La pellicule de mes 25 ans (2023)

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Premier film ou les limites du droit pénal

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Après la journée la plus chère de ma vie, à savoir 1 500 € volés par une habile arnaque, je souhaite que ce film soit le dernier que je vois avant de retourner au cinéma car j'ai très très très très envie.

Ai beaucoup beaucoup beaucoup aimé, et l'ai pourtant choisi uniquement parce que le César de la meilleure actrice pour Virginie.

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Le soir avant de partir à Angers pour mon drag show, mais donc pas vu au cinéma comme je le voulais. Je ne pouvais pas y aller tout seul car je n'ai plus de carte bleue après l'aventure désagréable.

Bah pas tout compris, mais très original ! Un point en plus pour l'audace de la proposition, et dieu les speechs si émouvants Ke Huy Quan lorsqu'il reçoit ses récompenses ! Surpris cependant qu'un tel film soit glorifié à ce point quand le grand public préfère les choses davantage conventionnelles.

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En retard alors peu de souvenirs déjà trois jours après mais dans mes souvenirs : pas bon, très trop long, brasse donc beaucoup de vide. C'est chouette, ce sont plusieurs femmes noires qui sont à la tête du film (le test de Bechdel se porte ici très bien), mais dieu c pas bien beau et l'histoire n'est pas folle du tout, encore moins le dénouement.

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ça y est Val', j'ai pris un abonnement illimité UGC pour trois mois : je suis donc condamné à me noyer dans la programmation des cinémas.

J'ai commencé par Mon Crime parce qu'Arnaud, féru du 7ème art de ma promo, me l'a proposé. Grand grand plaisir de voir un Ozon au cinéma, avec ce défilé de star. J'ai cru honnêtement que le film avait duré 45 minutes tellement j'ai ri et tellement c'était agréable. L'ambiance est dingue, on est dedans dès les premières notes et les premiers plans.

(Son trop fort, et dommage pour les lesbiennes)

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J'ai donc immédiatement rentabilisé mon abonnement en allant voir un second film à la fin de Mon Crime.

Et j'avais teeeeellement envie de voir celui-ci. Je me doutais que c'était ce genre de film sociétal à petit budget, c sûrement ceux-là que je préfère honnêtement. Ces petits films qui passent sur France 3 le jeudi soir et qui sont toujours suivis d'un débat ; là ce sera sur l'analphabétisme des personnes âgées en milieu rural.

Pas toujours bien mis en scène (Tinder), pas toujours bien filmé (les frites et Adrien dans la piscine). Mais très tendre et moi ces scènes finales débordant de bons sentiments, ça ne me touche pas toujours mais là ça fait mouche.

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En retard encore, mais donc à l'UGC à l'autre bout de la ville, à Cité Internationale. Un long trajet, et surtout 6,50€ les Maltesers ptdr : plus jamais j'achète de la bouffe au ciné. Vu en 3D.

Je ne me souvenais pas bien de tout, mais je me suis rendu vite compte que ce n'était pas nécessaire. J'me souviens de ô combien j'étais submergé par la beauté du premier volet et notamment de la scène où Jake découvre Pandora de nuit.
Là encore, force est d'admettre que c diablement beau, et la scène de l'entrée dans l'eau est comparable à celle qui m'avait tant ébloui il y a plus de dix ans au cinéma.
Et l'histoire n'est pas mal, j'ai passé un relativement bon moment. Pour le travail que ça a dû être, j'ai l'impression d'être insultant en mettant ma p'tite note là, c décidément toi qui a raison Val'.

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Après avoir vu au cinéma Les Petites Victoires de la même réalisatrice, j'ai regardé celui-ci chez moi avec presque le même plaisir. Je devais le voir ce soir, mais j'irai plutôt voir Babylon dimanche au cinéma.

Ce métier d'agriculteur.ice me terrifie décidément (raison du départ des poules). Mais je regarde ces petits films français sans budget ni réel cohérence avec un plaisir constant !
Pour prouver le naturel de ce film, j'en veux pour preuve la rédaction des remerciements de la réalisatrice : adorable et sans retouche. Tout est très naturel dans ces films-là !

