Lire, ça peut pas faire de mal.

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Achat //

9/10. Ce livre fut savouré comme on laisserait fondre en bouche un petit bonbon au caramel.
Nouvelles, pensées, pastilles : regrets, détestables souvenirs, victoires méritées, quotidien secret, tournages divers et variés, premières et dernières fois, trous de mémoire, orgueil et préjugés, rencontres fortuites ou prolongées, voulues ou évitées, exercices de pouvoir sur les autres ou sur soi-même, les recoins de la Maison, encore et surtout la mémoire, les grands Maîtres et les petits acteurs de complément ou de passage, la voix affaiblie ou puissante, scènes de la vie d'acteur.
Actrice en devenir, je considère cet ouvrage comme un repère quotidien. Merci Denis. Tu m'apprends beaucoup.

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Emprunt/Rendu

8/10. Sur les pages de droite, une pièce que j'adore de tout mon être. Sur les pages de gauche, des annotations précieuses d'Antoine Vitez (dessins, écrits, réflexions...) datant de sa mise en scène de Lucrèce Borgia en 1985.

"DONA LUCREZIA - Et que m'importe ? S'ils ne savent pas qui je suis, je n'ai rien à craindre ; s'ils savent qui je suis, c'est à eux d'avoir peur." Victor Hugo

"Sauver les personnages. Tout le débat du réalisme est là. C'est le théâtre des essences pures. Et comme aussi je l'aime!" Antoine Vitez

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Emprunt/Rendu

4/10. Un dealer et son client communiquent par de longues tirades philosophiques. Du blabla. Du Koltès.

"Devant vous, je suis comme devant ces hommes travestis en femmes qui se déguisent en hommes, à la fin, on ne sait plus où est le sexe."

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Emprunt/Rendu

Merci : 2/10. Malgré quelques rares répliques vraies, drôles et surtout intelligentes, je me suis profondément ennuyée en lisant ce pseudo-discours. Mon imaginaire ne l'a mené nulle part. Rien ne se passe, et pourtant c'est très long et détaillé. M'voyez.

Mes italiennes : 7/10. Ah, quand même, Pennac! J'ai été très attendrie par cette "chronique d'une aventure théâtrale" d'un auteur qui a toute sa vie évité d'être acteur et qui pourtant va jouer son propre monologue. Il raconte ses craintes, ses difficiles apprentissages de textes, le découpage de sa pièce si longue, les italiennes à répétition... J'ai adoré la poésie et la naïveté qui ressortait de ses écrits. Ces italiennes à répétions "du Rond-Point des Champs-Elysées au métro Chatelet, en passant par le jardin des Tuileries", la différence coté Cour/coté Jardin, la première représentation, la nostalgie de cette-dernière, le très redouté trou de mémoire, ses erreurs, l'approche du monologue, la dissection des différentes sortes de publics. Cet oeil neuf m'a touchée.

Merci (adaptation théâtrale) : 3/10. De toute façon, l'histoire de base ne m'intéresse pas. Donc avec coupes ou sans coupes, aucune adhésion de ma part.

Moyenne du recueil de Daniel Pennac : 4/10

Note à moi-même : il a écrit quoi de bien, Pennac? J'ignorais son existence jusqu'à cet emprunt...

"(le comédien est un fruit de saison),"

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Emprunt/Rendu

Une liaison pornographique : 6/10. Je me demande comment mettre en scène cette pièce en alternant singulièrement les scènes d'amour et les scènes d'entrevue. Je me demande à quoi ressemblent physiquement les personnages. Ils ont d'ailleurs mis du temps à m'émouvoir légèrement, ces deux-là. Mais c'est arrivé, éventuellement.

Nathalie Ribout : 8/10. La pièce de théâtre qui a inspiré les films "Nathalie..." d'Anne Fontaine et "Chloé" d'Atom Egoyan avec Amanda Seyfried et Julianne Moore (bieeen plus transformé en thriller). J'ai été attendrie par le personnage de Nancy, sa philosophie de vie, sa façon de tout raconter sans filtre en décortiquant chaque geste chaque mot chaque émotion. Elle est crue, mais délicate. Seul bémol : la fin bâclée (d'après moi) et qui n'a rien à voir avec le reste de l'histoire. Quel dommage.

