kit de survie postmoderne (et autres joyaux)

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Actuellement en train de lire, le début est plutôt propice : de la socialité dans l'art, une question de proximité, des liens sociaux embourbés par des systèmes et shémas pré-fabriqués par les industries "culturelles" et le capitalisme en somme, l'espace d'exposition comme générateur de rencontres (j'en doute fortement) mais je commence déjà à me prélasser, reprenons vite le rythme.

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Je le vois sur une étagère, dans une librairie, je le prend, je le garde, je le lirais, c'est sûr.
Jameson, vous m'avez bien eue.

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"the basic. the good. the one. the 5th element."
Ce livre est essentiel à toute personnes en situation d'incompréhension, de pourquoi, littéralement : "la société c'est de la merde". Cette bible vous enseignera comment enfin de l'expliquer à vos locuteurs, et même à vos parents.
Ce livre n'est pas éligible à la brillance en société.

Bon autrement dit, que signifie le spectacle ? Guy Debord nous livre une analyse synthétique et juste de l'emprise des industries culturelles, de leur représentations, enjeux et "conséquences".
Le spectacle, vu comme une logique marketing, et la manière dont les expériences/liens sociaux réagissent et se façonnent autour de l'industrie du "rêve". Spectaculaire, extraordinaire, le monde est un amas de superlatifs. Le spectacle, occulte toute forme d'authenticité subjective et intersubjective, de l'expérience, ne disposant que d'images formelles pour en déduire son existence et sa symbologie. Vivre par l'image de la sensation, et non connaitre la sensation, sans ses connaissances connues. Exemple : Je regarde des photos de paysages, une mer bleu lagon, un grand palmier, un ciel chatoyant, un soleil se couche. J'ai donc une "idée" de ce à quoi les plages tropicales ressemblent sans avoir vu ces dites plages.
De manière moins schématique, l'image du rebelle adopté dans la musique rock, sont des caractéristiques du spectacle, du moins celle connue des industries culturelles.
La création de l'icône par une succession de représentations et d'annotations légendaires ,constitue une spéculation, dont les spectateurs vont profiter : la sensation d'une figure d'incarnation, le symbole qui nous ressemble, et à la fois, nous éloigne de toute réalité sociale, mais qui est là pour représenter un possible idéal de vie, ce même idéal qui répond à la frustration de l'empire capitaliste (Voir l'érotisme de G.Bataille). Les industries du rêves, entre autres.
Voilà une "synthèse" de ce que j'ai pu lire et comprendre, mais toujours à préciser, bien entendu.

Cela dit, malgré toute la qualité dont fait preuve "La Société du Spectacle", des questions sont à se poser sur son adaptation au monde actuel, c'est à dire, de trouver que le livre peut ne peut donner véritablement de solutions, ou d'alternative, contre le "spectacle", donc parfois un tantinet formel et autoritaire, dans sa forme, mais dans son sens également, par rapport à notre époque (2010/17). Mais les propos tenus en 1967 par G.Debord restent totalement prédicateurs et "actuels".

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Dans la même ligne que G.Debord "La société du spectacle".
Un essai sur le capitalismes et son principe de contre-émancipation, son gigantisme, ses caractéristiques, ses mensonges etc ....
Il faut que je le relise car je n'ai plus les textes en tête depuis.

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A lire, prochainement.

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Un classique pour tout "bon à rien", comme moi.

Sincèrement, son projet de non-motivation donne un aperçu du ridicule que constitue la recherche d'emploi, et surtout, la fameuse lettre de motivation, qui est une formalité si imbécile soit-elle.
Qui réellement, est motivé pour trouver du travail ?
A part tout pourfendeurs d'ambitionisme*, de profiterisme*, et de productivisme, je ne vois pas qui.
Sincèrement. Une écriture pointue, des lettres hilarantes, un livre à lire!

*Néologisme car je ne connais pas assez de vocabulaire précis.

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Je viens de le commencer, et ça parle d'anus de mère, et de chiasse.
J'aime déjà ce livre.
Affaire à suivre

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Le premier livre de Philosophie que j'ai pu lire, ainsi qu'un commentaire d'une quinzaine de pages réalisé autour de celui-ci.
Résultat, je n'avais rien compris, alors que j'ai passé plus d'une semaine, 5H par jour à tenter de résoudre ce langage barbare, à l'époque.
Je vais le relire, très certainement, et me rendre compte de l'évolution, depuis mes 15 ans. Ou pas forcément.

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Comment saboter son lieu de travail, en toute modestie ...

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C'est le genre de bouquin qui te parle en face à face, sans filtre. Il te met dans l'embarras, et te fait littéralement tomber de ta chaise. C'est de la poudre à canon. On voit clairement la mouvance "The medium is the massage" rien que la mise en page. Le choix des images/textes hyper efficace et ça claque. Peut-être un peu trop ?

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Très intéressant mais vraiment trop court : je suis restée sur ma faim !