(J'ai un doute mais j'ose espérer que les animaux n'ont pas été maltraités sur le tournage quand même)

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A l'UGC Cité Internationale en sortant de cette réunion un peu lunaire où les gens de l'école veut retourner dans un bar où certain.e.s ont été agressé.e.s, parce qu'iels ont passé un bon moment. Bon...

C'était terriblement haletant, très rythmé pour un film si long, mais j'ai peur de ne pas m'en souvenir. Il est bourré de références dont je n'ai évidemment pas connaissance de la moitié, et on a l'impression que ça part un peu dans tous les sens. De fait, j'me suis senti noyé parfois.

Finalement j'ai l'impression d'avoir vu un enchaînement de saynètes plutôt qu'un film long. Je me souviendrai de cette scène de descente dans les caves de l'horreur, de celle de la fête avec l'éléphant, de celle du tournage avec huit reprises pour une scène, etc. Mais je ne sais pas je me souviendrai de leur inscription dans ce long-métrage.

Je reste surpris que cela ait été si mal accueilli aux Etats-Unis. Et je ne sais absolument pas pourquoi cela s'appelle Babylon.
Ah et soit l'image était volontairement floue parfois, soit j'ai besoin de lunettes.

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En avant-première au ciné oui monsieur !

Comme pour tout bon Makoto Shinkai, je n'ai rien compris sur la fin et j'ai eu les sanglots de la même manière que pour Your Name et Les Enfants du temps.
Il y avait énormément de monde dans cette salle, et ma légère agoraphobie a détesté tous ces gens qui m'empêchaient de savourer ma séance en individuel.

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A l'UGC de la Cité internationale après avoir proposé aux membres de la commission pénale car il repassait exceptionnellement au ciné mais sans succès.

ça m'a profondément remué mais je ne saurais dire pourquoi, j'ai l'impression que ça ne vient même pas du film, c étrange. En tout cas, je n'avais pas le moins du monde envie d'aller au bar juste après rejoindre les gens de mon école. J'ai même parlé avec un monsieur à la fin du générique dans la salle pour qu'il m'explique lui son ressenti (mais c un vieux monsieur seul qui avait plus besoin de parler de lui que du film je crois). Et pourtant, c en parlant avec mes camarades de promo que j'ai compris que le film était dérangeant.
Il me manque dix minutes car petit sommeil oblige, ça m'a peut-être sorti du film.

Je me rends compte que ce type de film, je veux dire avec autant d'anonymes, ça m'avait manqué. A l'inverse, ça a d'ailleurs perturbé ma lecture du film que j'ai vu le lendemain.

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A l'UGC Part-Dieu avec Arnaud, tandis que l'autre équipe de la classe est parti au Comédia assister à une même projection suivie d'un débat.

Bien remué également, mais la digestion de celui-ci se fait mieux. J'ai eu une légère inquiétude pour la manière dont nous ont été présenté.e.s Miou-Miou, Lellouche et Bekhti. J'ai eu profondément du mal à croire au départ qu'on allait adhérer aux personnages, tant les acteurices ont été posé.e.s là sans contexte.
Régulièrement, les canons à eau des CRS sont venues réapprovisionner mes yeux sans ouvrir complètement les valves. Et l'enchaînement des scènes se faisaient particulièrement bien, à tel point qu'un climat très lourd dans la scène précédente était balayé par une petite blague hilarante dans la scène suivante (couleur de la chemise).
J'aime décidément beaucoup ce style de film chorale et ai hâte de voir Pupille.

Le titre du film est formidablement bien choisi.

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Vu en VF chez moi à un moment où je repense régulièrement à Friso.

C mimi, ça m'a ému. Je me rends compte que la carrière de Julia Roberts me chagrine un peu car elle s'inscrit, comme beaucoup d'entre elles, son nom sur la liste des femmes trop âgées que le cinéma snobe passé un certain âge.
Ce film ne mérite pas sa note, c'est un bonbon rassurant pour beaucoup je pense. Oui à l'improbable !

