Mes belles découvertes mangas de 2022

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J'aime beaucoup la légèreté et l'énergie qui se dégage de ce classique que je découvre sur le tard.

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Une oeuvre qui traite de sujets classiques comme la difficulté à trouver sa place et à s'accepter lors du passage de l'enfance à l'adolescence. Sauf que l'auteur a sa propre patte et sais raconter de manière originale son histoire. Les personnages se tiennent vraiment et certaines scènes sont de beaux éclats de bandes dessinées.

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Une lecture bonbon qui m'a très agréablement surpris. Chaque chapitre fourmille d'idée et l'ambiance est vraiment magique.

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Une jolie romance, assez classique mais très bien racontée. La lecture est très agréable et prenante mais j'en attends toujours un peu plus.

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J'ai enfin tester ce manga après ma lecture sympathique sans être folle de Fire Punch. On retrouve le style de l'auteur, son aspect déjanté et son humour. Le mélange fait des artifices et Fujimoto arrive à proposer de beaux moments de mise en pages et des idées vraiment sympa. Un bon manga de divertissement grand public qui sort du lot.

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J'aime beaucoup découvrir les débuts d'un auteur et ce recueil des premières histoires de Fujimoto est vraiment agréable à lire bien que manquant de consistance et de maturité (normal pour des premières oeuvres).
Une lecture assez inégale et un peu oubliable mais qui reste très divertissante.

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Les bons débuts du mangaka de Jojo. J'aime beaucoup le style qui se dégage de ses histoires à la fois malines, étranges et d'une efficacité confondante. A découvrir

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Un recueil passionnant de l'auteur de Jojo où l'on trouve les prémices de tout ce qui fera son génie malgré l'ancienneté des histoires.

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Ce manga est une gigantesque claque que nous acène Hideki Arai. C'est extrêmement violent, misérable, dure, obscène mais en même temps tellement vrai, humain et dans un certains sens beau.. Beaucoup de scènes sont mémorables, d'autres insoutenables et beaucoup sont dans un sens très drôles. Une lecture renversante qui ne laisse personne indifférent et selon moi un incontournable de la BD. Arai est décidément un auteur unique, engagé et porteur de messages aussi profonds que bien racontés.

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En voilà une magnifique surprise! Un manga décomplexé en 2 volumes avec de belles fulgurances humoristiques, un rythme effrénée et un portrait de personnage tout à fait charmant.
Le dessin peu surprendre mais l'auteur possède une patte même si on n'est loin d'un dessin "beau". En revanche niveau narration, expression, rythme, impact visuel, c'est du haut niveau.
Dernier Ferry pour le succès est un manga bien déjanté, aussi drôle que touchant et une petite claque pour ma part!

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Certains manga raisonnent en nous d'une manière particulière... C'est le cas de ceux de Kyôko Okazaki (Pink, Helter-Skelter) et River's Edge ne déroge pas à la règle.
On y suis plusieurs lycéens en proies à la difficulté de grandir, d'être soi et de trouver sa place dans ce monde. Emprise sur l'autre, manque de sens, sexualité (homo comme hétéro), difficultés familiales, mort, harcèlement, troubles alimentaires.. les thèmes sont nombreux et bien traités. L'émotion nous submerges à plusieurs reprises lors de la lecture tant Okazaki arrive à mettre des mots justes et parlant sur ce que tout un chacun est amené à ressentir au cours de sa vie. Le tout, souvent dans ses fameuses cases noires où l'on découvre les pensées des personnages où lors de savoureux dialogues.
Le trait de l'autrice ne plaira pas à tout le monde mais je le trouve tellement juste, beau, renversant. Son trait donne vie aux personnages et retranscrit parfaitement leurs émotions. Si l'on adhère au style, certaines cases sont tout bonnement renversante.
L'histoire est dure voire crue mais rends hommage aux tourments de nos vie en dressant de sublimes portraits de jeunes en train d'apprendre à se découvrir et s'accepter.
Pour faire court, River's Edge, c'est beau et c'est une lecture qui fait grandir. Indispensable.

