L'année ciné 2024 (ça commence bien)

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Lanthimos revient pour nous offrir une comédie sur l'émancipation d'une femme par le sexe. Hilarant, magnifique, et très corrosif

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Bouleversante fable sur le deuil et la solitude, la salle était en larmes

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Des idées intéressantes, une romance plutôt bien amenée, très joli, mais le film m'a laissé indifférent

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Un excellent récit en vase-clos... qui n'a malheureusement pas de conclusion

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J'ose: ce petit film qui surfe honteusement sur le succès récent de Makoto Shinkai est bien meilleur que Suzume

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Un joli film d'animation sur la relation Homme-Nature, qui a le bon goût de ne pas prendre les enfants pour des idiots en misant sur une narration principalement visuelle

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Une forte sympathique exploration du personnage Dali, bien que tirant un poil en longueur. Coen et Baer sont merveilleux. Dupieux retrouve la folie de Réalité sur certaines séquences

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Un film particulièrement glaçant sur la normalité de l'horreur nazie. La banalité du mal, puissance 1000

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Un mignon film sur le besoin de s'extraire du quotidien. On reste sur le film typiquement "Sundancien", ça va pas non plus hyper loin

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Très anxiogène mais prenant. Le dernier tier est plus maladroit

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Un glaçant thriller sur la fascination que l'on peut ressentir sur les tueurs en série et la violence en général. La fin botte un peu en touche cependant

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Vaughn épuise définitivement la formule Kingsman. C'est laborieux même si le cast permet de sauver les meubles. Quelques idées surnagent également

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Une odyssée prenante, qui me laisse un poil sur ma faim, mais retranscrivant tout de même de manière poignante la difficulté du voyage vers l'Europe

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Un intéressant portrait de femme, qui botte un peu en touche à la fin

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Une intéressante étude sur les difficultés de s'extraire de son héritage au Japon. Le film s'éparpille un peu tho

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On peut clairement reprocher une certaine tendance à en faire trop, et un récit peut-être trop didactique. N'empêche que la puissance émotionnelle est là, soutenue par un travail de DA absolument dingue

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Le film souffre, ironiquement, d'un défaut de premier film: il ne tient que sur sa métaphore. C'est toujours très bien mis en scène, et le propos est intéressant, mais ça aurait mérité plus d'affinage.

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Le film démarre sur les chapeaux de roue et propose du gore bien décomplexé, mais s’essouffle sur sa seconde moitié. Il me semble également percevoir un fond de conservatisme pas forcément plaisant

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Moins désastreux que ce que je pensais, quelques répliques fonctionnent et il y a quelques idées de scénario. Très pauvre visuellement et assez mal joué cependant

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Bien qu'un peu long, on est sur du film catastrophe/ survival classique mais efficace

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Une intéressante étude de personnage croisée, qui aurait mérité d'aller un peu plus en profondeur

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Un sympathique thriller assez original, bien qu'un peu décousu

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Bien qu'on remonte d'un cran par rapport au premier volet, l'adaptation me semble toujours désespérément lisse et superficielle

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L'impression d'être passé à côté des enjeux du film. Reste quelques bonnes répliques et un portrait qui paraît sincère de la communauté juive

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Une comédie britannique très amusante, portée par un cast hyper attachant. Petite réserve sur la fin, mais je me suis tellement amusé!

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Défauts classique des films à sketchs, mais aucune vraie purge et deux vraies petits bijoux d'humour noir (le segment avec les terroristes et celui avec la malédiction)

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Malgré son visuel assez foireux et son dispositif narratif confus, le film propose un portrait intéressant du monde de la musique brésilienne sous la dictature

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C'est un peu long, pas forcément super bien rythmé, et les persos m'ont parus globalement inintéressants. Ça reste un portrait de femme correct

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Malgré sa mise en scène discutable, on reste fasciné par le récit de ce documentaire sur une figure passionnante et tragique

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Dreamworks continue de tourner à vide, avec un film pas déplaisant mais totalement oubliable. Le rythme est beaucoup trop soutenu