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Dans la foulée de Coup de foudre à Notting Hill parce que Dimi a fait une grosse sieste étant bourré de la veille.

Hm je serai plus critique sur celui-ci. L'histoire est bien mimi encore, ça respire l'ambiance anglaise que j'aime dans les films avec cet humour si pincé oui. Mais je crois que je l'ai trouvé trop court, trop court pour développer correctement ses trames.
Je ne crois pas à l'amour de Kristen Scott Thomas, je ne crois pas aux larmes pour Simon Callow, je ne crois pas du tout en l'amour de Angie MacDowell qui revient à la fin finalement. Bref, je trouve les sentiments de plusieurs personnages mal amenés.

J'ai bien fait de le voir en VO cette fois, parce que la voix de Hugh Grant est celle de Vincent Cassel : merci mais non merci.

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Premier jour en salle bien sûr, et j'avais peur d'y trouver trop d'enfants : j'ai eu raison d'avoir peur.

Je mets 10 mais la note était bien sûr décidée par avance : c'était soit 10, soit 1 car il n'y a pas de middle à avoir dans cette histoire.
Seul problème de ce film : trop court, une heure trente-deux minutes, alors qu'il aurait dû en faire dix-sept heures et cent-quarante-neuf minutes : c un scandale.
Les musiques de l'univers Mario sont délicieuses. Ajoutées à celles des années 80 type Bonnie Tyler et a-ha, c inattendu, mais tellement bon.

Mordu que je suis, j'y retournerai volontiers le voir en VO quand y aura moins de monde : je hais les gens en-dessous de sept ans.

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Dans sa phase fleur bleue, Dimi renie Good Morning England pour un bol de bons sentiments. Bol qu'il a vomi.

Sérieusement, au secours. Je vais jusqu'à lui mettre deux mais parce que ce film n'est-il pas dangereux ?
- Sur le fait de sortir de la prostitution et d'un milieu précaire de manière générale pour atterrir dans un monde peut-être plus détestable ? Mais peut-on réellement dépeindre le monde des riches en opposition au monde de l'extrême pauvreté comme quelque chose de cent fois mieux ? Il essaye de la faire entrer dans son monde en lui faisant changer son langage, en la travestissant. Mais je refuse qu'on érige le monde de Monsieur en modèle !
- Sur le fait que Madame le largue, lui dit que non ça ne va pas le faire, et que Monsieur entende dans un premier temps, puis revient en Limousine devant sa porte avec des fleurs ? Mais quelle moralité ? Elle dit non, mais en fait les gars, revenez avec vos gros sabots et ça sera oui sans nul doute. De manière très générale, y a une belle dimension sexiste dans tout le film avec les femmes figurantes qui craignent Vivian, et les hommes intéressés. Elle est objectifiée par tout le monde, et à mes yeux, également par le personnage principal qui n'a pas l'air de l'aimer.
- Sur son changement de comportement en tant qu'entrepreneur ? Parce qu'il a rencontré l'amour, il ne désire plus affaiblir des entreprises pour les acheter et les revendre. Non il désire juste être actionnaire majoritaire pour gagner tout autant d'argent. Whoaw les effets de l'amour sur les hommes, qu'est-ce qu'on y croit. C que ça a un p'tit cœur sous ce corps viril en billets verts.

Bref, je sais que c vieux, que ça date de 90, mais je pense que c'était déjà dépassé quand c sorti franchement. Ceci n'a pas grand-chose de romantique à mes yeux.

Je rajoute avec pessimisme ceci : je pense qu'il est possible que toute personne puisse se parler, s'entendre et essayer de se comprendre. Mais je crois qu'il existe un fossé entre des catégories de personnes qui fait qu'il ne sera jamais possible pour celles-ci de se comprendre. Je pense au milieu social des personnes. C'est pour cela que je crois qu'une personne prostituée précaire comme elle et une personne aisée chef d'entreprise comme lui ne peuvent se comprendre et s'aimer après avoir passé aussi peu de temps ensemble.

