Les meilleures séries de 2023

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La série de Jesse Amstrong est plus passionnante que jamais avec sa saison 4. Un épisode 3 qui décante énormément de choses, écriture supérieure et interprétation sans faille. C'était la dernière grande série actuelle depuis l'arrêt de Better Call saul.

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Quand des monuments du rire de malaise, de la stature des frères Safdie et de Nathan Fielder s'associent, on peut s'attendre à un maitre étalon du genre qui fait passer The Office pour Friends. Un couple de bobos se met en tête de réhabiliter un quartier défavorisé latino pour mieux vendre ses barraques écologiques et sa téléréalité de merde, ça donne The Curse. La série la plus génialement singulière de 2023.

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Réalisation soignée et casting impérial pour cette mini série inspirée d'une histoire vraie bien anglaise. On est plus proche de JP Melville que de G. Ritchie.

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Incroyable surprise. J'en attendais rien, comme le bandeau Netflix pouvait le laisser supposer. Et je m'incline devant la qualité d'écriture et l'interprétation. Des personnages bien construits, pas de messages politiquement correctement lourdingues, comme quoi, quand Netflix le veut...

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Malgré un arc narratif familial autour de Lindon qui ne demande qu'à être sabré à la machette, la série de Giannoli est une réussite. Ramzy dans le rôle de sa vie et même Schneider s'en sort bien, c'est dire si c'est bien filmé. L'histoire est suffisamment folle pour se suffire à elle même. Les appels à l'aide de la fille junky sont au final bien dispensables.

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Troisième saison réussie pour ce bon vieux John, on espère qu'il en fera 15.

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Lente et maîtrisée. Esterno Notte est fascinant. Ca ne plaira pas à tout le monde mais c'est la meilleure série italienne depuis le début de Gomorra dans un style diamétralement opposé.

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Oui NWR à l'égo d'Ibrahimovic, une filmo plus qu'inégale et une esthétique de pub Balenciaga, mais C.C à un charme exotique. Malsain, porté par une héroïne charismatique et hébétée entre Bruce Lee et Will de Stranger Things. Une série à la lenteur hypnotique dont il est pourtant difficile de décrocher.

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Sans prétention mais pas sans qualités. Petit conte horrifico sataniste en startup. Plutôt une réussite inattendue pour Prime.

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Une fin un peu inégale pour la formidable série de Billou. Plus sombre qu'au début, Barry tente de se mesurer à Breaking bad, on salue l'effort mais ça reste un combat perdu d'avance.

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Winning Time est bourrés de défauts narratifs et de fausses audaces visuelles, mais comme souvent grâce aux récits autour du sport on est tenu en haleine. Larry Bird prend plus de place et c'est un sacré personnage de la saison 2.

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cf chronique

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Toujours aussi productifs, mais un peu moins géniaux. La production de ce duo mérite toujours le coup d'oeil même si certains épisodes montrent des signes d'essouflements.

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Adaptation d'un fait divers curieusement très prisé aux US (Jessica biel a joué dans une série sur le même truc y a un an), la sœur Olsen avec ses grands yeux de Furby a une large palette d'actrice. Mais on se demande bien ce qu'elles trouvent toutes à"Meth Damon".

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Retour après une très longue pause, Fargo continue de miser sur ses points forts : un cast supérieur et une mise en scène inspirée. Cette année JJ Leigh, Juno Temple et J. Hamm répondent aux attentes. Baisse de niveau spectaculaire dans la seconde partie de saison.

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Porté par un premier épisode ébouriffant nous faisant espérer le meilleur, il faut avouer que le résultat est une mini déception. Un lièvre gigantesque soulevé par deux bras cassés très sympathiques qui se heurtent à leurs limites. Il en ressort que Patrick J Pespas est un brave gars, que les syndicats de flics sont des verrues et que le télé marchage téléphonique un cancer. On connaissait déjà deux trucs sur trois.

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Un gentil Colombo actualisé. Beau casting, l'équivalent d'un épisode de la croisière s'amuse dans les années 70. On conseille à Natasha de faire un max de dépistages possibles (d'à peu près tout).

