OCS Go Séries

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Saison 2 disponible à partir du 6 octobre 2018

Moyenne Metacritic : 93,5%
Moyenne Rotten Tomatoes : 97%
Total 190,5

Note Télérama TT

"Garder son job ennuyeux à l'aéroport d'Atlanta pour continuer de remplir le frigo, ou tenter de percer dans le hip-hop, au risque de devoir tirer le diable par la queue ? Earnest, jeune père de famille à l'allure d'étudiant rêveur, a tranché en faveur de la seconde option. Et propose donc à Paper Boi, son cousin rappeur qu'une notoriété croissante pourrait enfin éloigner du trafic d'herbe, de devenir son manager. Réponse incrédule de l'intéressé : « Il me faut un Malcolm X. Toi, tu es trop Martin Luther King. » Autrement dit, un garçon trop gentil pour faire siens les codes du milieu et pas suffisamment roublard pour s'imposer dans le business — le personnage n'a pas été baptisé au hasard : en anglais, earnest signifie « honnête »... Assailli par les préventions de son entourage et en butte aux stéréotypes communautaires, le héros va néanmoins parvenir à trouver sa voie et à s'inventer.

Ce cheminement, ou comment devenir soi quand on est un jeune Afro-Américain dans les Etats-Unis d'aujourd'hui, c'est tout le sujet de Donald Glover, véritable homme-orchestre d'Atlan­ta qu'il a imaginée, scénarisée (avec son petit frère Stephen, entre autres) et dont il interprète le rôle principal et plusieurs morceaux musicaux. Une partition plurielle, modèle d'équilibre entre le léger et le sérieux, le comique et le tragique, exécutée avec une maîtrise qui n'exclut pas la chaleur. Les Golden Globes ne s'y sont pas trompés, qui ont en janvier 2017 gratifié la série de deux trophées, dans les catégories meilleur acteur et meilleure comédie. — Emilie Gavoille"

https://www.telerama.fr/series-tv/atlanta-la-melancolie-urbaine-de-donald-glover,147087.php

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Disponible jusqu'au 31 décembre 2018 (99 jours)

Moyenne Metacritic : NC
Moyenne Rotten Tomatoes : 91%
Total 182

Emmy Award de la meilleure mini-série
Emmy Award du meilleur réalisateur pour Mike Nichols
Emmy Award du meilleur scénario pour Tony Kushner
Emmy Award du meilleur acteur pour Al Pacino
Emmy Award de la meilleure actrice pour Mery Streep
Emmy Award meilleur actrice dans un second rôle pour Mary-Louise Parker
Emmy Award meilleur acteur dans un second rôle pour Jeffrey Wright
Emmy Award des meilleurs décors
Emmy Award du meilleur mixage sonore
Emmy Award du meilleur casting
Emmy Award des meilleurs maquillages

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Saison 1 disponible jusqu'au 25 mars 2019 (99 jours)

Moyenne Metacritic : 83%
Moyenne Rotten Tomatoes : 98%
Total 181

Note Télérama T

"Un tueur à gages asocial décide subitement de devenir comédien à Los Angeles. Touchante quand elle creuse la personnalité de son héros, impeccablement incarnée, cette comédie peine à provoquer le rire avec une caricature de Hollywood usée."

Emmy Award 2018 : Meilleur acteur pour Bill Hader
Emmy Award 2018 : Meilleur acteur dans un second rôle pour Henry Winkler

Annotation :

Disponible jusqu'au 31 décembre 2018 (99 jours)

Moyenne Metacritic : 86%
Moyenne Rotten Tomatoes : 93%
Total 179

Emmy Award 2002 : Meilleure mini-série
Emmy Award 2002 : Meilleur casting pour une mini-série
Emmy Award 2002 : Meilleure réalisation
Emmy Award 2002 : Meilleur son pour l'épisode Jour J (Day of Days)
Emmy Award 2002 : Meilleur montage pour l'épisode Jour J (Day of Days)

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Saisons 1 à 7 disponibles jusqu'au 16 juillet 2019 (99 jours)

Moyenne Metacritic : 85%
Moyenne Rotten Tomatoes : 94%
Total 179

Note Télérama TT

https://www.telerama.fr/series-tv/game-of-thrones-plus-qu-une-serie-un-phenomene,98660.php

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Saison 1 disponible jusqu'au 25 mars 2019 (99 jours)

