Mangas/Comics/BD lus en 2022

Annotation :

Des chiens avec des traits bien familiers voire même copiés-collés sur du disney (mais ce n'est pas un problème). En revanche l'histoire peine à se développer et à vraiment tirer quelque chose de cette aventure bien sordide.

Annotation :

vol. 1
Un comics à concept, divertissant avant tout, une narration bien développée sur une trame d'apocalypse et de confinement forcé. Un petit groupe d'élu(e)s qui essayent de rassembler les morceaux dans une maison luxueuse en bord de lac.

Annotation :

Assez sympa pour des enfants, l’histoire est vraiment pas compliquée mais c’est du coup fluide tant dans la narration que d’une planche à l’autre. Pour résumer l’histoire c’est du « one-punch-kid » dans un monde gentiment post apo.

Annotation :

Vol.1
Un récit construit simplement mais assez solide et des dessins somptueux, au service d’une histoire post apo oscillant entre les ténèbres et la lumière, entre les explosifs et les gros camions et entre des créatures tranchantes et des hommes un peu monstres eux-mêmes. Le principe de cette plongée du monde dans le noir complet est aussi prometteur.

Annotation :

Vol.1
Un excellent premier tome, un mystère gothique sur une ville côtière prise dans une tempête de neige, un duo de détectives « en herbes » et des dessins qui accrochent l’œil grâce à des traits semi-réalistes et des couleurs qui concrétisent l’atmosphère lugubre et emmitouflée qui nourrit l’histoire.

Annotation :

Vol. 1
Un peu trop pressé, mais l’auteur a des intentions intéressantes.

Annotation :

Vol.1
Des petits contes de la crypte en territoire urbain, avec un focus particulier sur les petites vies malheureuses, les destins tragiques et autres concours de circonstances glauques que les réalités sociales peivent engendrer. Des dessins nets en parfait accord avec l’ambiance et une histoire plus large qui se dévoile autour de ce mec qui vend des glaces et qui a tout pour être louche.

Vol.2, Vol.3 Toujours aussi palpitant, ce format de petits contes de la crypte permet de passer des banlieues pavillonnaires à l'infini de l'espace le plus éloigné, et même le temps est complétement distendu. On passe de l'époque récente à celle des westerns pour glisser vers des temps immémoriaux loin devant ou loin derrière nous. Le premier volume était désespéré, des notes de bonheur perlent cependant dans les deux suivants. Le tout reste cependant assez désabusé et frissonnant. Et dérangeant.

Vol.4, Vol.5

Annotation :

Je sais pas si c’est le scénario nanar gâché par un premier degré bas du front sur la vilaine méchanceté du consumérisme ou le bandeau papier qui fait la promo du comics en le vendant comme « un croisement entre Twin Peaks et The Leftovers » qui m’aura la plus agacé. Bref ce n’est ni lynchien ni lindelofien. C’est plutôt strangerthingien croisé d’un mauvais scoobydoochien. Et qu’est-ce qu’on en tire nous ? Rien.

Annotation :

Une sorte de Peter Parker qui tombe amoureux d'une sorte de Mary-Jane déjà en couple avec une sorte de Harry Osborn. Mais pas de morsure d'araignée en vue. Plutôt un bon vieux pacte avec un démon cornu. Une histoire de justicier forcé à embrasser une trajectoire à la Travis Bickle.
Avec beaucoup d'arrêts sur ses états d'âmes. Et des dessins magnifiques dans le New-York sordide et gelé des coins de rues où ça tourne mal. Au détour de quelques coups de feux éclatants et sanglants.
Bref, le média comics à son meilleur et pas besoin de capes en cuir et de collants moulants pour ça, juste une bonne vieille cagoule de ski.

Annotation :

Une course contre la montre qui fait sur la fin une petite dérive inattendue vers un autre genre d’histoire. Quelques QR codes disséminés dans certaines planches pour ponctuer la lecture avec de la musique spécialement créée pour le comics. Pas révolutionnaire du tout mais fait montre de suffisamment de créativité pour donner envie de voir la suite.

Annotation :

Vol.1

Annotation :

Horrible mais « moins » insoutenable que Neonomicon d’Alan Moore. Intéressant de voir le média comics arpenter des approches de l’humanité aussi désabusée, perdue entre l’impératif moral et l’impératif de sa survie.