Lectures 2024

Annotation :

Un bon roman policier. On sent que l'auteur sait de quoi il parle. Par contre, on est rarement dans le doute puisque l'on suit les différents camps en parallèle. Plutôt un roman d'action qu'une réelle enquête où l'on est tenu en haleine par les révélations.

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Même si tout n'est pas parfait, certains passages méritent à eux seuls de lire le ce recueil de poésie, présenté sous une forme originale.

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Rien de marquant pour ma part. le texte n'est pas exceptionnel. Michalik ne ment pas, il raconte une histoire mais... sans plus. Sur scène c'est probablement plus intéressant avec une multitude d'enchainements.

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Faux départ. Les personnages sont caricaturaux au possible, les surprises inexistantes, l'univers incohérent et l'écriture tout à fait convenue. Ça ne me donne pas envie de lire la suite.

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L'humour british absurde dans toute sa splendeur. Il manque un petit je ne sais quoi pour en faire un coup de cœur.

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Une enquête préhistorique avec la plume bien à lui de l'auteur. Un bon moment mais manquant un peu de consistance.

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Du classique Stefansson, des époques qui se mélangent et se répondent, des dialogues intérieurs et des émotions déposées simplement.
Les thèmes aussi sont récurrents : la solitude, le silence, la musique, la mort, la vie... Surtout la vie

Annotation :

J'ai l'impression d'être passé à côté. Je ne vois pas ce qui ferait de ce livre un classique voire un chef d'oeuvre. Est-ce que ça a juste mal vieilli ?

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Un conte initiatique gentillet mais rien de plus.

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Le dernier tome décevant d'une trilogie décevante. Maniée par Jaworski, la langue est toujours aussi belle mais elle n'est plus au service de l'histoire. Il y a beaucoup de longueurs et peu de passages marquants.
Le 'twist final' n'en est pas un, c'est un désaveu de l'ensemble de la saga.

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Excellente fable, drôle, satirique, acerbe, haute en couleurs. Tout y passe et rien ne résiste : le progrès irréfléchi, l'imposition culturelle des vainqueurs, le repli sur soi, la vie dans un passé révolu, l'utilisation de la 'tradition' comme déni de la modernité, la barbarie, la religion comme justification systématique...
Et très bonne postface qui éclaire la lecture et met des mots sur ce que l'on ressent dans les pages qui la précèdent.

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Rien de révolutionnaire dans les idées mais ça met des mots sur quelque chose qu'on ressent tous (j'imagine) déjà. Et ça fait un peu peur.

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C'est extrêmement dur à lire mais on continue avec une fascination horrifique en imaginant que quelqu'un ait osé écrire ça.
Il y a des qualités quand même : c'est très court et c'est tellement ridicule qu'on rigole bien par moments.
Oui, c'est facile de taper sur un tel livre.

Annotation :

Plus de développement personnel dans un dixième du livre que dans l'ensemble de "l'homme qui voulait être heureux". Et pourtant on parle bien d'un tome 9 de fantasy épique.

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Après tant d'attente créée par les tomes précédents ça n'était pas évident de réussir la fin de cycle. C'est chose faite et bien faite. Voir plus dans mon top fantasy

Annotation :

En lisant les critiques il semblerait que ce soit le contexte de la sortie du livre qui en font un classique. N'étant plus ne 1951, ceci explique cela.
Probablement qu'il aurait fallu le lire en anglais aussi.