Moyenne Metacritic : 76%
Moyenne Rotten Tomatoes : 100%
Total 176

Note Télérama TT

"Cette série de « spy-fy » (mélange de science-fiction et d’espionnage) se déroule à Berlin, entre deux mondes symétriques : le nôtre et un univers parallèle créé après une expérience scientifique pendant la guerre froide. On y suit Howard Silk (formidable J.K. Simmons), agent « double » d’un nouveau genre. Sur notre planète, c’est un homme timoré, bon mais faible, gratte-papier pour les services secrets. Son double, « de l’autre côté », est un agent de terrain intrépide et caractériel. Une mission les contraint à échanger leurs places… En parfait équilibre entre suspense et émotion, capable d’introduire dans un divertissement efficace une profonde réflexion existentielle (et même sociétale), Counterpart a renouvelé un genre en bout de course, avec la disparition imminente de The Americans et celle, à venir, de Homeland." - Pierre Langlais

https://www.telerama.fr/series-tv/counterpart,-une-serie-fascinante-sur-le-double-je,n5558539.php

Critique du Monde : https://www.lemonde.fr/televisions-radio/article/2018/01/28/tv-counterpart-des-agents-doubles-au-carre_5248368_1655027.html

http://seriestv.blog.lemonde.fr/2017/12/23/counterpart-identites-paralleles/

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Saison 1 à 5 disponibles jusqu'au 31 décembre 2018 (99 jours)

Moyenne Metacritic : 81%
Moyenne Rotten Tomatoes : 92%
Total 173

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Saisons 1 à 3 disponibles jusqu'au 31 décembre 2018 (99 jours)

Moyenne Metacritic : 81%
Moyenne Rotten Tomatoes : 92%
Total 173

Note Télérama T

"Après avoir imaginé un drame familial polygame en territoire mormon, les créateurs de Big Love confirment leur goût pour les décors inattendus. Les héroïnes de Getting on, adaptation d'une série britannique, sont en charge du service gériatrique d'un hôpital de Los Angeles. Détresse, solitude et mort sont leur lot quotidien, dont on est invité à rire quand une vieille dame bipolaire insulte tout le monde, quand deux octogénaires font des galipettes en cachette, ou quand la médecin chef se passionne pour son étude sur... les excréments de ses patients.

Getting on est une série inconfortable, qui oscille en permanence entre drame touchant et humour noir. Son univers, réaliste, renverra sans doute certains spectateurs à des souvenirs douloureux. Qu'on finisse malgré tout par s'en amuser en dit long sur ce délicat tour de force, qui doit beaucoup à d'excellents interprètes. Le temps semble parfois s'étirer ; l'humour, qui refuse les blagues faciles, ne fait pas toujours mouche. Mais cette série de HBO offre un rare regard sur la fin de vie, dont on rit autant par sincère amusement que pour se défendre face à la mort. — Pierre Langlais"

https://www.telerama.fr/series-tv/avec-getting-on-hbo-n-a-pas-dit-son-dernier-mort,105356.php

https://www.lexpress.fr/culture/tele/cinq-choses-a-savoir-sur-getting-on-la-nouvelle-serie-medicale-hbo_1303158.html

http://seriestv.blog.lemonde.fr/2013/11/25/getting-on-prometteuse-adaptation/

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Saisons 1 et 2 disponibles jusqu'au 31 décembre 2018 (99 jours)

Moyenne Metacritic : 84,5%
Moyenne Rotten Tomatoes : 87%
Total 171,5

Note Télérama T

"Enlightened est une série funambule, en équilibre fragile. Ni très drôle, ni pessimiste, tentée par la bienveillance niaiseuse mais jamais loin du sarcasme... Pas facile à aimer, en somme, à l'image de son héroïne, Amy et son sourire figé, quadra californienne devenue apôtre du « bonheur pour tous » à la suite d'une cure dans un centre new age. Yoga et feux de camp ont (semble-t-il) chassé ses anciens démons : le stress, les addictions, la dépression couronnée par une spectaculaire crise de nerfs. La nouvelle Amy (l'illuminée du titre, judicieusement équivoque) veut désormais montrer le chemin du bien-être à son prochain, qui la regarde comme une exaspérante cinglée...

