Mes BD

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Comment partir d'un événement quotidien complètement banal et en faire une BD incontournable ? Fabcaro connaît le moyen avec une histoire totalement hallucinée servie par un humour absurde totalement décapant où l'on obtient une pure merveille de WTF. C'est gras, gratuit, intelligent surtout. Jouissif en sorte.

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Le fou furieux Tyler Cross est de retour pour une sombre histoire le menant à Miami, ville des vices s'il en est. On retrouve l'univers crapuleux de la série avec un doux cocktail de violence, de flingues, d'argent, de femmes où l'imagerie cinématographique est encore une fois très présente. On pense aux films de blaxploitations, à Tarantino et même à GTA parfois. Du grand art.

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Énième adaptation artistique du plus célèbre des détectives, sur planches cette fois-ci où le tandem Liéron-Dahan parvient à ruser d'originalité graphique et scénaristique pour offrir un premier tome impeccable, avec une histoire qui tient en haleine portée par un esthétisme magnifique. C'est fin, très beau, bien pensé, tout ce qu'on attend pour prendre plaisir devant une BD.

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Acclamée partout, la bande dessinée "Ces Jours qui disparaissent" repose en grande partie sur son histoire aussi originale que touchante. Un postulat de départ qui nous tient en haleine tout du long, nous perd dans les labyrinthes du personnage et crée l'envie de connaître le dénouement au plus vite. Le dessin n'a pas besoin d'être incroyable, le trait est simple, sobre, au service du scénario, permettant ainsi de ne pas surcharger la BD inutilement. Très beau.

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Où l'on retrouve le malhonnête Tyler derrière les barreaux. Les dessous du monde de la prison à la fois façon gangster, à la fois façon "Les Evadés". Encore une fois cinégénique à souhait, violent et sombre, ce nouveau volume est une réelle pépite pour les amateurs du genre.

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Prendre un roman photo et ses histoires à l'eau de rose et les donner à Fabcaro, en ressort un nouveau petit bijou où les clichés du genre sont totalement mastiqués et peints d'absurdité. C'est con - mais con!-, et à la fois tellement intelligent et fin, la recette du succès pour l'auteur. On en veut encore et encore et encore.

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Récompensé au festival de la BD d'Angoulême, "La Saga de Grimr" porte bien son nom. L'on suit le périple du jeune Grimr, décidé d'avoir une place dans l'imaginaire de son pays (l'Islande) coûte que coûte. Histoire de l'île, de destins de personnages, paysages grandioses, on immerge totalement dans le livre où les dessins ressemblent parfois à des tableaux, où les images forment une action visuelle. C'est du grand travail effectué et résulte une grande et belle bande dessinée qui mérite tous les louanges attribués.

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Ce premier tome de Tyler Cross pose les bases d'un personnage et d'un univers sanglant avec un mélange sex, drugs & rock'n'roll chez les shériffs. C'est cru, concis, dur, une BD aussi originale que parfaitement addictive dès les premières planches.

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Un vendeur d'aspirateur muet poursuivi par un cartel mexicain, le tout dans l'Amérique des 80's. Le point de départ de "Il faut flinguer Ramirez" est aussi loufoque que totalement accrocheur. De la violence, de l'action, du sexe, du sang, de l'humour, le cocktail est décapant. Ca va à mille à l'heure, la part belle est fait aux caricatures, on se croirait presque chez Tarantino.
Graphiquement, c'est excellent. L'univers vintage est magnifiquement représenté, les planches sont sublimes et le passif jeux-vidéos de l'auteur se fait ressentir.
Petit bémol sur l'histoire, où les personnage sont si nombreux à poser qu'on peut parfois regretter que les scènes s'enchainent si vite. Mais maintenant que les présentations sont faites, nul doute que les sorties suivantes sauront surfer sur ce premier très bon tome pour être encore plus jouissif.

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Comment ne pas aimer cette saga au succès incroyable ? Des personnages très attachants, un humour malin rempli à la fois de cynisme et d'émotion, des dialogues à la Audiard, tout est réuni dans cet univers d'un troisième âge totalement décomplexé. L'alchimie entre le dessin et le scénario fait mouche, les situations également. Une grande BD.

