Neo Geo MVS

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Après avoir crée Street Fighter I et Fatal Fury, "Piston" Takashi Nishiyama révolutionne à nouveau le monde du versus fighting avec The King of Fighters, le premier jeu de combat en équipes à 3 contre 3.
Réponse du berger à la bergère Capcom, ce premier KoF propose donc de faire s'affronter 8 équipe aux membres issus de l'univers SNK (Art of Fighting, Psycho Soldiers, Football Frenzy, Ikari Warriors et Fatal Fury) et va poser les bases d'une série qui va devenir une licence phare de la Neo Geo.
Révolutionnaire par son concept, le jeu offre non seulement un roster de 24 personnages, du jamais vu à l'époque, mais surtout un gameplay unique qui reste une référence à ce jour.
Même s'il sera par la suite peaufiné, le jeu propose déjà l'essentiel de ce qui fait le charme de cette licence: des combats nerveux et aussi de la stratégie en fonction du choix de l'ordre des combattants avant chaque match.
Personnelement j'apprécie particulièrement cet opus de la série pour ses graphismes très fouillés (le décor extrêmement stylé du Mexique est un bon exemple) qui selon moi ont mieux vieilli que ceux des Kof suivants (95/96/97), le pixelart traversant mieux le temps que le photoréalisme basse définition.

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Même si tout les joueurs de KoF ont leur opus préféré, The King of Fighters '98 est peut etre celui qui fait le plus l'unanimité.
Paufinée année après année depuis le premier épisode, la série atteint ici un somment en terme de gameplay et de réalisation.
Sous titré "dream match", KoF '98 ne s'inscrit pas dans la continuité de scénario de la saga Orochi, et propose donc de retrouver des personnages disparus des épisodes précédents.
Le jeu est très technique et doté d'un roster varié et conséquent (et pas si mal équilibré au final), il offre une véritable marge de progression au joueur qui prendra le temps de trouver ses personnages favoris et d'en maîtriser la palette de coups et de combos.
Un des plus grand jeux de baston de l'histoire!

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Le jeu qui m'a fait aimer la série Fatal Fury! Bien supérieure techniquement au épisodes précédents, la série Real Bout pousse la refonte de la license entamée avec Fatal Fury Spécial et offre une encore plus grande accessibilité aux joueurs de niveau modeste (dont je fais parti), avec une maniabilité revue et des timings bien plus souples.
Les développeurs l'ont dit: ils voulaient que les débutants puissent profiter des puissants coups spéciaux très esthétiques et que les joueurs plus aguerris retrouvent un système de combos très précis.
Seul défaut de Real Bout Fatal Fury Special: son faible nombre de décors (les décors sont utilisés par deux combattants), mais c'est un détail comparé au plaisir que procure ce jeu. Notons aussi que la possibilité de pousser l'adversaire hors du ring offre un petit plus intéressant au gameplay en permettant des stratégies de combat menés en embuscade ou pour une totale humiliation de l'adversaire!

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On prend (presque) les mêmes et on recommence!
Dernier épisode de la série Fatal Fury, Mark of the Wolves met en scène de nouveaux personnages (à l'exception de Terry Bogard) bien stylés et souvent liés par leur histoire à d'autres personnage de la saga, on retrouve ainsi les deux fils de Kim Kap-Hwan, Rock Howard le fils de Geese Howard et protégé de Terry Bogard, les élèves respectifs de Andy Bogard et Ryo Sasaki, etc... Le jeu est juste magnifique, les décors entre autres sont sublimes, tout est parfaitement animé et le gameplay est doté d'une maniabilité sans faille. Du grand art!