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7 saisons déjà et la série d'Harmon souffre encore et toujours d'une énorme inconstance. Les excellents épisodes (mater n'est pas jouer) étant minoritaires et les médiocres trop fréquents (air force wong, le soulevement des numericons...).

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C'est une certaine déception cette saison 2. Ce qui faisait le charme de la série est tellement exagéré qu'on baille plus d'une fois (surtout en première partie de saison). Quelques scènes dans les ultimes épisodes redonnent un peu de tonus, mais le résultat inquiète un peu. Une bonne saison et c'est tout ?

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Un petit côté Requiem for the dream, quelques scènes lourdingues du coup, manifestement inspiré de Dopesick.

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Idée géniale, ambiance sympathique, mais je n'arrive pas à m'enlever de la tête ce curieux sentiment qui me fait dire que le type est au courant de la supercherie et qu'il joue le jeu jusqu'à la fin pour pas mettre la production en galère (jurisprudence Pascal Legitimus à Surprise sur prise).

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Forcément un peu déçu du résultat final au regard des espérances nées du premier épisode. Peu de tensions au final, beaucoup de flashbacks et sujets sociétaux trop appuyés alors qu'on est dans un survivor. Dommage, les acteurs sont excellents.

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Petite série australienne qui commence bien, mais qui peut aider à trouver le sommeil dans la seconde partie de la saison. Elle souffre, de plus, d'une trop grande prévisibilité et de personnages stéréotypés.

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Une première saison avec de bonnes idées d'anticipation et puis une dégringolade constante sur les saisons suivantes. N'ayant plus d'idée intéressante pour parler de notre futur proche et de l'importance grandissante de l'A.I, les showrunnners se contentent de nous servir des heures interminables autour de ce quadrille amoureux bien mièvre. Uniquement pour les fans de Jim & Pam, qui sont malheureusement les plus nombreux....

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Un survivor surnaturel qui fait déjà du sur place en saison 2. Pas vraiment subversif, ni réellement féministe (lYellowjackets se limite à un casting à 80% féminin et à une B.O du même ordre). On est 5 niveaux en dessous de Lost niveau écriture.

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L. Stanfield me fait regarder n'importe quoi. Toujours se méfier des acteurs qu'on aime bien. Car cette histoire de sorcière est plus vide que les couilles d'un acteur porno après une journée de 7h. La mère de Malcolm a pris un coup de vieux, mais elle est crédible dans le rôle (... à la tête d'une bande de sorcières qui vivent en autarcie).

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Retour de Britt Marling lourdée par Netflix et récupérée par Disney (une certaine logique au regard du dernier South Park), Un meurtre au bout du monde est un sous Agatha Christie avec une "Sherlock Holmes millenial", comprenez par là une meuf pas spécialement intelligente mais qui sait se servir des A.I et hacker deux trois systèmes de surveillance. Elle se trouve coincée le temps d'un we chez un hôte chelou (Clive Owen une sorte d'Elon Musk avec le look de Julien Courbet). Un minimum accrocheur au début et tourne vite au show conventionnel (suspicion, rebondissement qui font bailler...). Cela ne prend pas le chemin du chef d'œuvre impérissable.

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Silo & Mrs Davis, deux séries identiques dans le fond : une héroïne bardée de qualités s'efforce de dévoiler un complot d'une complexité folle (chapoté par l'IA pour Mrs Davis et une bureaucratie non identifiée pour le restant d'humanité dans Silo). Dans les deux cas on baille devant ces portraits ultra convenus d'héroïnes droites, fortes et sans le moindre défaut, un nouveau stéréotype des années 2020. L'équivalent des flics enquêteur mascus des années 80 (Rick Hunter, Matt Houston, l'Homme qui tombe à pic).

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Silo & Mrs Davis, deux séries identiques dans le fond : une héroïne bardée de qualités s'efforce de déchirer le voile d'un complot, d'une complexité folle, qui aveugle une société toute entière (chapoté par l'IA pour Mrs Davis et une bureaucratie non identifiée pour le restant d'humanité dans Silo). Dans les deux cas on baille devant ces portraits ultra convenus d'héroïnes droites , fortes et sans défauts, un nouveau stéréotype des années 2020. L'équivalent des flics enquêteurs mascus des années 80 (Rick Hunter, Matt Houston, l'Homme qui tombe à pic....).