Les albums où je (dé)bloque

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Inécoutable, l'enfer pour moi

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Trop glauque

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Le bateau tangue avec cette voix qui dégueule. Je ne peux pas. Dommage car la musique est bien foutue

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Je ne dois pas avoir les clés, mais je m'emmerde tout de même.

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C'est une musique que je ne comprends pas. Je ne sais pas où ils veulent en venir. Et je me demande aussi ce que fout Tony Levin dans ce truc.

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Le pire du prog pour moi, c'est ELP

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Bon, tu prends le pire de Yes, de ELP, et de n'importe quel groupe de jazz-rock fusion, et tu te concentres sur la double-croche, ou la triple, et t'y vas à fond. Cela me rappelle aussi les albums de guitaristes solistes genre Satriani ou Vaï, genre qui m'horripilait.
Une musique qui m'écœure vraiment

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C'est l'album que je choisirai si je veux torturer quelqu'un.
Alors Bach, ok, il n'y a rien à redire, mais je n'y trouve pas mon compte. Le choix des sons est horripilante. Je pense que le problème vient du fait que Wendy veut "imiter" les instruments d'origine. C'était un peu la tendance à l'époque de vouloir démontrer que le synthé pouvait copier des sons d'instruments. Mais si tu veux de la musique électronique, ce n'est pas par là qu'il va falloir commencer...
Le seul moment où Wendy se lache, c'est avec les Concerto Brandebourgeois. Il commence à y avoir plus de sons intéressants.
Mais non, au final, ce disque est pour moi un calvaire.

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Soit disant un super-groupe, mais avec en fait les deux anciens membres de King Crimson, Bruford et Wetton.
Alan Holdsworth est un guitariste jazz-fusion qui n'a rien d'un super-groupe, et qui n'a pas vraiment la culture de la pop, et Eddie Jobson avait joué avec Curved Air, Zappa, Roxy Music, et on a réussi à éviter Yes, ouf !
A mon oreille, cela ressemble à un prototype de Asia, avec des structures plus complexes, et des parties synthé assez imbuvables.
Pour moi, U.K. n'est pas équipé pour écrire de bonnes chansons.

Passé le dyptique "In the dead of the night / by the light of day", cela se gate avec "presto vivace", sorte de solo pourri en mode jazz rock. C'est inécoutable, pour finir par la reprise de leur tube "In the dead of the night". L'assemblage me remue l'estomac, une envie de dégueuler, et de gueuler au clavier "mais tu vas arrêter !"

Avec "Thirty years", on les a perdu. Noyé dans les synthés, Wetton entonne un truc super lointain. Ne me demande pas comment est foutu la structure de ce morceau, on dirait que c'est improvisé. Puis vient le moment jazz-rock, c'est l'horreur, des synthés à la guitare. Puis la voix revient. On dirait un patchwork d'idées, rien ne tient.
Je passe "Alaska" où on croirait une resucée du pire, c'est-à-dire ELP.
"Time to kill" s'enchaine, cela ne ressemble à rien, pitié, avec Wetton qui martèle comme du Asia déjà à la basse. Le refrain est insupportable. Moi le jazz-rock de ce type avec le violon qui dégueule, ça me donne des boutons.
"Nevermore" n'est pas à faire. Le guitariste est ses différents modes, j'ai envie de lui péter les doigts, et ceux du clavier aussi.
"Mental medication" s'engouffre dans le jazz-rock le plus écœurant, et tu peux oublier toute idée de chanson.

Cet album est un enfer

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Même punition pour cet album de Andy Summer (New Order) et Johnny Marr (The Smith), une production dance années 90, ce qu'il y a de pire.
Cela ressemble plus à un album de New Order quand même, même genre que "Technique", l'horreur totale.

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Même truc

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La voix

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Chansons typique populaire anglaise, dans un mode comédie musicale. Beurk