IAP, fuyez. Pas un rond, piège à cons.

Annotation :

Le King (haha) de ce genre, sorti en 2011 et qui perdure encore (et plus que jamais) grâce à la fantastique communauté de mougeons qui semble apprécier de financer les costards en marbre et les repas à base de caviar et de larmes d'orphelins des éditeurs de cette merde. Match 3 basique et moche dont le design moche et les couleurs fluos vous décolleront la rétine pour le plus grand bonheur de la corporation des opticiens et ophtalmos. Pratiquement aucune fin dans Candy Crush, le but étant donc de progresser jusqu'à l'infini (soit le niveau 1615, enfin, jusqu'à ce qu'ils en rajoutent encore) pendant que le jeu vous incite plus que fréquemment à passer à la caisse grâce à la multiplication de timers inutiles qui stoppent votre progression -à moins que vous n'injectiez un demi-salaire régulièrement, bien entendu. Un intérêt ludique nul et un plaisir de jeu équivalant à se claquer une porte sur les couilles de façon répétée plusieurs fois par semaine. À réserver aux pratiquants SM de haut niveau.

Annotation :

"If it ain't broke, don't fix it". Ce jeu est donc le même que celui d'au-dessus, mais qui remplace les bonbons durs par des bonbons en gélatine pour seule variante, ce qui est somme toute assez audacieux. Et le jeu marche très bien quand même, ce qui est encore plus triste et donne envie de tuer très fort tous les idiots qui sont tombés dans le panneau une deuxième fois.

Annotation :

Le retour de Dungeon Keeper avait de quoi mettre l'eau à la bouche, notamment sur le support tactile qui pouvait très bien s'y prêter. Malheureusement, Electronic Arts a décidé que la torture réelle sur joueur était plus fun que la virtuelle et a donc procédé au viol en règle de la série et à la destruction systématique de toutes les bonnes idées de jeu au profit d'un F2P édulcoré très basique dans lequel TOUTES les actions sont rapidement stoppées par des timers atrocement longs qu'il est possible de zapper moyennant de l'argent réel. À fuir absolument.

Annotation :

Clash of Cons : la bataille finale. Aucun but et finalité dans le jeu : grâce à des ressources limitées, vous construisez votre base et débloquez des unités de plus en plus puissantes qui vous permettront d'aller dépouiller les bases des autres joueurs pour gagner des ressources qui vous permettront de construire d'autres unités plus puissantes qui vous permettront d'aller dépouiller des bases plus puissantes... JUSQU'A LA FIN DES TEMPS.
Il est possible de se regrouper en clans pour coordonner des assauts et gagner plein de points à plusieurs afin de récolter de nombreuses ressources et de grimper dans les leaderboards, pour bien montrer au monde qui a la plus grosse (plot twist: pas vous). Et c'est à peu près tout.
Bien entendu, tout ceci est excessivement chronophage et il faut se connecter quotidiennement pour pouvoir faire quelque chose de viable, pendant que le jeu tout entier est généreusement saupoudré de looooooooongs timers foireux qu'il est possible de bypass en payant des sous (des vrais).

Bref, un gigantesque concours de bites virtuel, cependant égalitaire puisque les femmes sont tout autant invitées à secouer leur membre digital et à mougeonner autant que leurs homologues masculins.