LIVE

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Mon tout premier concert. Vive les années collège. De là à dire si je l'assume fièrement, c'est une autre question, mais à l'époque je connaissais les textes par coeur.

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Pareil que pour Sinik.

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Je ne connaissais que les singles qui passaient à la radio, un ami voulait juste quelqu'un pour l'accompagner. Une grande salle de concert, "Zooombie, zoombie, zooombie" et un "qu'est-ce que je fais là" plus tard, c'était plutôt pas mal.

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Casquette vissée sur la tête, entrée sans un bruit un mac à la main, il a grossi le gaillard. Le voilà qui prend le micro, commence un "Helllooo ......" avant de demander à son assistante dans quelle ville il se trouvait.... "Okay.. Helllooo Metz ! " (ou un truc comme ça).
Sinon il n'a fait que passer des classiques du rap de N.Y. et de Gangstarr en rendant hommage à Guru qui venait de nous quitter. Pour Guru bien sûr rien à dire, mais sinon rien de transcendant. Je fais la même chose avec mon MP3.

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Des musicos qui assurent et qui se lâchent sur les morceaux. Une mise en scène efficace et un bon contact avec le public ont fait que j'ai passé une très bonne soirée.

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Accompagné de Faf Larage, AKH n'a pas cessé de jouer la comédie, de varier les mises en scène pour beaucoup de morceaux et de jouer avec le public. Un concert maîtrisé de bout en bout.

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Thomas Fersen m'avait déjà séduit grâce à ses CDs que ma mère passait dans la voiture et à la maison. J'aimais surtout sa voix et ses textes que je trouvais différents de ce que l'on pouvait entendre à la radio.
Lorsque ma mère m'a alors demandé si je voulais l'accompagner pour son concert, j'ai tout de suite dit oui. Ce fut l'un, voire le meilleur concert auquel j'ai pu assister. Une présence scénique forte, un dialogue avec le public chaleureux et la compagnie de musiciens de talent ont transformé ce concert en pur moment de plaisir.

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Pour moins de 10 euros j'ai pu voir tous les vieux de la vieille du rap français en une seule soirée pour 4 heures de show. Résultat : énormément de trentenaire et de quarantenaire dans la salle mais aussi des plus jeunes pour un même amour du hip-hop français des '90s, mais pas que.

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Même soirée que les X-Men

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Même soirée que les X-Men

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Même soirée que les X-Men

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Mon énorme coup de coeur lorsque j'étais en stage à la MCC La Chaouée à Metz. Si vous ne connaissez pas, je vous conseille de vous ruer dessus ! Malheureusement le groupe n'existe plus aujourd'hui, mais leurs deux albums sont géniaux !

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Plus de 1h45 de concert pour Method et Red qui ne voulaient plus quitter la salle. Une énergie et un amour pour le hip-hop comme je n'en avais jamais vu. Show de fou où les deux MCs nous ont donné du pur spectacle. Toujours le sourire aux lèvres, sauts à répétition dans le public, on en redemandait et eux aussi.

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Première partie d'Eminem au Stade de France. Hué à la fin de sa prestation par un public qui ne le connaissait pas et un Chance the Rapper qui s'est vu attribuer la difficile place de commencer le show. Dommage.

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On reconnaît les vétérans quand on en voit un. Là les 4 compères ont assuré après la prestation de Chance qui n'avait pas plu au public. Titre sur titre les 4 MCs ont bien chauffé le stade à l'aide de leur savoir faire et d'une complicité certaine.

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Tyler n'a pas arrêté de jouer avec le cameraman, de plaisanter avec le public, de faire le pitre, tout en assurant ses titres comme un pro. La foule rit, applaudit, elle est conquise.

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Plus calme que son partenaire, il n'en reste que Earl captive le public de par son charisme et sa maîtrise des foules. Le stade de France était prêt pour le prochain invité. Et quel invité.