Ni dupe ni narquoise, la nouvelle série de HBO trouve en quelques épisodes la juste distance avec son personnage. Laura Dern, actrice fétiche de Lynch (Sailor et Lula, Inland Empire) et cocréatrice de la série, incarne parfaitement une forme de bonté tyrannique et maladroite, aussi touchante qu'effrayante. Et toujours ambiguë : comment changer le monde quand on a soi-même autant de mal à renoncer à ses vieux réflexes égocentriques ? Car, dans sa noble mission, Amy n'oublie jamais ses intérêts personnels, affiche du mépris pour ses nouveaux collègues (petit peuple de moches et de laborieux placardisés), vit dans la crainte d'être rejetée...

Mais Enlightened est plus qu'un portrait de femme doux-amer. Elle porte une interrogation plutôt subtile sur la normalité et la place de l'individu dans la société. Si la série tourne d'abord en ridicule le militantisme nunuche d'Amy (pour convertir sa firme ultralibérale à l'écologie et à l'humanisme), c'est pour mieux suggérer qu'elle est en soi un élément subversif. Un grain de sable qui enraye discrètement la mécanique violente du jeu social."

https://www.telerama.fr/television/laura-dern-illumine-enlightened,73847.php

https://www.lesinrocks.com/2012/03/13/cinema/serie-enlightened-qui-na-jamais-reve-de-changer-de-vie-111425/

https://www.lesinrocks.com/2011/11/12/cinema/enlightened-laura-dern-illuminee-117011/

http://seriestv.blog.lemonde.fr/2011/10/14/enlightened-lambition-peu-claire-dhbo/

http://seriestv.blog.lemonde.fr/2011/10/14/enlightened-lambition-peu-claire-dhbo/

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Disponible jusqu'au 3 juin 2019 (99 jours)

Moyenne Metacritic : 77
Moyenne Rotten Tomatoes : 93%
Total 170
Moyenne Allociné : 4,1

Note Télérama TTT

"Sharp Objects mêle brillamment thriller intense et drame psychologique troublant. Son suspense patient épouse le point de vue de Camille, héroïne fragile et pourtant décidée, lancée dans un combat au corps à corps avec son enfance et un sentiment de culpabilité dévorant. Jean-Marc Vallée fait s’entrechoquer passé et présent dans une superbe mise en scène — dont les nombreux effets servent le ­récit —, sublimée par une photo subtile et une prise de son sensorielle, qui capte les moindres bruits de la campagne. Amy Adams est bouleversante de délicatesse, et ses face-à-face avec Patricia Clarkson, prodigieusement détestable en mère toxique, sont d’une rare violence émotionnelle."

https://www.telerama.fr/series-tv/jean-marc-vallee-sharp-objects,-cest-du-tennessee-williams-sous-acide,n5720143.php

https://www.telerama.fr/series-tv/sharp-objects-il-y-a-un-petit-quelque-chose-de-la-pianiste-dans-cette-serie,n5713197.php

https://www.lemonde.fr/televisions-radio/article/2018/07/09/tv-sharp-objects-femmes-au-bord-de-l-abime_5328581_1655027.html

Annotation :

Disponible jusqu'au 31 décembre 2018 (99 jours)

Moyenne Metacritic : 79%
Moyenne Rotten Tomatoes : 89%
Total 168

Note Télérama TT

"Avant de se faire connaître du grand public en signant au cinéma une brochette de comédies improbables, trash et touchantes, de 40 ans, toujours puceau à Funny People, Judd Apatow avait produit Freaks & Geeks, une série référence sur l’adolescence. Le revoici à la télévision, et sur la fameuse chaîne câblée HBO, qui se penche cette fois sur la vie forcément galère des jeunes adultes dans le New York de la crise. Producteur seulement, il laisse ici la parole à Lena Dunham, auteure à suivre de très près, qui écrit Girls. Elle en tient aussi le rôle principal, celui d’Hannah, une jeune femme de 24 ans, écrivain sans emploi, entourée de ses trois copines.

Acclamée, à juste titre, par la critique américaine, Girls se penche sur une génération souvent délaissée par les séries américaines, qui préféraient jusqu’ici mettre en scène des ados ou de jeunes trentenaires. Hannah et ses copines en ont fini avec la fac, et, comme beaucoup de leurs semblables, sont entre deux eaux, célibataires mais pas vraiment, en recherche d’un emploi stable, fraîchement abandonnées – financièrement – par papa et maman… bref, libres mais fauchées. Des cousines de Carrie Bradshaw et des filles de Sex and the City – il y est fait référence – qui rêvent d'une vie aussi épanouie et luxueuse.