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Rafnas est un manga difficile à appréhender au premier abords. Le dessin est déconcertant, le scénario d'une originalité déconcertante, l'édition très moyenne.. Pourtant Je ne peux que conseiller ce manga de science fiction proposant un univers et des concepts uniques.
Nous sommes sur une planète où la gravité est maitrisée par les humains qui l'on colonisé ce qui leur permet de flotter dans les airs. Il existe de dangereux courant de gravité qui transportent de multiples rocher et qui doivent être constamment surveillés, les "streams". Certains humains, dont le personnage principal sont dits des "originels" soit des humains qui ne maitrisent pas les courent de gravités de la planète et sont cloués au sol. Un de ces humains, Ragi va essayer d'aider une des personnes qui veille sur ces streams et qui semble terriblement seul.
L'ensemble donne une histoire intéressante en seulement 2 tomes où la thématique principale est la rencontre entre deux personnes que tout oppose au premier regard et qui pourtant ont en commun des peurs et blessures.
Une belle histoire qui mêle avec brio imaginaire fantastique, propos par rapport au sentiment d'exclusions au sein d'un groupe et solidarité.
Le tout est enrobé par un très beau dessin qui permet de mettre en scène un monde visuellement très original. Le trait de l'autrice "Yumiko Shirai" (Wombs) dénote à coté du reste de la production manga en mêlant des influences venant du comics et de la bd européenne. Ce mélange d'influence donne un dessin dans l'ensemble beau et d'une belle originalité même si certaines rares scènes manquent de visibilités.
Une belle originalité à découvrir.

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Ryo Ikuemi est semble t'il considérée comme une très grande autrice de manga au Japon et c'est avec Dites moi que j'existe que je la découvre.
Nous y découvrons Shoko, une jeune femme qui n'arrive pas à s'affirmer et subit des pressions de son frère, sa mère et son petit amis. Shoko va recroiser la route d'une de ses anciennes amis devenue depuis autrice de manga à succès. Cette dernière demande de lui venir en aide pour les taches ménagères et l'ancrage de son manga. Shoko admire cette amis qui s'affirme et à qui tout semble réussir mais la réalité est toute autre et elle va devoir se confronter aux tourments des personnes de son entourage.
Nous allons assister à la lutte de Shoko pour s'émanciper de l'emprise de ses proches et se prouver à elle même qu'elle existe. L'écriture des personnages est très fine et je pense que tout un chacun a un jour traversé une période semblable à celle de Shoko.
Les différents personnages gravitant autour de Shoko vont compléter le portrait d'une jeunesse en proie au doute, à la jalousie et à la difficulté de s'ancrer. L'écriture de l'autrice est très fine et maitrisée. Elle nous balade lors de scène parfois dure dans un lent crescendo jusqu'à un final aussi beau que juste.
Le dessin de Ikuemi n'est pas forcément beau quand on feuillette les tomes. C'est à la lecture qu'il révèle toute sa force et de belles nuances au niveau des personnages et de ce qu'ils ou elles expriment.
Récit dense et complet en 3 tomes, Dites moi que j'existe confirme tout le bien que j'ai entendu de Ryo Ikuemi et me donne envie de découvrir ses autres oeuvres traduites en français. Un beau manga de passage à l'âge adulte qui raisonnera chez beaucoup de lecteur(ice)s.

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C'est avec ce manga "Serii" que nous avons découvert en France le mangaka au style atypique Takehito Moriizumi.
Serii est une histoire de science fiction au style littéraire et au rythme lent et contemplatif. On y suis Serii, un robot au corps féminin qui tiens compagnie à Kakeru, un homme féru de littérature.
Véritable hommage à la littérature, les livres ont un rôle important dans l'histoire et pour les personnages. Si la première partie de l'histoire est très contemplative et accompagné d'un dessin assez épuré, la seconde partie tranche en terme d'atmosphère comme de dessin et propose une belle cassure dans l'expérience de lecture. On y assiste à une sorte de renaissance de Serii et à un beau recommencement de la vie.
L'aspect Sf et déclin de l'humanité sers surtout une histoire portée sur l'introspection et l'intime et cet aspect est vraiment réussi.
Si nous découvrons en premier lieu une Serii qui tiens juste compagnie à un homme, nous voyons dans la suite une personne qui s'épanouie et de viens libre et indépendante malgré la tristesse qui l'habite.
Le dessin de Moriizumi est singulier et s'il manque parfois un peu de force, la ligne claire de l'auteur est je trouve assez sublime d'autant plus qu'elle est accompagnée d'une minutie rare dans la narration. La fin de l'histoire est plus dense et perds cette poésie mais apporte de belles fulgurances visuelles et des compositions très travaillées. Il manque juste parfois de la vie dans le regard de ses personnages, l'ensemble à un aspect un peu froids mais j'aime beaucoup la patte artistique.
Une fois l'histoire principale finie, nous avons le plaisir de découvrir 4 histoires assez courtes mais dans l'ensemble très sympathiques. Elles permettent de découvrir d'autres styles visuels et d'autres thématiques de l'auteur y compris une approche autobiographique. Si ces histoires sont assez anecdotiques, je retiendrais surtout la très onirique "Le sang de l'après midi" imprimée sur un papier jaune qui lui donne une atmosphère unique. Un petit conte à la belle poésie et très bien mis en valeur par le dessin de l'auteur.

