Les films qui m'ont fait pleurer

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Sûrement le film qui m’a fait le plus pleurer au monde. Et j’en pleure encore. Que ce soit quand E.T. tombe malade, quand la fleur liée à lui fâne, quand il MEURT, ou bien juste quand il quitte Eliott à la fin, je chiale tout le temps. Ajoutez à cela le jeu d’acteur incroyable des enfants et la musique de John Williams, et on obtient le meilleur cocktail pour faire pleurer les enfants.

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J’avais 5 ans, et la scène de la mort de Mozart m’a fait fondre en larmes. Je sais pas pourquoi. Aujourd’hui je peux revoir cette scène sans problème, mais je me demande quand même pourquoj mes parents me laissaient voir ce film à cet âge. Et Sixième Sens aussi (putain de traumatisme).

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Comme tout le monde, j’ai pleuré à la fin quand le Géant se sacrifie, et j’ai bondi de joie lorsque j’ai vu qu’il avait survécu. Aujourd’hui j’arrive à contenir mes larmes, mais c’est dur.

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Et oui, même devant un film unanimement consideré comme mauvais, j’ai été ému. Mais j’ai grandi avec les films Spider-Man. Je me suis attaché à ces personnages si humains. Donc lorsque j’ai vu la scène où Peter pardonne Flint Marko puis ensuite, celle de la mort de Harry, j’ai pleuré. Tout simplement.
Aujourd’hui ça va.

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Là c’est plutôt spécial car lors de mon premier visionnage, je n’ai pas été particulièrement touché par le film. Mais après l’avoir vu plusieurs fois, j’ai commencé à devenir de plus en plus sensible à l’histoire contée, notamment la fin de l’histoire. Maintenant, le simple fait d’écouter la musique du film arrive à me faire pleurer.

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Vu assez tardivement, je ne m’attendais pas vraiment à être touché devant ce film. Et pourtant, devant la scène où Yolandi raconte l’histoire du mouton noir à Chappie et lui dit pourquoi elle l’aime, j’ai pleuré. Sûrement à cause de la pureté du moment, et le visage de Chappie qui comprend qu’il est aimé. Comme quoi, il m’en faut peu.

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Première (et unique) fois où j’ai pleuré dans une salle de cinéma. Lorsque Salvador parle avec sa mère hospitalisée, qu’il s’excuse de ne pas être le fils qu’elle désirait, j’ai craqué. La sincérité du moment, son côté universel, cette discussion qu’on a tous eu ou qu’on aimerait avoir...
Bien joué Almodovar.

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Tellement de scènes qui m’ont fait pleurer et qui me font encore pleurer. Le début, évidemment, avec ce montage montrant la vie de Carl et Ellie, et qui se termine par la mort de celle-ci. Mais aussi le moment où Carl a enfin installé sa maison sur au sommet des chutes du Paradis, mais se rend compte de sa solitude. Ou bien lorsqu’il découvre le message d’Ellie qu’il n’avait jamais lu, l’invitant à ne pas s’enfermer dans le passé et à aller de l’avant.
Bordel, ce film est beau.

Annotation :

Comme beaucoup, la fin m'a fait pleurer toutes les larmes de mon corps. Mais le film est rempli de plein de scènes toutes aussi dures et touchantes. Et ça aide pas quand tous les acteurs du film jouent à la perfection. Rien que voir le visage de Michael Clarke Duncan donne envie de chialer.