Absolument parfaite d’imperfections et de sensibilité en jeune femme un peu larguée, Lena Dunham porte une équipe d’actrices méconnues toutes irréprochables, immédiatement attachantes et crédibles. C’est aussi elle qui synthétise dans ce premier épisode le propos de la série, comédie douce amère sur une jeunesse qui « essaye de devenir ce qu’elle est », frappée de plein fouet par la crise mais encore capable de rêver.

Drôle, intelligente, touchante, Girls se distingue du lot des nouveautés par sa voix unique et sincère. La série pourrait bien devenir, comme l’annonce maladroitement son héroïne, « la voix de [sa] génération. Ou plutôt, une voix d’une génération. »" - Pierre Langlais

https://www.lesinrocks.com/2012/07/18/cinema/girls-nos-meilleures-amies-11279651/

https://www.lesinrocks.com/2013/01/26/cinema/lena-dunham-creatrice-de-girls-la-voix-dune-generation-11345561/

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Saison 1 disponible jusqu'au 19 février 2019 (99 jours)

Moyenne Metacritic : 75%
Moyenne Rotten Tomatoes : 93%
Total 168

Note Allociné : 3,8
Note Télérama TT

"C'est la rentrée des classes à Monterey, lumineuse ville de Californie située au bord du Pacifique. Derrière les apparences, l'étalage de richesses et les grands sourires, chaque couple, chaque famille est au bord de l'implosion. Quand le fils de Jane, tout juste arrivée dans la région, est accusé d'avoir été violent avec la fille de Renata, un engrenage de rumeurs, de rivalités et de coups bas se met en marche, qui se terminera par un crime sanglant... Quels secrets, quelles tensions, quelles histoires inavouables ou douloureuses se cachaient derrière les murs des riches villas ?

Parasité par des effets narratifs dispensables, ce premier épisode ne fait qu'entrouvrir la porte sur l'existence de ces mères de famille qui, peu à peu, vont révéler leurs forces et leurs blessures. Le thriller importe moins que la mise en scène du quotidien, de plus en plus tendue et brutale. Somptueusement réalisée par Jean-Marc Vallée, accompagnée par une formidable BO soul et portée par une distribution impressionnante, Big Little Lies s'impose comme un drame intimiste et âpre sur l'éducation, la vie en couple et les violences faites aux femmes. — Pierre Langlais"

https://www.lesinrocks.com/2017/04/05/series/pourquoi-big-little-lies-avec-nicole-kidman-et-reese-witherspoon-est-la-serie-la-plus-feministe-de-2017-11929916/

Annotation :

Disponible jusqu'au 31 décembre 2018 (99 jours)

Moyenne Metacritic : 74%
Moyenne Rotten Tomatoes : 94%
Total 168

Note Télérama TT

"Suivre les aventures de Bret et Jemaine, c'est un peu assister au spectacle de la vie quotidienne, version grand vide et petits riens. Au menu : longs silences, réflexions décalées, déceptions affectives, humiliations publiques, intrigues absurdes. Attendez-vous donc non pas à frémir à de quelconques rebondissements narratifs, mais plutôt à glousser devant le non-sens des situations, à vous attacher à des personnages gentiment stupides, à jubiler face aux dialogues de sourds et à rire aux éclats quand les chansons folk du duo viennent s'insérer, façon comédie musicale, au beau milieu des épisodes. Un ton atypique dont les auteurs néo-zélandais ne sont autres que Jemaine Clement et Bret McKenzie, les déconcertants interprètes des deux principaux personnages.
Lucas Armati"

https://www.lesinrocks.com/2010/06/29/series/flight-of-the-conchords-genial-et-dejante-1128882/

Annotation :

Disponible jusqu'au 31 décembre 2018 (99 jours)

Moyenne Metacritic : 80%
Moyenne Rotten Tomatoes : 86%
Total 166

Note Télérama TT

"« La diplomatie ? Un délire de Français. » Bienvenue au sein du premier bataillon de reconnaissance des marines, à la frontière irakienne. Nous sommes en mars 2003, à quelques heures de l'offensive américaine contre le régime de Saddam Hussein, et les soldats n'en peuvent plus d'attendre. Ils veulent « libérer le pays » ou « tuer les Arabes » — c'est selon. Leur guerre d'Irak, que la série Generation Kill explore au cours de ses sept épisodes, ­sera bien différente.

