Films/docus 2023

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De toute beauté, filmé avec humour et poésie : un vrai régal... qui aura bien mis à mal ma haute sensibilité face aux saloperies de l'humain. Quelle patience et quelle résilience pour obtenir de telles images: bravissimo.

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Chaque fois que je lis ou regarde quelque chose sur Van Gogh, je suis bouleversée. J'avais lu des articles sur cette découverte et c'est incroyablement émouvant de suivre l'enquête jusqu'à se retrouver devant les racines.

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Malgré ma note sadique sur le premier volet, j'ai fini par céder à l'appel de l'eau (corde sensible). J'hésite grandement entre un 5 et un 6. Heureusement que j'ai vu le film en 4DX/3D car clairement le visuel est son seul argument - et ça ne suffit pas à faire de grands films. Mes critiques portent principalement sur la pauvreté du scénario (et c'est pas comme si James n'avait pas eu le temps de peaufiner hein), sur le pseudo message écolo-anti-colonialisme qu'il faut être naïf pour gober, et sur le manque total (et volontaire je dirais) d'imagination: merci en effet d'inventer une civilisation qui reproduit exactement les mêmes perversions que nous autres humains : racisme, harcèlement, sociétés patriarcales, etc. Sur ce dernier point on remarquera (et le pire c'est que j'ai entendu le contraire) l'inutilité totale des femmes "cheffes de clan", qui ne servent qu'à gueuler et préparer à bouffer. Pendant que les bonhommes ramènent le calme, sont lucides dans les situations terribles, se comprennent d'un regard, et protègent leurs familles (plusieurs assertions d'ailleurs qui le répètent, comme si on n'avait pas capté). En conclusion ok, je veux bien admettre que ce film est un divertissement très bien foutu, mais qu'une fois qu'on met de côté cet aspect il ne reste plus grand chose, voire il reste des choses assez problématiques, du moins franchement ni originales ni dans l'air du temps.

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Pas de note pour ce film à la fois hyper touchant et manquant cruellement de rythme.

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J'aurais besoin d'un 6.5 tellement j'hésite régulièrement entre 6 et 7 dans les notes. Tout comme dans 3 billboards j'ai apprécié l'humour particulier de Martin McDonagh. Les paysages sont absolument magnifiques, et les acteurs excellents. Il faut toutefois aimer les longueurs inhérentes à l'univers et aux protagonistes, qui sombrent toujours plus dans le glauque.

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En un mot : chiant. Vincent Lindon inaudible et qui passe 100% du film avec la même expression faciale, le même ton, la même voix monocorde (c'est peut-être une habitude je sais pas, connais pas ses autres films). Twist final absolument débile (il suffisait à la Meryem de ne rien dire, c'était pas trop compliqué et il n'y avait pas de film).

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Magnifique et un peu dur pour mon petit coeur.

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Sobre, émouvant, amusant.

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J'ai adoré, mais pour moi c'est toujours le même problème: les personnes (comme Charlotte Lebon...) choisies pour faire des commentaires perso. Quelle légitimité, quel intérêt ? Le documentaire et les commentaires de spécialistes sont largement suffisants.

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Juste magnifique.

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Instructif, mais pas mal biaisé: certaines questions sont balayées d'un revers de main assez curieux. Un instant on vous montre Walt le gros réac, anti-communiste primaire, avec un bon potentiel antisémite et raciste, exploitant son personnel et volant s'attribuant le mérite du travail d'autrui, et la minute d'après on vous assure que non non, il n'était pas d'extrême droite, il n'était même pas politisé. C'était juste un bourreau de travail, un grand enfant. Cette façon d'évacuer comme pour ne pas trop égratigner la légende, ça laisse songeur.

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ça se regarde, ça fait rire 2-3 fois mais dans quelques jours j'aurai oublié l'histoire.

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Les images sont absolument magnifiques et poétiques, mais la présence de quelques images de synthèse vient gâcher le "plaisir naïf" et jette un doute sur l'ensemble ; qu'est-ce qui est réel, qu'est-ce qu'on a ajouté/modifié pour le plaisir de l'oeil ? Et ce n'est pas le rôle que doit jouer ce genre de documentaire. Au niveau des informations, rien de nouveau sous le soleil (étaient annoncées les dernières trouvailles scientifiques?), mais ça fera une bonne entrée en matière pour ceux qui ne connaissent pas ces animaux. Etant allergique à Jean Dujardin, il a fallu faire abstraction et passer outre certaines phrases malvenues ou maladroites (pas sa faute mais bon).