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A l'UGC Part-Dieu comme si j'avais besoin d'assouvir une pulsion. Une pulsion qui consiste à voir absolument un film romantique. Sensation très bizarre, et j'avais donc les émotions fragiles je pense (faiblesse car phase Friso avec rencontre de ses potes).

Alors je suis généreux parce que honnêtement, c pas très bien joué et réalisé. Mais mazette j'ai chialé à chaudes larmes ma parole, ça m'a ému même si régulièrement je ressortais du film par des scènes où on y croyait pas quoi (retrouvailles des meufs).
Bien la représentation des différentes minorités.
Content de voir un film avec des inconnu.e.s.
Et j'excuse les choses mal faites de ce film parce qu'au vu de la longueur du générique, peu de gens ont apparemment travaillé sur ce film. Mais ça a des airs de téléfilm quand même.

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Un film chez soi depuis longtemps, avec Menel alors que je voulais aller à l'anniversaire de Solenne.

Bon peut-être à revoir parce que vraiment je n'ai pas été bien convaincu. Dire que ce film a été réalisé par le même type que Love Actually, je suis surpris quand même.

La BO est indéniablement incroyable.

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De retour à l'UGC après une bonne pause quand même pardi !

Arnaud a ri à gorge déployé, moi je me suis enfoncé dans mon siège à mesure que le film passait. Sans exagérer, j'ai l'impression d'avoir fait du sport pour la semaine à la fin de la séance tellement j'étais épuisé.
Lorsque le drame nuptial a lieu au bout de plus de deux heures de film, peu après le "déboisement" qui m'a mais terrifié au point que j'ai bondi de mon siège, ça ne m'a rien fait tant plus rien ne pouvait me terrifier plus encore.

ça m'a retourné profondément, je pense que l'effet cinéma y est pour beaucoup. Si j'avais vu Hérédité et Midsommar dans les salles sombres, mon sentiment aurait sûrement été similaire.

Je ne sais plus si tu aimes ce réal' Val, mais si oui, vas le voir au ciné ! N'attends pas qu'il sorte en streaming.

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A l'UGC Part-Dieu un dimanche avec Anaïs pour une séance UGC Culte.

C'est donc visiblement la troisième fois que je le vois, et pourtant je redécouvre dont je ne me souviens pas, des choses fondamentales comme la chronologie des dix premières minutes.
Ravi de l'avoir vu au cinéma sur grand écran, a cru à une blague du machiniste qui me lançait un YouTube en 480p quand j'ai vu l'image, a été agacé par le rire de certain.e.s sur des scènes où j'estimais que ça ne le devrait pas. S'enfonce donc un peu plus dans la volonté de profiter comme une ermite dans les salles sombres.

Oh et je n'avais jamais remarqué que tu es très beau Jim, c marrant. Aucun film ne cherche à te sublimer en réalité donc rien d'étonnant à cela finalement.

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Dire que j'ai failli avoir un poil dans la main pour me sortir du lit et y aller. A l'UGC Astoria pour la première fois dans cette salle, seul. Et ce n'est que lorsque les noms de Bescond et Métayer sont apparus à l'écran que je me suis rappelé pourquoi il fallait absolument que j'y aille. La présence d'Aïssa Maïga a fini de me raviver la mémoire.

Je sors empli d'une grande tristesse.
J'ai peut-être trouvé mon couple de l'année dans ce film avec la tendresse des baisers dès le premier plan entre Yvon et Gigi.
Des films comme celui-ci où des humain.e.s apportent tellement à d'autres humain.e.s me rappellent comment je me sentais après avoir regardé Pride. Si je sais que Pride est inspiré d'une histoire vraie, ma tristesse s'explique peut-être par le fait qu'ici, je sais que cela relève d'une pure fiction.