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Art Of Fighting est un jeu de baston de SNK sorti un an après le premier Fatal Fury et conçu comme un préquel et un spin off de celui ci. Grosse révolution graphique, ce titre introduit le zoom dynamique dans les combats, en effet plus les combattants se rapprochent l'un de l'autre plus ceux ci viennent occuper une grande place à l'écran, ce qui reste bluffant même aujourd'hui. Pour l'anecdote plus qu'un effet de zoom, il s'agit en vérité d'un effet de dé-zoom qui a été codé par les programmeurs, plus simple à gérer semble t-il pour la Neo Geo, qui contrairement à la Super Famicom ne possédait pas d'effet de ce genre codé en hard dans la machine.
En dehors de cet aspect technique, même si le jeu à objectivement un peu vieilli, celui ci garde un charme certain de part son ambiance et son gameplay, certes relativement lent et un peu rigide, mais qui oblige par exemple à gérer une barre de spirit nécessaire à l’exécution des coups spéciaux et nécessitant une recharge stratégique, ce qui empêche de spammer l'adversaire avec des boules de feu par exemple. Et même si le mode story oblige à choisir uniquement entre les deux héros, Ryo et Robert, le reste du roster accessible en mode 2 joueurs n'en est pas moins varié et assez stylé. C'est un jeu qui à mon avis n'a pas eu la place méritée dans l'histoire du VS fighting mais qui pourtant mérite de le détour.

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Réputé comme un des jeux de baston les plus difficiles de la Neo Geo en mode 1p (je confirme!), AoF2 n'en est pas moins un excellent jeu, et ce malgré son age! Certes on a vu mieux depuis en terme de finesse de gameplay, de fluidité d'animation, etc., mais ce titre dégage quelque chose de hyper badass.
Cette difficulté très punitive du mode story peut rebuter, mais les joueurs persévérants s’apercevront que l'ordinateur use de différents patterns d'un adversaire à l'autre qu'il faudra comprendre et déjouer en ajustant ses routines et ses combos afin de remporter le match'.
Le jeu propose de varier la puissance des coups en appuyant plus ou moins fort sur les boutons. Les combos rapides pianotés en vitesse n'auront pas le même impact que les grosses patates déclenchées avec des appuis longs, ce qui amène une certaine originalité au gameplay assez plaisante.
Le système de barre de spirit nécessaire à l’exécution de coup spéciaux a été repris et force à une utilisation stratégique de ceux ci lors des combats. Le rechargement de cette jauge oblige à l'immobilité et donc à la vulnérabilité, ce qui est très périlleux d'autant plus que l'adversaire peut lui aussi faire baisser à l'aide de provocations.
Les graphismes sont magnifiques, le character design est hyper stylé, Ryo Sakazaki et son pote Robert ont de véritables looks de gros bras de films d'action des années 80/90 (comparez avec le re-stylage de King Of Fighters où ils ont l'air de frêles jeunes hommes à coté c'est flagrant), bref on ressent une forte direction artistique qui lui donne la aussi beaucoup de caractère.
Contrairement au premier épisode, tout les personnages sont jouables en mode story/1P, on retrouve ainsi tout les protagonistes du premier opus plus 4 nouveau combattants, soit 14 personnages aux styles de combat variés.
Les sprites énormes, les zooms et le sound design ajoutent à ce coté puissant et brutal. Le jeu pousse même le vice jusqu'à faire évoluer le visage des personnages au fur et à mesure qu'ils se prennent de baffes, certains finissent couverts de bleus, d'autres perdent leurs lunettes de soleil. Je ne comprends d'ailleurs pas que ce concept n'ait pas été repris par d'autres jeux, finir un combat à l'arrachée avec le visage tuméfié ajoute encore à l'impact de ce titre qui, si on passe outre son age certain, mérite vraiment le détour.
Art Of Fighting 2 fait vraiment ressentir au joueur sa puissance et son caractère comme nul autre jeu de baston, ce qui le rend unique.

