Les Schtroumpfs, classés par ordre de sortie

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Le premier, l'unique. Une histoire sordide de schtroumpfs morts vivants qui mordent et contaminent par la salive. Sorti avant La nuit des morts vivants de Romero, ce qui en soit est incroyable.

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Une critique du fascisme et du populisme, de la démagogie qui peut vite amener vers quelque chose qui dégénère. Un bon album.

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Beaucoup d'affection pour la schtroumpfette, bien que ce soit clairement un tome avec des relents de sexisme... Alors je sais que le sexisme se justifie dans l'univers ( elle n'est qu'une création un peu ratée de Gargamel ) mais quand même, merde quoi.
Heureusement, la schtroumpfette devient un personnage mieux construit dans les tomes suivants.

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La version schtroumpfs de la patte de singe. Un tome incroyablement énergique.

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On ne peut pas pardonner à tout le monde... Mais parfois, la punition que l'on reçoit pour son comportement nous permet de grandir et de dépasser nos défauts, pour devenir quelqu'un de meilleur. La morale dans ces BD est toujours bien construite, merci M. Peyo !

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Mwé. L'histoire est créative mais ça n'a pas l'étincelle des autres tomes. Le Schtroumpfeur de pluie est pas trop mal, bien que trop court.

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Il ne faut pas courir quand l'on ne sait pas encore marcher.

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Hm. Trop classique à mon goût dans sa construction. De petites histoires et quelques gags.

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Qui veut une critique acerbe du système politique ? Pas cher, pas cher !

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Le rythme et l'inventivité de l'histoire sauve ce tome assez classique.

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Ah merde, un de mes préférés. Qui aurait cru qu'on pourrait faire du développement de personnage aussi poussé chez les schtroumpfs ? Cela parle de dopage et de l'esprit de compétition sans trop en faire.

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C'est mièvre, mais pas trop mal écrit... Allez, tome suivant.

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Un des pires tomes, et c'est bien dommage : Peyo a clairement tenté de distinguer certains schtroumpfs du reste de la masse. La schtroumpfette n'est plus seule depuis ce tome, avec Sasette qui malheureusement n'apparaitra que dans les histoires courtes.

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Encore de petites histoires mais un meilleur rythme cette fois.

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Version alternative du Cosmoschtroumpf. Mieux écrite que son prédécesseur, mais moins originale.

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Critique acerbe du système capitaliste. S'il fallait lire un seul tome, alors je propose celui-ci. Le dernier tome écrit par Peyo..... :'(

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On sort des sentiers battus. Une histoire plus classique, qui revient presque au style de Johan et Pirlouit.

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Critique un peu maladroite sur le système de santé et la médecine. On a perdu la plume de Peyo mais le sujet reste bien traité.

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Non.

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L'expo-dump aux deux-tiers et le thème déjà vu dans les schtroumpfs noirs... Bof. Passez votre chemin.

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Rien à redire sur le dessin, bien que certaines cases auraient pu être mieux agencées au niveau mise en scène. Par contre, l'histoire est vraiment mal traitée. Sur le même sujet, "Caroline et le Robot" fait mieux en 1986, soit 16 ans avant...

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Ce tome n'est pas mauvais mais l'histoire zig-zague beaucoup trop à mon gout. L'apparition de Gargamel n'est pas justifiée et l'histoire se serait suffit à elle-même en huis-clôt dans le village.

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Rythme homogène et thème bien traité. Je ne suis pas un fan de Borecki mais ce tome est une réussite.

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X_x Merci pour cette lecture des plus ininteressante.

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Les couvertures deviennent laides. Pire que Salade de schtroumpfs, ce qui est un exploit.
Le personnage de Jenty est exceptionnellement médiocre.

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Ce n'est pas écrit par Peyo mais cela aurait pu l'être.

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Urg. Cet album ne raconte rien, c'est l'équivalent de l'homéopathie en bande dessinée.

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Bon thème mais rythme batard. La construction du scénario est à l'image des dessins : un peu chaotique. Et puis c'est quoi cette couverture ? Le cadre est dégueu.

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Faible. Ecrit comme un conte, cette histoire traite des superstitions et du concept de chance. Malheureusement, ce théme n'est que peu traité, préférant attribuer du temps et de l'écriture au voyage des schtroumpfs, ce qui offre une aventure peu originale et peu interessante. Suite à la destruction de l'arbre d'or, symbole de la prospérité du village, les schtroumpfs se lancent à la recherche d'un arbre qui pourrait le remplacer.

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Le theme est interessant, le traitement n'est pas trop mal. Il y a probablement une petite faiblesse dans les dialogues mais rien n'est parfait.
Cela parle du totalitarisme, de l'interet d'avoir une police dans un pays, de la frustration d'être invisible au sein d'une communauté et de tout un tas d'autres choses qui valent la peine que l'on s'y penche.