique comment réaliser un film (d'horreur ou autre genre) avec moins de 7000$. Pour le cinéphile que je suis, je fus ravi de voir les derrières des scènes, et ça m'a enseigné beaucoup d'astuces concernant la création d'un film. Concernant le film en lui-même, c'est simple mais souvent du génie, surtout avec aussi peu de budget. Malgré la pauvreté du budget le long-métrage surprend et amuse tout en lançant un message contre les laboratoires pharmaceutiques qui n'hésitent pas à se servir d'humains pour leurs expériences fantasmées, comme a pu le vivre le réalisateur lui-même. Un témoignage fort et impressionnant au cours d'un moment instructif.

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Quinzaine des réalisateurs

12/20

Un duo formidable et des dialogues intelligents sont à noter, malheureusement les décors sont extrêmement fades, jamais mis en valeur, et le début est malheureusement laborieux. Reste un plan séquence vers la fin de dix minutes ahurissant de maîtrise, porté par le duo qui dévoile son entière capacité à charmer ses spectateurs.

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12/20

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11/20

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Quinzaine des réalisateurs

10/20

Le film s'ouvre avec le logo de Netflix. À Cannes. Ouais à Cannes. Rien que pour ça, on peut dire que le film a de grosses grosses couilles.

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10/20

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8/20

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6/20