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On franchit encore une marche dans l'évolution de la série: graphismes toujours plus beaux, animation a couper le souffle: selon les sources AoF3 est le premier jeu SNK à utiliser la motion capture pour l'animation de ses personnages, d'autres disent qu'il s'agit de rotoscopie, bref en tout cas c'est fluide!
Seul ombre au tableau découlant certainement de cette précision d'animation: le faible nombre de combattants, qui du coup régresse par rapport à l'opus précédent.
Parmi toutes les subtilité de gameplay, le jeu introduit le concept d'ultimate KO: si les deux personnages on leur barres de vie basses et clignotantes, le joueur réussissant à finir le round par un Desperation Move emportera le match et ce même au premier round.
Comme pour les deux premiers opus la bande son est l'oeuvre de Yasumasa Yamada, qui cette fois çi donne un ton plutôt jazzy à ses compositions, ce qui ne dénote pas avec l'ambiance du jeu.

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Samurai Shodown est série qui aura grandement contribué à lancer les jeux de baston à l'épée et qui possède une ambiance unique et très japonaise avec ses décors et sa bande son teintés de folklore nippon. Ce second épisode augmente le nombre de personnages jouables et améliore le gameplay et la réalisation, au point d'en faire rétrospectivement un des meilleurs épisodes de la série qui par la suite ne fera principalement que surenchérir graphiquement.

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The Last Blade est un jeu de combat qui se déroule au 19éme siécle, l'époque de la fin des samourais, dans une ambiance teintée de nostalgie et de romantisme.
Techniquement superbe en tout points, doté de graphismes magnifiques, d'une bande son mélancolique et d'un sound design de grande qualité, ce jeu impressionne par le soucis du détail apporté à sa réalisation.
Le gameplay est efficace avec ses deux boutons pour les coups faibles et forts, un bouton pour les coups de pieds et un autre pour les contres nécessitant de respecter un timing précis lors de l'attaque de l'adversaire. Deux modes d'attaque sont disponibles: Power, privilégiant la puissance, et Speed qui lui privilégie les combos.
Les personnages sont moins nombreux que dans un KoF par exemple mais leurs styles de combat sont variés, ce qui est très agréable et le character design, bien qu'un peu cliché, est plutôt sympa. Notons également qu'un grand soin à été apporté à la narration qui apporte elle aussi à cette ambiance dramatique.
The Last Blade est vraiment un magnifique jeu qui vaut la peine de s'y attarder.

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The Last Blade 2 reprend la recette de son prédécesseur et en y ajoutant quelques subtilités de gameplay (surtout perceptibles pour les hardcore gamers), et de nouveau personnages.
Certains lui reprochent un déséquilibre entre les différents combattants, moi j'insisterais plus sur les graphismes (notamment les décors) et la narration du mode story qui sont peut être un poil un dessous du premier épisode. Mais en dehors de ces détails, ce titre reste une vraie merveille de direction artistique et il offrira beaucoup de plaisir aux joueur amateurs de folklore japonais et de VS fighting.

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L'éditeur Visco, par ailleurs auteur de quelques perles de la Neo Geo, tente de se hisser au niveau des géants du genre en proposant un jeu de baston assez classique et très inspiré aussi bien par SNK que par Capcom. On ne peux pas dire que Breakers est un mauvais jeu, mais il ne déclenche pas de passion, c'est "bien mais pas top comme" dirait l'autre. Le jeu avait pris beaucoup de retard lors de son développement et alors qu'il aurait pu être un sérieux concurrent deux ans plus tôt il passa finalement inaperçu lors de sa sortie alors qu'il ne manque pas de qualités. La réalisation est propre, les graphismes agréables, le character design sans être fabuleux est sympa, et une mention spéciale pour l'animation très fluide. Bel essai, car même si on reste en dessous des hits de la Neo Geo c'est néanmoins un des meilleurs parmi "les autres", mais ce n'est pas sa suite (Breakers Revenge) sortie encore deux ans plus tard qui viendra arranger les choses tant les évolutions seront minimes.

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Power Instinct Matrimelee est un jeu de baston bien réalisé, délirant, assez accessible et plein d'humour. J'ai bien aimé par exemple me battre avec en arrière plan visuel et sonore un groupe de Death Metal et des sumos qui dansent, même si au final on est loin du fun et du gameplay au poil des grandes licences de SNK.

