Ezh Game Awards 2023

Annotation :

Mort ou vif, vous venez avec moi.

Annotation :

Du AAA audacieux et original, qui sort autant des sentiers battus, on en a un par un, et je préfère nettement la recette de Sam Lake à celle de Kojima.
Comparé à son prédécesseur, Alan Wake 2 souffre de quelques pannes de rythme, à cause de ses environnements inutilement ouverts, mais il est émaillé de tant de moments WTF et mémorables que j'ai envie de tout lui pardonner.

Annotation :

Si je n'avais pas à ce point envie d'être original et d'offrir la palme à un autre jeu que Baldur, qui va être le top 1 de la terre entière, je l'aurais très certainement mis en première position. C'est une aventure ridiculement riche et dense, à la hauteur de ses ambitions démesurées.

Annotation :

De loin le jeu sur lequel j'ai passé le plus d'heures cette année, SF6 est la consécration de la licence et sur-corrige tous les défauts du 5. La quantité de modes, d'options et d'outils d'entrainement est affolante, et rarement un jeu de baston aura été aussi accueillant pour les néophytes.

La politique tarifaire repoussante de ses cosmétiques le fait un peu trébucher sur la ligne d'arrivée, mais on n'était pas loin du GOTY.

Annotation :

Avec ses couleurs chatoyantes et son gameplay nerveux et précis, En Garde est une belle démonstration de maîtrise, mais aussi de retenue. Il n'essaye jamais d'en faire trop et a juste assez de profondeur pour garder en haleine durant ses 4h de batailles endiablées, émaillées de punchlines rigolotes.

Annotation :

Après toutes ces années à le réclamer, on osait plus y croire, mais Sega et RGG ont exaucé nos prières.
Ishin n'est certainement pas un épisode majeur, mais c'est un très bon spin off avec une superbe galerie de personnages tous plus badass les uns que les autres. L'histoire qui met un peu de temps à démarrer, mais m'a enfin permis de vivre la bromance dont je rêvais avec Mine-San.

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N'étant pas un énorme fan de Diablo, et n'ayant jamais été intéressé par le grind post-crédits de ces jeux, j'ai abordé Diablo 4 comme un action-RPG solo avec un début, et un fin, et l'a quitté très satisfait, une trentaine d'heures plus tard.
Que ce soit artistiquement ou en termes de gameplay, le jeu a fait les bons choix pour garder le meilleur de Diablo 2 et 3.

Annotation :

Un autre spin off assez dispensable, mais fort bien exécuté malgré son budget serré et un temps de développement très court. RGG rend hommage à Kiryu, son monolithique protagoniste, et fait la passerelle entre Yakuza 6 et 7, avec une histoire au rythme haché et pleine de remplissage, mais dont les moments forts compensent bien les défauts.