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Des reportages et des documentaires sur l'aventure extraordinaire de Thomas Pesquet, il y en a un paquet. Mais cette BD de Marion Montaigne joue parfaitement la carte de la vulgarisation scientifique et de la biographie à l'aide d'un humour absolument décapant qui traite le sujet d'une manière aussi sérieuse mais moins lourde. Une véritable réussite ludique pour quiconque voudrait s'intéresser d'un peu plus près à l'expérience vécue par l'astronaute français.

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Trilogie autobiographique retraçant l'enfance, les traumatismes et les tracas qui suivent l'auteur encore aujourd'hui, Steak it Easy est une porte d'entrée dans l'univers cynique mais tendre de Fabcaro. Où l'on retrouve son humour absurde et ironique, sa vision de la vie, ses convictions et contradictions qui vont avec dans lesquels beaucoup peuvent se retrouver. Toujours simple mais terriblement efficace.

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S'atteler à un monument comme Lucky Luke n'est pas chose aisée mais le challenge n'a pas effrayé le très bon Matthieu Bonhomme. L'univers western sombre est parfaitement installé, le graphisme est tout bonnement magnifique, les clins d’œil appréciables. Il n'y a bien que le scénario, assez prévisible et un poil light finalement, pour venir "ternir" le tableau mais on est sur une adaptation de tout premier ordre qui a bien mérité le raz de marée provoqué.

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La deuxième mouture des aventures de nos trois vieux gaillards ne perd rien de son humour et vient confirmer tout le bien et le potentiel scénaristique de la série. C'est drôle donc mais surtout plus fin qu'il n'y paraît derrière les couches grasses de la première grille de lecture. Toujours un plaisir.

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Fabcaro a encore frappé. En revisitant le quotidien de la vie à deux dans de mini scénettes rappelant la série "Scènes de ménage", Caro incorpore sa sauce douce-amère pour donner lieu à des moments d'humour piquants et absurdes dont il a le secret. C'est corrosif, grinçant et surtout absolument vrai. Très bon, une fois de plus.

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Deux BD, deux protagonistes (l'un américain, l'autre allemand) dans l'aviation militaire pendant la seconde guerre mondiale et surtout deux histoires parallèles qui se complètent. En plus de ce postulat aussi original qu'intéressant, le dessin est très beau et les scénarios aussi intelligents qu'intrigants pour la suite des aventures. Attention à ne pas se rater cependant, au vu du twist final...

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Deux BD, deux protagonistes (l'un américain, l'autre allemand) dans l'aviation militaire pendant la seconde guerre mondiale et surtout deux histoires parallèles qui se complètent. En plus de ce postulat aussi original qu'intéressant, le dessin est très beau et les scénarios aussi intelligents qu'intrigants pour la suite des aventures. Attention à ne pas se rater cependant, au vu du twist final...

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Troisième volet des Vieux Fourneaux, qui gagne en épaisseur scénaristique mais surtout ne perd pas en qualité et en humour. Avec ce qu'il faut de petits rebondissements qui vont bien pour relancer lorsque le rythme retombe. Moins original que les deux précédents mais toujours aussi bon.

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Timothée de Fombelle se jette dans la mer du scénario de BD avec ce Gramercy Park, œuvre épurée et sombre centrée sur une histoire à plusieurs étages. C'est intelligent, touchant et les dessins de Christian Cailleaux sont impeccables, jouant le côté retro de manière simple mais efficace. Joli.

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Un Batman entre les mains d'un francophone, du jamais vu! Enrico Marini s'offre ici un exercice de style jouissif et l'on ressent rapidement tout le plaisir pris à créer cet épisode spécial où l'on retrouve un Joker aussi fou qu'impitoyable en antagoniste d'un Batman peut être un poil trop lisse. Mais l'univers du comics est respecté et le scénario assez intéressant pour aller plus loin qu'une pâle adaptation. On attend la seconde partie avec hâte.