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Burning Fight est un Beat 'em up mettant en scène une vendetta dans les milieux mafieux d'Osaka. Même si la réalisation n'est pas vraiment au niveau des hits du genre (Final Fight est objectivement dans l'ensemble bien meilleur par exemple), Burning Fight possède un certain charme qui fait tout son intérêt, même s'il faut admettre que la panoplie de coups proposée par le jeu est plutôt restreinte et que les ennemis et les boss sont peu nombreux et resservis à toutes les sauces. Mais voici pourquoi le titre de SNK tire son épingle du jeu: la ou Final Fight se déroule dans la ville fictive de Metro City, Burning Fight se déroule dans la ville native de SNK, Osaka.
Pour l'anecdote ma femme me voyait jouer à Burning Fight un jour et m'a dit: "hey mais ton jeu se passe à Osaka non?", car en effet la où le hit de Capcom prend place dans une caricature de ghetto d'inspiration très américaine, le jeu de SNK reproduit assez fidèlement de véritables décors de la ville du Kansai (en tout cas suffisamment pour être reconnaissable pour qui l'a visitée).
Le jeu suit ainsi une certaine logique géographique faisant traverser aux héros le quartier de Dotonbori (bien reconnaissable à ses galeries marchandes couvertes et encore plus à son célèbre marathonien en néon), pour ensuite continuer au niveau 2 dans la galerie commerciale souterraine de Nanba donnant effectivement sur un important échangeur de métro, et le niveau trois se déroule justement sur le toit d'un métro on est raccord, etc, etc...
C'est cette forte identité japonaise revendiquée par SNK qui m'a fait apprécier beaucoup de leurs jeux, et qui fait que j'ai un coup de cœur particulier pour Burning Fight entre autres.

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De la bonne baston de rue robotique qui envoie bien. Petite originalité: le fait de pouvoir ramasser les pièces détachées des ennemis vaincus pour pouvoir customiser son robot. Après ça reste du Beat em up on ne peut plus classique.

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LA référence du Run n gun!!!
Prenez la fine fleur des programmeurs de chez Irem qui viennent fraîchement de quitter le navire et qui se sont échauffés en créant un titre explosif à savoir Gunforce II, et mettez les à bosser sur une machine puissante et à l'architecture éprouvée, ça donne un titre colossal: Metal Slug!
Loin d’être une simple Contra-like, ce diamant video-ludique offre un rythme effréné et une réalisation au top du top, de l'humour et des graphismes qui pour moi resteront comme ce qui se sera fait de mieux dans l'histoire du jeu video en terme de 2D. Ca explose et ça vole dans tout les sens, jamais un temps mort, tout juste le temps de souffler entre deux niveaux et c'est reparti!
Un gameplay parfait, trois boutons: un tir, un saut et des grenades, agrémenté d'armes optionnelles et de balades en tank (le fameux metal slug) et vous obtenez donc un jeu imparable et incomparable pour un ou deux joueurs.
Un des plus grands jeux de tous les temps!

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Metal Slug X est une sorte de Metal Slug 2.5, exit les ralentissements du néanmoins excellent second opus, bonjour les nouvelles armes et les décors retravaillés, ce titre envoie du lourd!

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Même recette que précédemment avec encore plus d'ennemis, plus de véhicules délirants (ça va jusqu'à l'autruche et l'éléphant de guerre!) et la possibilité d'emprunter plusieurs chemins pour terminer un niveau. Ce troisième opus est le dernier avant que la série ne s’essouffle et prenne un gout de réchauffé par la suite.

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A mi chemin entre Ikari Warriors pour son gameplay vu de 3/4 dessus et Metal Slug pour son coté run n' gun explosif et exubérant, Shock Troopers est un titre punchy et bien réalisé.
Le jeu propose deux modes: Lone Wolf et Team Battle. Le premier permet de choisir un seul personnage parmi une équipe de mercenaires dignes du film Expendables, le second offre la possibilité de composer une équipe de trois guerriers interchangeables à la volée tout au long de la partie mais disposant de moins de vies pour terminer l'aventure.
Il est également possible de choisir son trajet entre jungle, vallée et montagne et des embranchements permettent de changer de route en milieu de partie. Doté d'un rythme soutenu, d'un système d'armement ainsi que de niveaux variés, Saurus réalise ici un excellent jeu digne des classiques films d'action des années 80.