Je sais qu'il n'aura pas le même résonnement que Les Chatouilles, mais je lui souhaite de toucher le public comme il m'a touché.

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Vu en deux parties parce que visiblement trop épuisé par le rythme.

J'étais pas dedans, et je suis encore fatigué quand j'écris ces mots. A noter aussi que c difficile de se remettre à regarder des films sur ordi, après en avoir enchaîné une quinzaine à l'UGC.
Bref, c pas la période film et ceci en a pâtit.

(Y a aussi le fait que j'ai trouvé ça pô très beau)

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Tb et j'aurais sûrement plus encore aimé si je l'avais vu dans la bonne période des films. Tant pis, je pourrai éventuellement le revoir.

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De retour au cinosh après un mois d'abandon pour cause d'ensevelissement par les cours. A l'UGC Astoria, avec trois personnes mon dieu je n'avais pas fait ça depuis bien longtemps.

Feelm good (lol). Nan plus sérieusement j'ai eu un point de côté parce que je m'arrêtais trop souvent de respirer, et j'ai eu la mâchoire quelque peu contracté tellement je serrais mes dents.

J'reste surpris d'entendre Valérie Donzelli au micro de France Inter dire que ce film ne se veut pas féministe, bah c bien dommage de ne pas lui donner une telle étiquette, ce n'est pas très courageux.
J'avais peur qu'il soit une copie de Mon Roi de Maïwenn, que je hais officiellement désormais du plus profond de mon âme, mais je ne m'en souviens plus bien donc je ne pourrais pas dire.

J'applaudis quand même le fait d'humaniser Grégoire (l'émission dans laquelle il se reconnaît, son reflet dans le miroir). Qu'on ne dise pas que ces personnes sont malades, je pense que cela n'a rien de pathologique.

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Chez moi, au calme après une tempête comme rarement j'en ai vécu. Pour que j'ai l'envie en plus de me refugier dans un truc que j'ai dejà vu plus d'une fois, c vraiment que je n'avais plus envie de penser à rien.

Un vrai delice ce film, mais dieu que ce n'est pas très beau. Mais bon 2006, j'excuse volontiers.

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Dans la suite du précédent.

Immense film, c bô ! Et je t'en veux Val pour tous les mots durs que tu as eus à son égard. Re-regarde et je suis sûr que tu peux changer d'avis, c extrêmement drôle, ça n'a pas du tout mal vieilli !

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Retour au ciné ! Après plus d'un mois ma parole !

Très plaisant ce dessin animé, très très très content de voir un dessin animé au cinéma.
C'est bien parce que tout le monde se dessine la différence qu'il veut sur ce Roméo et Juliette (des homos, des personnes de culture différente, etc.). C'est suffisamment bien imagé pour qu'on y voit ce qu'on veut y voir.

Mais je ne peux m'empêcher de trouver le design des Flamboyants moche ://
Alors que beaucoup de choses à côté du film sont magnifiques comme les plans de présentation de la ville. J'ai bien peur que cela ne vieillisse très mal.

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Revu aujourd'hui par fainéantise de découvrir quelque chose.

Une crise de larmes certainement encore plus forte que lorsque je l'avais vu au cinéma avec ma mère.

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Voir ce spectacle, c'était vraiment ma priorité après mon foisonnement à l'école. Je suis même très en retard à un verre là ce soir pour pouvoir le finir.
Panayotis Pascot ne m'intéressait bien sûr pas le moins du monde avant la sortie de son livre. Aujourd'hui c'est l'extrême inverse.

J'suis terriblement touché par ce que je viens de voir. Et je découvre quelqu'un qui je pensais était vraiment un con prétentieux qui vivait pour les caméras. Bon je me fais un tout autre avis, la fin de ce spectacle m'a terriblement ému.

Mettre en scène son chemin de son acceptation ainsi, c diablement réussi.

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Revu dans la même après-midi que Coco.

Toujours pas conquis par ce film décidément. Mais au moins j'ai l'impression d'avoir compris plus de choses avec ce visionnage