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Très beau court-métrage présenté lors d'une soirée/projection spéciale avec Les Gardiennes de la planète. Prix compétition suisse au festival Animatou 2022.

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Ma liste ne reflète pas du tout l'expédition à venir...! Ce documentaire est intéressant, très romancé (sauce US quoi). On retiendra le commentaire de connard de base venant de je ne sais plus quel musée d'histoire naturelle: "je ne pense pas que les baleines ressentent la solitude ou toute autre émotion". Voui voui les émotions sont bien sûr une invention humaine... (yeux au ciel).

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Cela fait longtemps que le naufrage de Clint Eastwood est acté et je me demande bien pourquoi je m'inflige encore sa bouillie...!

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Bon bin voilà, les 3 prochains films ont été visionnés par dépit dans un long-courrier (direction les baleines!). Besoin de regarder des films qui ne nécessitent pas de grande concentration et qui détournent mon attention de ma phobie de l'avion. Donc bon on va pas épiloguer : ce Jurassic World est encore plus nul que les deux précédents. C'était juste pour vérifier...!

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Pour le coup je suis mieux tombée, ce film m'a tenue en haleine et j'ai été particulièrement captivée par le jeu de Bastien Bouillon. En revanche la réflexion sur les VSS et les violences en général faites au femme n'est vraiment qu'effleurée et aurait largement mérité plus de profondeur: c'est pas comme si la littérature ou les débats actuels manquaient, pour y puiser son inspiration (ma foi, ose-t-on soupçonner que ce survol est lié au sexe du réalisateur?).

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Ce film me pose un problème : ce n'est pas d'empathie qu'il s'agit, on ne va pas non plus vous transporter dans diverses émotions, non, l'on cherche à travers un pathos poussé jusqu'à la nausée, à vous affliger constamment, à susciter la pitié pour ce type, montré, exposé, exhibé comme un monstre de foire, sous toutes ses coutures, sans pudeur, sans tendresse. Or j'ai horreur des forceurs de larmes de pitié. Je n'ai en outre pas compris le jeu de Sadie Sink, qui est tellement mauvais et caricatural que c'en est gênant, à l'image de la scène finale. En résumé, la hype autour de ce film m'échappe complètement.

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Je ne m'attendais à rien (et n'avais pas envie de le voir), et il n'y a rien eu. Note en conséquence.

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3 points pour Chabat que je trouve bon, mais l'histoire, les dialogues, tout est à chier.

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J'ai rien compris : pourquoi les acteurs sont-ils aussi mauvais ? pourquoi ces histoires secondaires dont on se fout complètement ? Pourquoi des dialogues aussi gênants ? En résumé : du blockbuster étasunien bien moisi, bien lourdingue, qui vaut 2-3 points pour les plans et le fait que, entre 2 phrases à la con et 2 histoires secondaires à la limite du vaudeville, on se laisse prendre par le (faux) suspense.
(Quant à moi je pense qu'il est temps de mettre fin à cette série noire de films tout pourris)

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Longuet longuet...! (Bon, j'suis pas une passionnée non plus.)

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Aurora's Sunrise ne devrait pas être sous "documentaire"?? Il s'agit d'un film d'animation, douloureusement beau, et qui ravive les boules que ça nous fout quand ce génocide est nié.

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Petit documentaire glauque et ma foi intéressant, en particulier pour les propos de la mère d'un des tueurs de Colombine, une femme avec beaucoup de profondeur et très touchante.

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Allez on s'est refait un petit plaisir visuel, puisque les images sont un régal. Sans surprise on retrouve notre Pierre Robert de Latour préféré (LE spécialiste des pods de la région). Quand je serai grande et pas frileuse, l'expédition ce sera avec lui (cette année on était bien au chaud...).

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Quelques points parce que le gamin est chou et parce que le Sénégal c'est beau mais tout est extrêmement attendu, convenu, répétitif, et longuet. En résumé scénario pauvre, réalisation mauvaise.

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Film vu dans le cadre du FIFOG. Le suspense, l'affect, sont plutôt bien amenés au niveau de l'interprétation, de la réalisation, mais j'ai trouvé la musique vraiment trop présente, décalée, exagérée (pour tirer des larmes). Au final lorsqu'on utilise trop ce levier, le reste en pâtit, et j'ai le sentiment que ça vise à rendre le spectateur aveugle à certaines imperfections.