Moyenne du recueil de Philippe Blasband : 7/10

Note à moi-même : l'écriture de Blasband me plaît, il faut que j'emprunte d'autres histoires de lui.

"SONIA. Tu veux un pyjama?
NANCY. Ça ira.
SONIA. Tu dors nue?
NANCY. Moi, oui, je dors à poil.
SONIA. T'as pas froid?
NANCY. Non. J'ai une excellente circulation!
SONIA. C'est rare, ça, chez une femme... Bonne nuit..."
Nathalie Ribout

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Achat //

Vu que la Fnac n'a jamais daigné expédier mon livre 1 mois après la commande, j'ai jeté mon dévolu sur mon petit libraire préféré. En 4 jours c'était fait. L'édition 2009 que je voulais, en plus.
Leçon du jour : toujours privilégier ton libraire du coin.

8/10. Pièce de génie, mais sans la voix et la présence de Guillaume Gallienne, c'est tout de même pas la même magie...

Voir ma critique de la pièce jouée : http://www.senscritique.com/film/Les_Garcons_et_Guillaume_a_table_La_Piece_de_theatre/critique/84195991

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Achat // Lu de traviole. J'ai le trac rien qu'en feuilletant ce répertoire d'écoles et de modalités de concours.

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Emprunt / Rendu / à acheter édition Robert Laffont

8/10. Voir ma critique : http://www.senscritique.com/livre/Oblomov/critique/84634467

"-Voyons, Ilia! dit Stolz, dirigeant sur Oblomov un regard étonné. Qu'est-ce que tu as donc? Comme une boule de pâte, tu t'es enroulé sur toi-même, et tu restes couché.
- Tu as raison, Andreï, je suis comme une boule, répondit tristement Oblomov."

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Emprunt / Rendu

2/10. J'étais à la recherche du temps gagné, ce fut un échec cuisant où mon temps fut perdu. Ayant une sorte de flemme de lire les quelques 2500 pages de La Recherche, j'ai décidé de céder à la facilité en empruntant ce "Scénario Proust" où Pinter s'est amusé à écrire un scénario de film (toujours pas tourné à ce jour) en gardant les parties essentielles de ce roman célèbre. Cette expérience fut navrante. J'avais l'impression de regarder un film chiant que j'ai arrêté dès la moitié. Harold Pinter pourtant je t'aime bien.

Pas grave. Revenons à nos classiques, je vais les lire ces sept tomes de La Recherche. J'en fais serment.
MAIS en utilisant la méthode de la grand-mère de Guillaume Gallienne :

"Proust? C'est à se tordre. L'erreur des français c'est qu'ils commencent par le début et en effet le début est très ennuyeux parce qu'il y a 200 pages sur les vitraux. Mais il faut commencer par Le Côté de Guermantes, là tu te marres, Sodome et Gomorrhe, tu te bidonnes, et tu t'attaches tellement aux personnages que tu reprends au début et les 200 pages de vitraux passent à une vitesse..."

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Emprunt / Rendu

6/10. J'ai lu cette pièce comme on lirait un bon roman. J'y ai cru comme on entrerait facilement dans un film. Un bar tenu par une communauté juive. Charlie adulte observe et commente sa vie qui défile devant ses yeux. C'est le chant de l'exil, de l'intégration. Ils gueulent tout le temps, là-dedans. En yiddish, en anglais, en italien. Tout y est très décrit, le moindre claquement de doigts est mentionné dans les didascalies. C'est prévisible, c'est romancé... Mais au moins on voyage dans les époques et dans les communautés, sans filtre, sans non-dit.

"Lomir lebn un lachn! Puissions-nous vivre et rire!"

"EDDIE. Directement du producteur... (il verse) au consommateur!"