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Explosion dans tout le stade. Kendrick arrive sur son titre "good kid" vêtu tout de noir, hoody noir et capuche mise. Malheureusement des larsens viennent gâcher ses premières minutes sur scène. Un peu froid avec le public au début, il se reprend par la suite et le séduit avec un "Bitch don't kill my vibe" que tout le monde reprend en coeur. Ses musiciens se chargeant de finir ses morceaux de manière instrumentale. Sortie un peu brève mais le public n'en peut plus d'attendre le MC de Detroit.

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Eminem a bercé mon adolescence au collège pour ne plus me quitter. Je lui dois sûrement cet amour pour le rap que j'ai toujours aujourd'hui. Le genre d'artiste que l'on adore et que l'on se dit dans un coin de sa tête sans y croire "un jour je le verrai en live".
J'ai réalisé ce voeu, au stade de France qui plus est.
Tout n'était pas parfait pour autant ; playbacks, titres qui passent à la vitesse TGV (parfois que les premiers couplets), "que" 1h30 de concert, pas une grande communication avec le public.
Mais le fait est qu'il avait envie de bien faire, ça se voyait. Puis il vous fait ressentir une de ces émotions, c'est dur à expliquer. 70 000 personnes environ qui vivent en même temps que vous la même chose, c'est quelque chose. Il faut le vivre pour comprendre. On a l'impression de faire parti de quelque chose d'important, de vivre tous ensemble un moment unique. Puis c'est pas de sitôt qu'on le reverra en France.

*High five entre le moi du collège et moi-même*

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L'un des meilleurs concerts de ma vie. Même si les marseillais ne sont pas des bêtes de scène, ils compensent cela par un sens de la mise en scène efficace et grande expérience du terrain. Je les remercie encore d'être passé dans ma petite ville de l'Est ça a fait vraiment plaisir. Ce qui était étonnant mais pas si étrange finalement c'est qu'il n'y avait presque que des quarantenaires/trentenaires dans le public, du coup il y avait une très bonne ambiance. Un public très respectueux qui était là avec des étoiles dans les yeux face à ce groupe avec qui ils ont encore plus grandi que moi. Public qui a réservé aux rappeurs deux moments de pure émotion lorsqu'à la fin de "L'empire du côté obscur" (où le groupe apparaît en accoutrement de Jedi, sabres lasers, lumières noires et fluos pendant toute la chanson) et "La Saga" il se met à crier et applaudir le groupe à n'en plus pouvoir pendant au moins 5 minutes. Le groupe ne savait pas trop quoi dire mais leur sourire en disait long : il kiffait être là et il prenait tout l'amour qu'on avait à leur donner. La grande expérience d'IAM fait qu'ils savent parfaitement allier grands classiques (comme Petit Frère où le public est encore une fois devenu fou) et d'autres moins connus.
Et surtout le plus important : 2h15 de concert ! Ce qui ne se fait plus ou presque plus de nos jours. Surtout pour des quarantenaires ! J'étais comblé.

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Rien qu'à l'écoute de son album The Golden Age, avec ses imposantes percussions, ces cuivres flamboyants et ses cordes classieuses, je savais que les morceaux du frenchy devaient montrer leurs vrais potentiels en live. 1h30 plus tard, je me rends compte que je ne m'étais pas trompé. Un sextet philharmonique, trois cuivres, un pianiste, deux percussionnistes n'étaient pas de trop pour accompagner le "garçon de bois' sur scène. L'avantage de n'avoir sorti qu'un seul album, c'est que votre répertoire est de taille suffisante pour pouvoir tenir tout un concert. Du coup on a eu droit à The Golden Age + son précédent EP en live et parfois retravaillés, allongés. Comme une version plus acoustique de "Boat song", ou deux interludes façon électro épique où le chanteur a invité toute la salle à se lever et à danser comme en boîte de nuit. La communication avec le public était très agréable et détendue de la part du français, avec même une once d'humour. Mais que dire de sa voix, la même que sur CD, sans aucun soucis venus trahir son interprétation impeccable. A une époque où je vois pleins d'artistes au succès international ne pas réussir à chanter correctement un seul de leurs morceaux, ça fait chaud au coeur de voir que notre artiste français possède une voix et un talent géniaux. La musique de Woodkid était déjà épique sur CD, elle en devient sublime et touchante en live. Un MUST SEE !