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J'ai beaucoup aimé la lecture du premier tome de Hentai Kamen. C'est drôle, bien déjanté, la lecture reste fraiche et se renouvelle bien malgré les années qu'a le titre. Bon c'est parfois un peu lourd et certaines blagues sur le physiques sont gênantes mais l'ensemble a bien fonctionné sur moi et ce premier tome contient quelques scènes mémorables qui m'ont fait beaucoup rire!

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Une découverte mais qui a un petit coté nostalgique tant l'ambiance et l'histoire rappellent l'enfance. Le scénario et les personnages sont très classiques mais le récit avance à un bon rythme avec énergie et l'univers décrit ne manque pas de charme surtout grâce au très beau dessin du studio Clamp.
Un shojo d'action rétro certes classique mais plein de charme.

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Je ne suis pas un fan de Goldorak, de robot géant ou du club dorothé mais j'apprécie de temps en temps lire un manga de Go Nagai malgré certains défaut inhérents à son oeuvre.
Je me suis donc penché avec une certaines curiosité sur Grendizer Giga, un manga de 2014 donc très récent par rapport à ce que je connais de l'auteur.

Et je suis tombé sur une bonne grosse série Z qui m'a bien plu dans son aspect exagéré et kitsch.
On retrouve le bien connu Grendizer, robot géant guidé par un pilote qui lutte ici contre une invasion extra terrestre. Tout va très vite, les personnages comme le récit sont très peu développer et tout est prétexte à en mettre plein la vue au point de donner un aspect cross over au manga en appelant un autre personnage bien connu de Go Nagai.

Alors oui dans l'ensemble, ce manga n'a pas trop d'intérêt mais il propose un divertissement où l'on peut débrancher le cerveau et suivre non sans malice les péripéties bien exagérés concoctés par un auteur en roue libre. Le dessin de Nagai est loin d'être beau ici mais possède un dynamisme et une force peu commune qui fait que l'on tourne les pages à toutes vitesses, pris par le torrent d'action qui éclate sous nos yeux.

Il faut être honnête, j'ai lu ce manga un jour où j'avais besoin de ce type de lecture rafraichissante et demain, j'aurai déjà oublié la non histoire mais si l'on prends Grendizer Giga comme un divertissement simple qui fille droit devant lui, on peux lui concéder une belle efficacité.

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Baoh est un manga d'action débuté en 1984 soit quelques temps avant que Araki débute la première partie de Jojo. C'est également son premier manga résolument tourné vers l'action et je trouve le résultat assez réussi. L'histoire met en scène un jeune homme devenu une arme de destruction suite à des expériences menés sur son corps (contre son grès). Il se lie d'amitié avec une enfant qui l'a aidé à s'enfuir et qui est douée de pouvoirs de préscience. Ils vont devoir se trouver un but tout en survivant aux attaques de l'organisation qui traque le jeune homme.
Le gros point fort du récit est son rythme trépidant et l'énergie qui se dégage des pages. Bien que l'histoire ne sois pas originale, je trouve qu'elle est assez efficace pour rendre la lecture très agréable. Les 350 pages qui composent le récit se dévorent à toutes vitesses.
Baoh est un excellent divertissement doté d'un rythme effréné et remplie d'idées qui font ressentir les prémices de Jojo. La monté en puissance du récit amène à une jolie fin assez éloignée de la violence qui parcours les pages et apporte de 'l'espoir à un récit assez sombre.