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Emprunt/Rendu

8/10. Un vieux papa malade, sa grande fille adorée et un inconnu un peu ingénu. C'est l'histoire d'un papa qui veut confier sa fille à un gars bien. Ils vont se rencontrer, se raconter, s'essayer. Benchetrit nous livre ici une pièce douce, singulière, spontanée et intime. J'ai été émue en lisant. C'était beau...

"MICHELLE. Vous aussi, vous me plaisez bien... C'est pas le... gros coup de foudre mais... c'est une bonne averse.
VINCENT. Ben moi, c'est plutôt une pluie battante.
CHARLES. Excusez-moi d'interrompre votre bulletin météo, mais sans vouloir vous décevoir, y en a un paquet de types à qui elle pourrait plaire, ma fille."

"MICHELLE. (à Vincent). Mais qu'est-ce que vous avez fabriqué pour le séduire comme ça?
VINCENT. Ben, on était en train de souffler sur nos cafés et il avait l'air triste... Alors je lui ai dit : Vous avez l'air triste... Il m'a dit : J'ai peur de la voir partir... Alors je lui ai dit : Moi, j'ai peur de la voir arriver. C'est à ce moment-là, je crois, que je l'ai séduit."

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Emprunt / Rendu

8/10. J'aime beaucoup Denis Podalydès, et ce de plus en plus. Sa plume est délicieuse, délicate et élégante. Il faut dire que je me suis plutôt bien régalée avec son roman. Podalydès raconte, derrière le filtre d'un certain Matthieu, son premier tournage en Grèce. Ses espérances, son deuil d'une précédente relation tumultueuse, sa découverte du milieu-poison qu'est celui du cinéma, son apprentissage du grec, ses moments de solitude ou trop accompagné, le passage de son permis de conduire, la nervosité, ses rêveries fréquentes, ce tournage si bordélique, ses petites victoires... J'ai souri, j'ai été touchée. Je me suis beaucoup identifiée à ce Matthieu. Ses réactions sont celles que j'aurai pu aussi avoir.

Détail très malin : attacher à la majorité des nombreux personnages des surnoms liés au moment présent et à la personnalité. Juan le Toujours Plus Obscur, Yorgos le nerveux, la Sage Angeliki, Michalis à la Triste Figure, le Divin Stelios, Themis la superbe, Marianne la Lointaine. Ainsi, on ne s'y perd pas.

Détail un peu ennuyeux : trop de Rabelais tue Rabelais. Trop de passages copié/collé de Rabelais. Mais mention spéciale aux synonymes du coït selon Rabelais : faribouller, vezinemasser, biscoter, sabouer, baudouiner.

Je pense que je vais l'acheter, peut-être. J'aimerais le relire sans être pressée par une date de restitution à la bibli. Tout décortiquer. Imaginer. Voyager encore. Profiter de l'humour pudiquement caché de l'auteur. J'aimerais lire son "Voix Off" aussi.

Bravo Denis.

"Je me souviens d'une phrase de Rabelais qui me plaisait beaucoup, dit soudain Machialis, et que j'ai retenue : "je suis tant amoureux de vous que je ne sais plus ni pisser ni fienter." Je trouvais ça très beau."

"- Please, do you know where is the boat to Greece?
- Tatoué froissé et tout cas platement pardou.
- Perdu, Themis, perduuuu!!! Toi tu es français et tu es complètement perduuuuuuu! Recommencez.
- Please do you know where is the boat to Greece?
- Toutou fraises, fraçais, cataplatamant perduuuu."

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Emprunt / Rendu

3/10. Monologue (est-ce un monologue?) pas désagréable qui se veut faire une apologie légère du rire quotidien. Et contre toute attente, cette courte pièce (à peine 40 pages) n'est pas vraiment très drôle. C'est juste malin, et c'est déjà pas mal. Si Philippe Avron avait continué sur les pas de la première partie "Début", ça aurait davantage pris pour moi. (Apparenter les commérages et politesses de quartier avec les abeilles -antennes, buccales, pollen, corbeilles à pollen-, c'est tout de même génial).