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Fabcaro n'a plus d'inspiration. Fabcaro n'a plus le temps. Fabcaro doit s'occuper des choses du quotidien. Pas de problèmes, Fabcaro va donc livrer une BD sans queue ni tête où les personnages changent d'une bulle à l'autre, pour revenir deux planches plus loin. Le non-sens poussé au maximum. L'absurde est là, l'humour aussi même si le côté très capillotracté peut perdre.

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Inspirée d'une improbable histoire vraie de la Seconde Guerre Mondiale, "Opération Copperhead" joue à fond la carte de l'humour pince-sans-rire très british et sent bon l'esprit vintage de films d'espionnage des 60's/70's. C'est intelligent, parfois poétique, parfois absurde et surtout très plaisant à lire et regarder.

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Première incursion dans le monde des Comics du phénomène Rick & Morty. Pour les aficionados, l'univers est parfaitement respecté et l'on peut même être bluffé de la ressemblance intacte d'avec la série. Les histoires (inédites) sont aussi folles que dans les différentes saisons et l'on apprécie le fil conducteur, bien qu'il faille se cramponner pour ne pas le perdre en route - l'un des défauts de la série également.
Pour ceux qui ne connaissent pas encore, ce tome peut être une bonne porte d'entrée dans la dimension barrée de R&M.

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Le tome qui regroupe le plus de personnages de Kaamelott et donc leurs caractéristiques, ce n'est sans doute pas un hasard s'il s'agit d'une des meilleures adaptations de la série. L'histoire (un siège Carmélide) et ses rebondissements ne sont pas étrangers également à cette réussite.

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La franchise tourne à plein régime, le succès ne se dément pas pour cette survoltée bande du troisième âge. Si l'effet de surprise s'estompe assez rapidement désormais tout comme les ficelles de narration et ses éléments politiques contemporains, les personnages haut en couleur gardent toute leur attractivité dans cette aventure garantie sans pesticides.

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Nouvelle aventure pour le cowboy le plus célèbre de la BD et le voici empêtré dans une drôle d'histoire qui le mène de son far west à... Paris!
Idée intéressante, plutôt bien emmenée par le scénario, assez divertissant. Les clins d'oeil culturels et historiques sont évidemment légions, sans doute même un poil trop, dénaturant quelque peu l'ADN de LL. Tout comme les références contemporaines, pas toujours très subtiles. On est loin des clous de Morris mais l'opus sait être dans l'air du temps et reste très largement appréciable.

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Nouvelle mouture de strips pour l'incontournable FabCaro avec cet Open Bar vol.1, sorte de pot-pourri d'avis sur les tracas quotidiens et contemporains que peut rencontrer Mr tout le monde. On retrouve avec plaisir l'univers absurde et cynique de l'auteur, avec quelques nouveaux pics de génie même si l'on n'est peut être pas face à son œuvre la plus régulière ici.

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Loin de l'univers de son Titeuf, Zep s'aventure dans une BD hallucinée où se mélangent écologie, les Doors, couleurs psychédéliques et esprit post-apocalyptique. Si le postulat de départ et la première partie sont intéressantes et même instructifs, l'ellipse temporelle de la seconde partie nous laisse sur notre faim voire même carrément dubitatif, et ce malgré un graphisme irréprochable.

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Nouveau tome pour la BD à succès, le premier depuis sa déclinaison au cinéma. On retrouve donc la recette gagnante: nos pépés révolutionnaires et aigris sous fond de dénonciation contemporaine (ici la crise des réfugiés) et d'humour grinçant. Si la fraîcheur a disparu et certains passages se font répétitifs, le plaisir de retrouver ces personnages haut en couleur reste intact et la lecture se fait toute seule.

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Le plan de départ est intéressant et surtout intrigant. Les premières planches tout autant avec une idée scénaristique originale et un dessin élégant. Malheureusement la suite se gâte un peu et rivalise de clichés un poil trop cul-cul. On se croirait dans une dramédie française de Klapisch avec quelques ficelles trop grosses. Divertissant tout de même.