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Ce deuxieme épisode de Shock Troopers vient prouver que la technique et les graphismes ne font pas tout, en voulant d'un coté mettre le paquet sur l'apparence en agrémentant le concept initial d'objets en 3D précalculée (obligatoires pour être dans le coup à l'époque), on perd au passage le fun du premier opus bien plus accrocheur.

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Puzzle Bobble est pour moi l'autre référence, avec Tetris, du puzzle game au principe ultra simple mais ultra efficace et accessible à tous.
Reprenant ses deux petits dinosaures, héros kawaï de Bubble Bobble, ce titre de Taito propose un gameplay simple: lancer des bulles colorées sur d'autres accrochées au plafond, quand au moins trois bulles de la même couleur se touchent, celles ci foutent le camp, le but étant d'éviter de voir les grappes de bulles franchir la ligne du bas et de les faire toutes disparaître.
Je défie quiconque, joueur régulier ou pas, de lâcher la manette après seulement une partie, surtout à deux!

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Je dirais que c'est à 99% le même jeu que Puzzle Bobble 1, mais avec en décor des photos (mal) digitalisées ringardes de l'époque en basse def. Du coup je préfère le premier.

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Du basket 3 contre 3 à la prise en main super simple mais très fun. Avec un habillage très 90's et une présentation typique des jeux de sport de la Neo Geo, Street Hoop est un jeu typé arcade idéal pour faire des petites partie courtes contre l'ordinateur ou un second joueur. Un titre ultra efficace et accrocheur!

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Avant Neo Turf Masters les jeux de golf n'ont jamais été folichons, mais quand Nazca et SNK nous font ça façon grand spectacle typiquement Neo Geo, ça donne un jeu de sport super accrocheur et vraiment bien réalisé!
Le jeu propose de traverser 4 parcours en choisissant parmi 6 personnages aux expressions carricaturales possédant chacun leur style de jeu, soit seul soit à deux joueurs à travers un mode duel.
Avec sa présentation tape à l'oeil, sa B.O. entraînante, son magnifique pixel art et son rythme soutenu, ce titre amène un grand coup de fun à un style de jeux parfois plan-plan.

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De l'excellent Shoot Em Up a scolling vertical qui profite bien de la puissance du hardware de SNK.

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Andro Dunos est un shmup a scrolling horizontal de Visco somme toutes assez classique mais très efficace qui nous met aux commandes d'un vaisseau spatial équipé de quatre type de tirs que l'on peut alterner à volonté et améliorer avec des upgrades.
Le character design sans casser des briques est plutôt sympa, les décors variés et assez jolis avec une impression de profondeur correcte et la bande son est plutôt agréable.
C'est un jeu modeste techniquement, en effet on trouve bien plus impressionnant sur Neo Geo (notamment Last Resort sorti quelques mois plus tôt), mais qui au final est très accrocheur car agréable à jouer et plutot bien réalisé si l'on met de coté son manque de tape à l'oeil.

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Redoutable de difficulté (même si on trouvera certainement de nombreux hardcore gamers qui le finissent en 1 crédit une main dans le dos...), Last Resort est un excellent shmup inspiré de R-Type avec son système de module et son scrolling horizontal (la rumeur dit que des transfuges d'Irem auraient oeuvré au développement de ce titre).
Graphiquement très réussi, notamment le premier niveau qui met tout de suite dans le bain et qui rend hommage (on va le dire comme ça!) au Neo Tokyo d'Akira de Katsuhiro Otomo, le titre impressionne par son pixel art très fin et jouit d'un gameplay efficace.
La bande son quand à elle est sublime, jouant habilement avec le processeur sonore FM de la Neo Geo elle mélange des thèmes sombres arrangés à la sauce Indus et lorgne également vers la musique de films SF des années 90, du grand art la aussi.