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Les singles de Franz Ferdinand m'avaient déjà toujours plu, du rock accessible et énergique au possible avec des refrains facilement mémorisables. Mais jusqu'à ce que je les vois en live, je n'aurai pas imaginé qu'ils soient aussi efficaces. Dès le premier coup de guitare, la salle entière était déjà en train de sauter de partout et de scander les paroles. Le potentiel de leur musique est alors décuplé et le reste n'est que pur plaisir. Le public qui nous entourait Softon et moi a joué un grand rôle dans le plaisir que j'ai pris à être à ce concert. Super réactif, n'hésitant pas à sauter, à chanter. Et le groupe nous le rendait bien, puisqu'on a pu sentir un vrai plaisir de jouer face à nous, les quatre musiciens finissant leur concert main dans la main comme des artistes à la fin d'une pièce de théâtre. Un concert rock comme je me l'imaginais.

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Mon live report ici : http://boumchaka.tumblr.com/post/83801997189/inside-nimby-davis-18-04-14

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Mon live report ici : http://boumchaka.tumblr.com/post/83802749109/sticky-fingers-au-quaison-live-report-22-04-14

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Mon live report ici : http://boumchaka.tumblr.com/post/87086417939/wermonster-live-report-23-05-14

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Dans une plus petite formation que lors de la première date mais toujours un concert génial. Dernière date de sa tournée monstre (4ans!), l'euphorie et la joie se lisaient sur le visages des musiciens et c'était très touchant de bout en bout.

Mon live report : http://magazine-karma.fr/media/week-end-inaugural-woodkid-bam-metz-vendredi-26-septembre-2014-jour-1/

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Un synthé, des rythmes électro inspirés par la musique arabe, une moustache et un charisme de fou, il n'en faut pas plus pour se déchaîner sur la musique de Omar Souleyman. Je n'en attendais rien et c'était top !

Mon live report : http://magazine-karma.fr/media/week-end-inaugural-omar-souleyman-nasser-asp-bam-metz-samedi-27-septembre-2014-jour-2/

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Nasser a continué là où Omar Souleyman s'était arrêté : faire danser la foule à grand coup de batterie et de rythmes pop imparables. Plutôt cool en concert, mais en disque ça ne serait sans doute pas mon trip.

+ ASP (absent de la data base) : Un groupe techno/electro qui nous a offert un moment grandiose avec des lunettes 3D (pas les grosses des salles ciné, plutôt celles qu'on retrouvait dans les paquets de céréales) qui nous permettaient de voir des formes tirées de l'écran derrière eux ,foncer sur nous. Une bonne dose d'immersion bien comme il faut.

Même live report : http://magazine-karma.fr/media/week-end-inaugural-omar-souleyman-nasser-asp-bam-metz-samedi-27-septembre-2014-jour-2/

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Je pouvais avoir une accréditation, j'y suis donc allé. Mais sans trop d'attente vu que je n'ai jamais été un grand fan du rappeur masqué. Et vu la note que j'ai mis à son dernier disque Grand Siècle, j'étais plutôt content de ne pas avoir payé ma place. Un concert moyen avec un jeu de scène presque inexistant et une interaction avec le public minime. Mais les archis fans ont eu l'air d'avoir appréciés.

Mon live report : http://magazine-karma.fr/media/fuzati-orgasmic-geometrie-variable-para-one-bam-metz-vendredi-24-octobre-2014/

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Pareil que pour Fuzati, j'avais une accréditation, j'y suis donc allé pour voir à quoi pouvait ressemblait ce jeune rappeur français sur scène. J'ai d'abord eu l'impression d'être un animateur de centre aéré vu la différence d'âge avec presque tous le reste du public (- 18 ans ou un peu plus). Mais ensuite dans l'ambiance ça allait. Geogio a sauté de partout et on voit la différence d'avec le trentenaire Fuzati. Un moment plutôt sympa.

Mon live report : http://magazine-karma.fr/media/georgio-llm-le-saloon-bam-metz-vendredi-5-decembre-2014/