"Je vais vous en dire encore une [histoire] : c'est un père de famille qui demande à sa petite fille qui a huit ans. "Qu'est-ce que tu veux pour Noël?" et la petite fille dit : "Je veux la pilule, parce que j'en ai marre d'avoir des poupées."

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Emprunt / rendu

3/10. Buvons de l'alcool au réveil et fumons des cigarettes à foison et écoutons de la bonne musique et baisons les femmes car elles ne servent qu'à ça et galérons niveau argent et mettons nos vies en péril. C'est ça la beat generation. De manière générale, j'aurais dû accrocher. La mayonnaise Kerouac manquait clairement de substance.

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Emprunt / Rendu

2/10. Interminable, malsain, dangereux, insensé.

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Emprunt / Rendu

5/10. Je ne sais pas. Je me suis sentie mal à l'aise dès les premiers mots, avant même qu'on découvre toute cette histoire de viol/inceste père-fille. C'est fort, c'est gênant. Je n'ai pas réussi à m'attacher à Agnès... Mais mon empathie de jeune femme en a pris un coup.

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Emprunt / rendu / à acheter

9/10. Aaaah, le voilà ce théâtre. Ce théâtre que j'aime tout particulièrement. Simple, très malin, touchant. Les phrases (très) bien tournées, des personnages attachants qui se complètent, un humour ni lourd ni gras. C'est même trop court d'ailleurs (35 pages). Rien d'autre à dire, cette lecture fut délicieuse.

"ELLE. En même temps, un garçon à manches longues, c'est typiquement le genre à n'avoir eu que des chats.

LUI. J'ai rencontré Alice il y a deux semaines dans la cuisine de chez Maud. Une soirée. Le genre de soirée où les invités entassent leurs manteaux sur le lit de la chambre. En général, on paume une écharpe à laquelle on tenait. Et Maud, le genre de fille qu'on vient aider dans la cuisine, le genre de fille qui répond qu'il n'y a plus que les toasts à faire. Voilà, il se trouve qu'à ce moment-là nous étions deux à envahir inutilement la cuisine, deux à n'avoir plus que les toasts à faire, deux à envisager d'aller récupérer assez rapidement les manteaux dans la chambre.
J'ai rencontré Alice il y a deux semaines en tartinant du tarama."

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Emprunt / rendu / à acheter

8/10. Très bien écrit, raconté, formulé. Plutôt unique. C'est comme si mon vagin était parti en colonie de vacances de vagins à la mer. Ne cherchez pas plus loin que cette image. Ce livre apaise à l'intérieur et on apprend des choses aussi.
Je pense l'acheter. Je pense l'offrir à mes copines possédant un vagin ou copains qui aiment les vagins.

"Si votre vagin était habillé, que porterait-il?
Un béret, un blouson de cuir, des bas de soie, un vison, un boa rose, un smoking d'homme, un jean, un truc moulant, des émeraudes, une robe du soir, des sequins, que de l'Armani, un tutu, de la lingerie transparente, une robe de bal en taffetas, un truc lavable en machine, un loup, un pyjama en velours violet, de l'angora, un noeud papillon rouge, de l'hermine et des perles, un grand chapeau à fleurs, un chapeau en léopard, un kimono en soie, un pantalon de survêtement, un tatouage, un appareil à décharges électriques pour chasser les étrangers, des talons aiguilles, de la dentelle et des rangers, des fruits, des fleurs et des plumes roses, du coton, un tablier, un bikini, un imperméable."

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Rendu sans l'avoir lu.

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Emprunt / Rendu

Sortie de théâtre, un soir de pluie : 5/10. L'auteur retranscrit plusieurs morceaux de conversations volés à la sortie de sa propre pièce "Maman revient pauvre orphelin" jouée au Vieux-Colombier par les acteurs du Français. C'est plaisant. C'est secret, presque intime. Ambiance de commentaires pseudo-bourgeois. C'est pas une pièce, juste des phrases. La forme est donc un peu comme... une BD. Étrange.