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J'aime beaucoup l'oeuvre de Jirô Taniguchi même si son opulence et sa diversité font qu'il difficile d'en connaitre toutes les facettes. Je découvre donc avec Tokyo Killers une facette que je ne connaissais pas du maitre avec un hommage appuyé pour les films noirs. Taniguchi est ici accompagné par un scénariste avec qui il a beaucoup travaillé durant la première partie de sa carrière, Natsuo Sekiwaka (Au temps de Botchan, Trouble is my business).
Tokyo Killers est composé de 5 histoires courtes où prime l'ambiance posée à la fois par le scénario et par le dessin. Le livre comporte pas mal de pages couleurs assez belles.
La première histoire est d'ailleurs entièrement en couleur. Sa narration est assez littéraire contrairement aux visuels sans bulles qui ont un aspect très cinématographique (comme dans tout le livre mais ici, c'est encore plus prononcé). L'histoire est classique et n'a pas de vraie fin mais l'expérience de lecture proposée est assez originale et intéressante.
Les histoires suivantes ont toutes une intrigue assez simple mais efficace porté avant tout par l'écriture des personnages et la mise en page cinématographique et intense de Taniguchi. Cela ne plaira pas à tout le monde mais l'ensemble est très sympathique et divertissant.
J'ai adoré le dessin de la dernière histoire tout en contraste avec de beaux aplats de noirs. Le rendu est très réussi et donne une expérience visuelle qui vaux le coup d'œil.
Attention, on est cependant dans une ambiance très "virile", les hommes sont baraqués et les femmes très sexualisées. Il faut passer outre pour profiter de la lecture qui se réfère sur des représentations sociétales vieillottes et sexistes comme pour beaucoup d'oeuvre qui ont un certains âge.
Tokyo Killers est donc un recueil sympathique même si loin d'être inoubliable. Un manga à remettre en contexte pour l'époque et qui semble t'il à eu une belle influence à sa sortie en 1986 (selon la postface). J'ai maintenant envie de découvrir "Trouble is my business". Tokyo Killers est un un manga qui nécessite avant tout de profiter de l'ambiance et de l'énergie qui se dégage des récits. À découvrir sans être une perle.

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Junji Ito raconte une version assez classique de Frankenstein mais je trouve ce clarissime très efficace tant il manie à merveille l'art de déranger le lecteur. J'ai dévoré cette histoire avec un grand plaisir, captivé par l'ambiance, le rythme et le trait de l'auteur. Un régal qui propose une vision fascinante d'un créateur rendu fou par la course aux découvertes de son époque.
L'édition de Mangetsu propose de multiples histoires courtes pour prolonger le plaisir dont plusieurs avec le personnage de Oshikiri. Ces histoires courtes sont des merveilles d'imaginations, c'est drôle, étrange, effrayant, fascinant. Toutes les histoires ne se valent pas mais elles sont à mon sens assez indispensable pour qui aime l'auteur.
Il en résulte un pavé qui confirme définitivement mon amour (tardif) pour cet auteur.

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Ces derniers mois, j'ai soif de découvrir des autrices de shojos dont le travail me plait et j'ai un peu l'impression de partir à la découverte de toute une facette du manga qui m'est méconnu.
Je n'ai donc pas hésité à lire Dandara, un one shot qui donne l'occasion de découvrir Kira, une autrice apparement reconnue au Japon
Dandara raconte l'histoire d'un acteur de cinéma qui joue le rôle de Okita Soji, un personnage historique ayant vécu durant le Bakumatsu, à la fin de l'époque d'Edo.
Alors qu'il se réveille d'une sièste, le jeune homme est surpris par ce qu'il vie, une jeune femme ressemblant à son ex l'aborde et l'appel "Okita Soji", les scènes se suivent et les surprises continuent pour lui. Alors qu'il se croit dans un rêve, il va devoir commettre un assassinat, lui qui est connu comme étant un acteur doué pour mourir sur scène.
La suite du manga va jouer habilement avec l'identité du personnage principal et des personnes tournants autour de lui. Où est la réalité? Le rêve? L'histoire? La plongée dans le passé? Le scénario est très habile et rondement mené.
L'émotion arrive facilement grâce au très beau dessin et à une mise en page travaillée qui propose des pages aux très belles compositions.
Les personnages sont à l'image du scénario travaillés avec soin et rendent la lecture intense et puissante malgré la courte durée du manga.
Dandara est donc une belle lecture et la découverte d'une mangaka qui maitrise parfaitement son art. La lecture est un peu trop courte pour que l'on sois durablement marqué mais je ne peux que conseiller ce divertissement intelligent.