Ici, pas de réalisation tape-à-l'oeil, de bande-son tonitruante, de considérations politiques. Auteur des inégalables The Wire et Treme, le coscénariste David Simon nous invite à un conflit à hauteur de soldats, à la description abrupte du quotidien de ces hommes, fidèlement adaptée du récit du journaliste Evan Wright, réellement « embedded » avec les troupes américaines lors de l'invasion de 2003. Une flopée de losers, héritiers 2.0 des héros d'Apocalypse now, gavés à la culture South Park et obnubilés par l'image. Une myriade de personnages difficiles à différencier, comme si le créateur de The Wire voulait nous rappeler une nouvelle fois que la réalité ne s'appréhende que dans sa complexité.

Pour tous ces marines, cependant, une chose est sûre : la hiérarchie militaire brille par son incompétence, ses choix tactiques discutables et sa désorganisation impardonnable. « Observez tout, n'admirez rien », conseille régulièrement le sergent Brad Colbert à ses hommes. C'est aussi la philosophie de Generation Kill. — Lucas Armati"

https://www.telerama.fr/television/generation-kill,35966.php

http://seriestv.blog.lemonde.fr/2008/08/25/generation-kill-la-meilleure-serie-de-lannee/

https://www.lesinrocks.com/2010/03/05/actualite/medias-actualite/serie-generation-kill-par-le-createur-de-the-wire-1133090/

Annotation :

Saisons 1 et 2 disponibles jusqu'au 31 décembre 2018 (99 jours)

Moyenne Metacritic : 76%
Moyenne Rotten Tomatoes : 90%
Total 166

Note Télérama TT

"Brett Pierson, père de famille et technicien à Hollywood, accueille son meilleur ami, Alex, acteur au chômage expulsé de chez lui. Au même moment, Michelle, son épouse, offre un bout de canapé à sa soeur, Tina, à la rue après une rupture. Une cohabitation de fortune s'organise entre les quatre jeunes quadras.

Venus du cinéma indépendant, les frères Duplass s'attaquent à une thématique classique, l'intimité (maritale, familiale, amicale) et ses remous. Ils portent sur leurs personnages un regard amusé mais toujours bienveillant, font de leurs erreurs, de leurs lâchetés et de leurs hésitations une source de scènes hilarantes (une séance de SM particulièrement corsée) et d'instants émouvants — le comique cache souvent la mélancolie et la détresse.

Immédiatement attachante et drôle, remarquablement incarnée, Together­ness a malheureusement été abandonnée après deux petites saisons. — Pierre Langlais"

https://www.telerama.fr/series-tv/togetherness-une-comedie-dramatique-drole-et-touchante,121038.php

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Saisons 1 à 3 disponibles jusqu'au 31 décembre 2018 (99 jours)

Moyenne Metacritic : 79%
Moyenne Rotten Tomatoes : 84%
Total 163

Note Télérama TTT

"Un cabinet. Un canapé. Un psy. Un patient. Et trente minutes de silences, de colères, de murmures, de confidences, de pleurs. En analyse est un huis clos psychothérapique qui suit quatre patients (cinq si l'on considère le couple Jake-Amy) pendant neuf semaines, chacun ayant son jour de rendez-vous fixe, du lundi au jeudi. Le vendredi, c'est au tour du psy (Gabriel Byrne, impeccable) de se rendre chez son mentor.


Adapté d'un format israélien, En analyse est un des projets les plus intrigants et les plus captivants de ces dernières années, une série qui refuse la frénésie d'une bonne partie de la production actuelle au profit d'une mise en scène quasi théâtrale, privilégiant le texte et l'interprétation de comédiens inspirés. Dépouillée, sans effets parasites, elle repose sur des personnages touchants, aux personnalités et aux préoccupations très différentes : Laura, une jeune femme amoureuse de son psy, Alex, un pilote de chasse de retour d'Irak, Sophie, une adolescente suicidaire...


Les face-à-face entre ces patients en souffrance et leur psy (lui-même en pleine remise en question) permettent de reconstruire des récits morcelés qui prennent toute leur force grâce à une programmation quotidienne. Un dispositif astucieux (1), malheureusement ignoré par Série Club qui ne diffuse qu'une séance par semaine. A ce rythme, le téléspectateur risque d'avoir du mal à s'attacher à des patients qu'il ne retrouvera qu'une fois par mois..."