Une vie de "On" : 1/10. C'était quoi? J'ai rien compris. Ai-je au moins voulu chercher à comprendre?

Un nouveau Job : 2/10. Job, c'est le mec malade ou un emploi? Ou les deux? Rien compris, encore une fois. Décidément. Grumberg me fait plus conne que je ne le suis. En revanche, l'ange avait un côté "je fais mon boulot et ça m'emmerde profond" que j'aimais bien. (Oh et puis le gag du mec sourd qui entend tout de travers, on repassera quand ça sera redevenu intéressant...)

Bon Saint-Etienne, priez pour nous... : 5/10. L'acte 1 fut touchant. La relation entre l'actrice et le boucher, puis avec le flic qui se rajoute à leur dialogue. La suite est tout à fait incohérente, mais c'est justifié par Grumberg dans l'épilogue, comme quoi "son machin est moins illogique ou incohérent que la politique qui consiste à supprimer sans cesse des emplois pour faire diminuer le chômage. dans un pays où tout va cul par-dessus tête, il est bon que le théâtre aille de même." Ca sentait la morale et la cause politique à 300km. Dommage, la pièce commençait vraiment bien.

Mystère de Noël et du jour de l'an : 3/10. L'accouchement de la vierge Marie version Saint Sylvestre année 2000, Joseph qui fume la pipe, hôtel cinq étoiles, hélicoptère, césarienne par un médecin ivre. Bon.

Moyenne du recueil de Grumberg : 3,2/10. Ouille. Grumberg, tu m'as déjà davantage amusée.

"LA FILLE. Au cours, j'ai travaillé Molière, Sénèque, Racine, Corneille, Marivaux, Shakespeare, Hugo, Tchekhov, Feydeau, Labiche, Brecht, Tourgueniev, Bond, Pinter, Lessing, Kleist, Gogol, Beaumarchais, Claudel, j'ai peur de ne pas être à la hauteur en bonne sœur dans une pub ou une sitcom..."
Bon Saint-Etienne, priez pour nous

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Rendu sans l'avoir lu.

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Rendu sans l'avoir lu.

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Rendu sans l'avoir lu.

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3/10. Ben... pfff. L'absurde de Pirandello ne m'allait déjà pas au théâtre dans "Les géants de la montagne", et ne me vont toujours pas en lecture. La sombréitude dégagée par l'auteur me paraît trop inaccessible. Ou alors il faudrait que je prenne le temps de bien m'en imprégner au lieu de lire comme un TGV.

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Rendu sans avoir tout lu, à mon grand regret.

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Offert par môman //

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Rendu sans l'avoir lu.

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Emprunt

6/10. Plongée sans oxygène dans l'océan Shirley Goldfarb. Artiste qui m'était méconnue, elle aimait s'incruster dans les soirées huppées du "monde de l'art", passer du temps à la brasserie Lipp, tout remettre en question. Elle peignait des petits carrés à l'aide d'un couteau. Elle aime son chien Sardi, son mari Grégory. J'ai bien aimé ce long monologue tiré de son carnet secret. Pas assez intime à mon goût. Ça ne va pas assez loin. A force de se dénigrer, le lecteur n'en peut plus. J'aurais tout de même adoré voir Judith Magre la jouer.

"5 mars
Ceux qui tapent du bout des doigts sur les tables de café enregistrent en morse leur ennui."

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Rendu sans l'avoir lu...

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Achat // 8/10

Lecture de vacances, été 2016. Grande admiratrice du film portant le même nom, je me suis trouvée surprise des écrits originaux. L'histoire paraît différente, l'angle du récit n'a pas les mêmes priorités. Malgré tout, je l'ai dévoré en moins de temps qu'il n'en faut pour le dire. Oskar est émouvant, malin, mature si vite. Les personnages sont d'une beauté rare. Je peux cependant reprocher la lenteur de certains chapitres, ou même la mise en page qui parfois laisse à désirer car parti pris. De manière générale, JS Foer est un écrivain très fin et inventif. Si quelqu'un a des suggestions sur ses écrits...