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Je n'attendais pas grand chose de ce manga et même si pas mal d'éléments sont maladroits, je me suis surpris à bien apprécier ce début de fresque qui n'aura jamais de fin.
On retrouve l'imaginaire de Miura dans un mon fantastique dont on aperçoit qu'une petite partie.
L'histoire est prenante bien qu'un peu molle à plusieurs reprises et le dessin manque de personnalité avec des traits trop fades pour les personnages.
Malgré ces freins, je me suis surpris à dévorer le tome et à rêver d'une suite tant j'ai été happé par le caractère naif et classique du récit.
Ce one-shot est à réserver aux fans de Miura (qui n'est ici qu'au scénario et encore je ne sais pas jusqu'à quel point, ses assistants s'étant chargés des dessins).
Très classique et un peu fade, Dur-an-ki n'est cependant pas exsangue de qualités et propose une belle introduction à un univers fantastiques.

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Je ne m'attendais pas à prendre une telle claque pour ce manga dont je ne connaissais que le nom il y a quelques mois. On sens que l'on pénètre dans un univers unique et profonds. Le charme du dessin est époustouflant.

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Je ne suis pas encore totalement accro à ce manga mais plutôt agréablement surpris par l'intensité du récit. Le dessin a quelques faiblesses et la narration se montre parfois un peu lourde mais les mystères sont bien amenés et les personnages charismatiques.
Un bon thriller qui peux vite rendre accro tant le récit amène à vouloir découvrir la suite.

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Micmac aux enfers est une version de Kitaro qui fut publiée dans le magasine Garo et qui ne s'adresse pas aux enfants (Kitaro fume par exemple). On y retrouve moins l'humour de la version la plus connue et l'action version "combat" est peu présente.
L'histoire donne le sentiment d'un récit fleuve sur plus de 400 pages dans lequel Mizuki s'est fait plaisir et à fait voguer l'histoire au gré de ses envies.
Si la lecture est dans l'ensemble un peu surprenante, j'ai beaucoup aimé!
Le récit alterne entre un aspect sombre et sérieux dans lequel Kitaro est peu héroïque et un ensemble léger et finalement assez drôle/étrange dans lequel le lecteur est barboté entre plusieurs intrigues qui se croisent. Visuellement, on retrouve toutes les qualités visuelles et narratives de l'auteur et quelques pages proposent des fulgurances géniales. Je pense que la lecture est à réserver aux fans de l'auteur et ne recommande pas de découvrir l'artiste par ce biais mais penchez vous dessus si vous êtes curieux et vous tomberez sur une histoire à l'ambiance assez unique et un bon mélange de cultures traditionnelles.
MicMac aux enfers est selon moi un Shigeru Mizuki bien trop méconnu et une intéressant complément à son manga "Kitaro le repoussant".

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Découvrir Yuyu Hakusho me donne l'impression de retomber en enfance au moment où je découvrais Dragon Ball c'est pour dire le plaisir que je ressens à la lecture de ce manga

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Après un seul tome, je peux déjà dire que j'adore ce manga à l'ambiance très travaillée. L'idée de départ d'un monde où les plantes ont disparus et où des humains deviennent végétaux est très intéressante. L'auteur installe un récit très intéressant porté par un visuel sublime (ne pas se fier à la couverture) Coup de coeur!

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J'aime beaucoup les originalités comme le propose Midori Iwasawa avec ce début de Millenium Darling. Ce manga fait beaucoup penser à ce qui est pour moi l'âge d'or de la SF japonaise avec un univers steampunk réussi. Le récit fonce à toute allure, les personnages sont très attachants et le dessin à une patte unique, des débuts très prometteurs.

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Voilà un manga dont je n'attendais pas grand chose. J'ai testé au vu du petit prix et je ne regrette absolument pas. Le premier tome est assez introductif mais a un certain cachet grâce à l'aspect SF post apo et à un dessin très vif et charmant. Le second tome fait s'envoler l'intrigue et apporte de la profondeur aux différents personnages. J'ai hâte de lire la suite!

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Je n'en attendais pas beaucoup mais je ris bien devant ce manga frais et instructif sur une partie de la culture japonaise. C'est hyper référencé mais cela ne gâche nullement la lecture. Belle découverte