les meilleurs films de Melville

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troisième et dernier épisode de la trilogie de l'occupation . c'est son chef d'œuvre (tout confondu) et probablement le plus personnel dans le rôle ou lui même il a jouer du temps ou il était résistant

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trop fort voire plus fort que le roman de Giovanni.

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"Salignari était mon ami..."

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de tout les films qui s'en sont inspiré, la plus proche est l'œuvre de Jarmusch (Ghost Dog). et j'allais oublié, la présence divine de la regretté Cathy Rosier, mon idéale féminine.

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le film est fort certes mais pas aussi balèze que la bande son que lui consacre Eric Demarsan et qui nous refait une autre ost de John Lewis (sous la volonté de Melville ) et qui s'intitulait Odds Against Tomorrow-Robert Wise (film qui avait marqué à tout jamais Melville)

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premier( d'une longue saga) polar du metteur en scène. ce personnage qu'interprètera Roger Duchesne on le retrouvera à travers(de porc) Regianni et Belmondo (Le Doulos, mais plus Regianni que Belmondo),Ventura (Le Deuxième Souffle), Delon (Le Samouraï) ,re-Delon (Le Cercle Rouge) et le Colonel Trautman..euh..Richard Crenna (Un Flic)

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Bernard Stora (comme beaucoup d'autres que je vais cité) aura la mauvaise idée (mais on va mettre ça sur le compte du groupe TF1) en 2001 d'en faire un remake sous forme de Téléfilm (en deux parties si j'ai bon souvenir) avec pour rôle Belmondo dans celui de Charles Vanel et Naceri dans celui de Belmondo . assez cocasse non. que nenni(Kravitz). ça tombe à plat. et ce fut ma dernière erreur de voir des réadaptations de Melville après The Good Thief-2003 de Neil Jordan avec Nick Nolte dans l'interprétation de Bob le Flambeur. inutile de vous dire que j'ai passé mon tour avec Le Silence de la Mer-2004 par Pierre Boutron, Le Deuxième Souffle-2007 du regretté (et pas la moitié d'un manchot pourtant) Alain Corneau(Police Python 357"mon préféré" ,La Menace, Le Choix des Armes et au passage une petite trilogie avec Montand), mais le pompon reviens (Hervé Villard ou John Rambo, chacun ses références) à Nicolas Boukhrief avec sa "La Confession"-2016, qui nous assure les yeux dans yeux (comme Cahuzac, pas l'eau Jérôme de son prénom), que La Confession n'est pas un remake de Leon Morin Prêtre -1961 mais la fidèle adaptation du roman (basé sur une histoire vrai). oui et précédemment, un certain Christophe Gans nous avait déjà fait le coup avec sa fidèle adaptation de La Belle et la Bête-2014. lard euh non l'art de jouer avec les maux..(passants)... les mots.

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premier épisode (et aussi premier long métrage)de la trilogie de l'occupation

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deuxième épisode de la trilogie de l'occupation.

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et hélas ce sera son dernier film. ça se laisse voir sans atteindre sa saga du film noir qu'il avait commencer en 1956 avec Bob le Flambeur

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au début, je croyais avoir à faire à un documentaire, puis forcer de constater qu'il s'agit bien d'un polar avec l'interprétation de l'intéressé. alors qu'est-ce qui cloche dans ce film ?dure d'enchainer sur un second polar après l'intense Bob Le Flambeur.et preuve en est, il mettra quatre ans à enchainer sur son sixième film(Le Doulos).

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un second film plutôt sous la directive de son auteur Jean Cocteau, et tout grand artiste, poète, écrivain qu'il fut, ces Enfants là ne sont pas si Terribles.