Annotation :

Saisons à 1 à 5 disponibles jusqu'au 31 décembre 2018 (99 jours)

Moyenne Metacritic : 75%
Moyenne Rotten Tomatoes : 86%
Total 161

Annotation :

Saisons 1 et 2 disponibles jusqu'au 22 septembre 2019 (99 jours)

Moyenne Metacritic : 73%
Moyenne Rotten Tomatoes : 91%
Total 164
Note Télérama -

Annotation :

Saison 9 disponible à partir du 9 octobre 2018

Moyenne Metacritic : 80%
Moyenne Rotten Tomatoes : 79%
Total 159

Annotation :

Disponible jusqu'au 31 décembre 2018 (99 jours)

Moyenne Metacritic : 80%
Moyenne Rotten Tomatoes : NC
Total 160

Annotation :

Saison 1 disponible jusqu'au 17 mars 2019 (99 jours)

Moyenne Metacritic : 70%
Moyenne Rotten Tomatoes : 82%
Total 152

Note Télérama T

"Cette série de science-fiction parodique souvent drôle, où un agent d’entretien est contacté par des soldats venus du futur pour empêcher l’extinction de l’humanité, rend hommage au cinéma d’action des années 1980 et 1990.

Josh Futturman (Josh Hutcherson, Hunger Games), agent d’entretien dans une multinationale pharmaceutique, découvre qu’il est l’« Elu », choisi par des soldats venus du futur pour empêcher l’extinction imminente de l’humanité… Inégale mais souvent drôle, la comédie de science-fiction bête et méchante Future Man embarque ce vieux garçon accro aux jeux vidéo dans une aventure parodique, hommage au cinéma d’action des années 1980 et 1990. Passage au laser.

35% “Terminator 2”
Josh Futturman est le descendant maladroit et paniqué de John Connor, futur leader de la résistance contre les robots dans le film de James Cameron (1991). Il découvre lui aussi sa destinée en rencontrant des envoyés du futur, deux tueurs au sang-froid comme le T-800 de Schwarzenegger, tout aussi paumés dans notre monde… mais moins impressionnants.

25% “Chuck”
Future Man tourne en dérision la figure du loser chargé de sauver le monde. Josh Futturman est un superhéros malgré lui, comme Chuck Bartowski dans la série de Josh Schwartz (2007-2012). Ils font de leur candeur une arme contre le cynisme des criminels… mais multiplient les gaffes.

25% “Retour vers le futur”
Tiger, Wolf et Josh voyagent en 1969 pour empêcher la découverte de ce qui causera l’apocalypse : le vaccin contre l’herpès ! Comme dans le film de Robert Zemeckis (1985), ils veillent à ne pas créer de paradoxe temporel – une action dans le passé qui modifie le présent. Sauf qu’ici leur adaptation à la société d’antan va entraîner un chaos comique.

15% Le jeu “Doom”
En terminant son jeu préféré, Biotic Wars, Josh Futturman découvre qu’il s’agissait en fait d’un simulateur pour détecter l’Elu. Malheureusement, il est moins doué dans la réalité que dans ce jeu de tir en vision subjective, inspiré du classique du genre (1993), où un héros viril trucide de vilains démons." - Pierre Langlais

https://www.lesinrocks.com/2017/11/17/series/future-man-une-serie-sf-delirante-regressive-et-geek-111010690/

Annotation :

Saison 1 disponible jusqu'au 16 juin 2019 (99 jours)

Moyenne Metacritic : 59%
Moyenne Rotten Tomatoes : 85%
Total 144

Annotation :

Saisons 1 à 3 disponibles jusqu'au 31 décembre 2018 (99 jours)

Moyenne Metacritic : 64%
Moyenne Rotten Tomatoes : 78%
Total 142

Annotation :

Saisons 1 à 3 disponibles jusqu'au 31 décembre 2018 (99 jours)

Moyenne Metacritic : 54%
Moyenne Rotten Tomatoes : 84%
Total 138

Annotation :

Saisons 1 et 2 disponibles jusqu'au 22 septembre 2019 (99 jours)

