Liste non exhaustive des pires comédies imaginables

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Probablement écrit en fumant des pétards gros comme des baguettes tradition. C'est sûr que sur le moment n'importe quelle connerie semble irrésistible, sauf qu'après il faut les tourner. Résultat : long, lourd et chiant. Tellement merdique qu'Elisabeth Quint a adoré.

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Ce qui a de bien avec Onteniente c'est qu'il nous offre un choix incomparable. On va naturellement se porter vers le ratage le plus impardonnable au regard du casting (Chabat, Baer + Depardieu en guest). Le résultat même pas digne d'un téléfilm France 3. Pas un seul rire à se mettre sous la dent. Avec de telles pointures c'est désespérant. Onteniente a bel et bien une "anti Midas touch".

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Nora Ephron n'a manifestement rien compris au "Père Noel est une ordure", mais la réalisatrice de "Quand Harry rencontre Sally" s'est mise en tête d'adapter le film culte du Splendid pour le marché US. Elle a donc viré tous les éléments glauques (exit Paris en décembre, vive Los Angeles !), et tous les blagues potentiellement offensantes et corrosives. Même les américains n'en ont pas voulu. J'ai tenu 15 minutes.

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Galabru a toujours assumé ses rôles merdiques pour des raisons mercantiles, mais il se serait prostitué sur un chantier de banlieue que ça n'aurait pas été plus infamant.

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Seth Rogen a un problème avec la drogue. Elle lui inspire les pires projets. Ici, extrême vulgarité où la seule forme de transgression est sexuelle. Humanisation des produits d'un supermarché, symboliquement c'est assez consternant. Y a même pas de charge ironique sous-jacente.

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Dubosc en jeune premier. C'est le seul truc précis dont je me souvienne. A part cela il me semble que j'ai saigné des yeux.

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Le premier volet avait un certain charme, celui du demi nanar tombé du ciel qui n'avait pas d'autre ambition que de faire rire leurs auteurs. Et certaines répliques sont restées. On ne gardera absolument rien de celui là malgré un budget multiplié par 5.

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Pourtant je les aime bien ces deux cons là. Le premier volet est une réussite incontestable. Mais je cherche encore à comprendre comme ça fonctionne dans leurs cerveaux. Capables du meilleur comme du pire. Là c'est le pire. Rien à sauver à part peut-être Katerine en méchant de James Bond.

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"ça serait pas mal qu'il se r'habille votre grand rouquin". Seule phrase drôle du film. Ça fait peu. Trop peu quand on s'appelle Didier Bourdon.

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On dirait que Ben Stiller s'est forcé à faire une suite pour contenter les demandes incessantes des fans. Pas beaucoup d'idées amusantes et surtout des tonnes de bon sentiments à la fin. Gênant.

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Vaudeville daté et lourdingue, qui ne décolle jamais. Incroyable que les américains en fassent un remake avec Antonio Banderas à la place de Pierre Richard.

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"L'Audiardxploitation" a fait du mal à ce pays dans les années 70. Souvent prétexte à faire se réunir une ribambelle d'acteurs qui courent après le cachet. Le résultat fait sourciller les spectateurs les plus coopératifs.

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Réussir à salir une série déjà pas étincelante à la base, c'est le tour de force proposé par Jonah Hill quand il ne fait pas gaffe à sa carrière. L'autre nez bœuf est à sa place dans cette croûte en revanche.

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Garçon Chiffon origines.

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Avec Bernie, Dupontel avait donné un coup de poing dans le bide à la comédie française. Drôle et glauque, absurde. Avec Enfermés dehors, il fait une comédie française pas amusante pour un sous, et pire, qui chie droit malgré les cascades qui voudraient évoquer Tex avery.

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Nul de bout en bout (un frère Coen au stylo, hasard ou réalité scientifique ?). Ses pubs Nespresso sont mieux.

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Film qui a tout piqué "Hotel de la plage" et à "A nous les petites anglaises". Si Michel Lang avait été américain, il serait aussi big de Judd Apatow. C'est dire le niveau...

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Pourtant je l'aime Doudou. Mais ce premier film est complètement raté. Absolument pas marrant d'une part, et puant le culte de la personnalité de son auteur d'autre part (toutes ces bombes qui lui courent après, sans le moindre once de second degré). Edouard est un génie. Mais c'est pas un réalisateur. Sa passion pour Cassavetes donne peu d'espoir quand à la suite de sa filmo.

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Les américains eux-mêmes n'auraient pas su faire pire.

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https://www.senscritique.com/film/Yesterday/critique/203470250

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Ils sont rincés... Loin de Cuisine et dépendance, d'un air de famille ou même du goût des autres. Manque d'inspiration ? Lassitude ? Ça arrive à tout le monde. Mais de là à prendre Mister V pour racoler auprès des Djeunes... Toutes les compromissions ne sont pas tolérables.

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Sur ce coup, mon jugé est peut-être biaisé, car j'ai trouvé qu'une VF. Mais malgré tout, le scénario est bien faible, et Bill Murray ne parvient pas à être sympathique. Un sous sous sous MASH en plus poseur.

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Comédie sans prétention, et sans rien d'autre.

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Sur le papier ça faisait rêver. Dans les faits c'est pas loin d'être un cauchemar. Mauvais comme les pires Mocky.

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Le Gervais opportuniste, celui avec les dents refaites qui cherche le Box office. Pas le Gervais que j'apprécie.

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Impossible à résumer. Collage de scènes improbables, jeux de mots interdits, calembours honteux. A enterrer dans le sol, sous 30 mètres.

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Comédie téléramiste volontairement giscardienne (Almaric avec des chapeau de cowboy trop grand lolilol). On est pas devant du De Broca, plus du Rozier et c'est donc pas un compliment. Objet burlesque inoffensif comme souvent. La petite Pons a du charme, et Macaigne ne devrait apparaître que dans des rôles d'hirsutes mal assurés dans des spots pour la Maïf.

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Je préfère rien dire, sinon je vais me prendre une fatwa par les nombreux fans des Coen. Bon si allez, juste un truc. C'est pas drôle. C'est trop long. Et le scénario est facile. Allez prenez vos pierres...

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Une suite à Dumb and Dumber, le truc qui ne fallait pas faire. Le truc impossible dès le départ.

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Benthala entend bien s'imposer de la tête et des épaules comme le taulier de la comédie française poussive. Même quand le projet s'annonce comme une parodie sans prétention de film d'aventure, il arrive à foutre en l'air les efforts de ses camarades un peu plus talentueux (Damiens, Commandeur). Un cas désespéré.