Moyenne Metacritic : 60%
Moyenne Rotten Tomatoes : 76%
Total 136

Note Télérama T

"Avec Catastrophe, « anti comédie romantique » sur un couple de quadra dépareillé, Sharon Horgan avait su rendre immédiatement attachants ses personnages, désacraliser leur rencontre, nous faire rire et nous toucher avec leurs petites lâchetés. Elle semble s'être pétrifiée devant l'obstacle d'un passage sur la prestigieuse HBO. Frances et Robert, les héros de Divorce, sont rapidement désagréables, et rien n'est vraiment fait pour les rendre touchants. Aussi talentueux soient Parker et Haden Church, on ne croit guère en leur couple (on ne nous a pas laissé le temps de sentir l'affection qui a un jour existé entre eux), et leurs personnages, raides, manquent terriblement de rondeur et de profondeur. Dès les premières scènes, la série tombe dans des clichés agaçants - hommes machos, femmes névrosées, déprimées ou surexcitées, gosses insupportables… On attendait une réflexion subtile sur la difficulté d'aimer, de vieillir (ensemble ou pas), on assiste à une bataille maladroitement orchestrée.

Si Frances et Robert sont méchants l'un envers l'autre, la série ne l'est pas assez avec son sujet. Non seulement Divorce n'a pas grand chose de révolutionnaire à dire sur le divorce, mais elle peine à être drôle. Pour rajouter un peu de folie, Horgan a imaginé un second couple, des amis excentriques (dont la formidable Molly Shannon)… mais l'ajout est artificiel et fait tâche dans le récit. On y parle beaucoup de sexe, évidemment, mais pour ne rien dire de folichon ou pour déraper vers un humour régressif mal amené. On aurait aimé suivre ce divorce jusqu'à la signature des papiers, mais il se pourrait fort qu'on abandonne Frances et Robert à leur sort…" - Pierre Langlais

Annotation :

Saisons 1 à 4 disponibles jusqu'au 31 décembre 2018 (99 jours)

Moyenne Metacritic : 64%
Moyenne Rotten Tomatoes : 69%
Total 133

Annotation :

Saisons 1 et 2 disponibles jusqu'au 14 mars 2019 (99 jours)

Moyenne Metacritic : 61%
Moyenne Rotten Tomatoes : 53%
Total 114

Annotation :

Disponible jusqu'au 31 décembre 2018 (99 jours)

Moyenne Metacritic : 50%
Moyenne Rotten Tomatoes : NC
Total 100

Annotation :

Saisons 1 à 8 disponibles jusqu'au 31 décembre 2018 (99 jours)

Moyenne Metacritic : 66,8%
Moyenne Rotten Tomatoes : 33%
Total 99,8

Note Télérama T

"Ce n'est pas le genre de série qui séduit par le piquant de son récit (Sex and the city), par son intrigue décalée et décapante (Weeds) ou par son scénario course contre la montre (24 Heures chrono). A première vue, Entourage ne paie pas de mine. Il faut même quelques épisodes pour se laisser happer par ce roulement de mécaniques sur fond de heavy rock californien.
Vince Chase est un jeune acteur né à New York et fraîchement installé à Hollywood, où il commence à devenir célèbre. La mèche brune bouclée et les traits plutôt fins, le beau gosse vit dans une gigantesque villa avec son « entourage » : Eric, son meilleur ami et manager, Turtle, compagnon à tout faire, toujours à bougonner sous sa casquette qu'il porte à l'envers, et enfin Johnny « Drama », son frère aîné, acteur raté, qui incarne ici à merveille le parfait loser. Soirées au bord de piscines décorées de blondes bimbos, virées en décapotable, portables greffés aux tympans : l'immersion des quatre lascars dans l'univers à paillettes hollywoodien n'échappe à aucun cliché. Et ce sont justement ces stéréotypes poussés à l'extrême qui deviennent hilarants au fil des épisodes. Plus fouillée dans la psychologie des personnages, la deuxième saison (qui tourne autour du rôle de Vince dans Aquaman, sorte de Superman sous-marin) évoquera même par moments une version masculine de Sex and the city. Quatre loustics, lunettes de soleil sur le nez, buvant du champagne et fumant de l'herbe, en quête finalement d'un peu d'amour... et qui au passage réussissent à nous embobiner.
Emmanuelle Dasque"

Annotation :

Saison 1 disponible jusqu'au 31 décembre 2018 (99 jours)

Note Télérama -

"Alphonse Dumoulin, prof d'histoire à la retraite devenu sénateur, se retrouve propulsé à l'Elysée. Une farce politique qui noie sa bonne idée de départ sous des claquements de portes et des gags balourds dignes d’un mauvais vaudeville. Dommage."