En 2015 je m'essaye à la musique

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On dit de lui que c'est l'un des meilleurs albums psychédéliques de tous les temps. Psychédélique il l'est c'est certain. Délicieusement psychédélique sur certains titres: The Gnome, Flaming.

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8 pour le titre éponyme, MONSTRUEUX. 2 pour le reste. L'album semble vraiment un faire-valoir pour le single The Day is My Enemy. Les mauvaises langues crieront à l'arnaque.

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Une belle voix, toute en nuances, notamment dans les parties rappées...complètement anesthésiée par une musique formatée et monotone. Dommage.

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Un album à tubes, extrêmement homogène et dense. Avec Roxanne, Still loving you et Can't stand losing you notamment. Il marque déjà le penchant pop du groupe, avec des mélodies accrocheuses et rythmées.

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Supérieur au premier album, Ultraviolence est beaucoup plus sombre, plus cynique, plus personnel. Convaincant. On retient West Coast en particulier.

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On en voit de toutes les couleurs, partout. C'est une orgie de sonorités. Harmonieuse, qui plus est. La musique comme je l'aime

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Grosse, grosse claque. Peut-être un album qui m'a fait voir la musique autrement. Certainement un album qui m'a fait découvrir le rap. Le vrai.

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Je découvre Scorpions avec cet album... mais reste un peu sur ma faim. Pas assez de fulgurances, pas assez hard. D'un autre côté, un chef d'œuvre de ballade: Still Loving You. Et deux morceaux réussis: Rock You Like a Hurricane et Crossfire.

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Cet album est marqué par quelques très bons morceaux, aux sonorités hétéroclites, notamment sur l'alliance électro-funk qui donne quelque chose qui pourrait ressembler à une signature. Originalité, mais aussi efficacité, avec une rythmique toujours très appuyée, ce qui fait qu'on ne se lasse pas de chanson en chanson, au fil des 10 pistes qui forment l'album. Non, vraiment, du beau travail, et on en redemande. Peut-être aller chercher plus dans l'émotion et la force du propos cette fois?

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YEAAAAAH. C'est tout ce qui revient, tout au long de l'album, à chaque morceau. Une vraie capacité à déchaîner.

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Mon premier album des Maroon 5. Je l'ai trouvé plutôt plat et classique, pas fade, mais presque. Misery et Crazy Little Thing Called Love sortent du lot.

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Tout simplement génial. Je découvre Led Zeppelin avec cet album, et je tombe sous le charme de la voix déchirante de Robert Plant et des riffs dantesques de Jimmy Page. Tout y est: énergie, émotion, rythme, morceaux variés, originalité des arrangements, parties instrumentales, parties chantées, transition entre les deux... Rien n'est à jeter dans cet album.

Et plusieurs morceaux rentrent directement dans mon panthéon personnel: Babe I'm gonna leave you, You shook me, Dazed and Confused, Communication Breakdown, Good Times Bad Times, How many more times.

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Je découvre la musique post-rock avec cet album. Si j'ai eu un peu de mal avec le premier morceau, que j'ai trouvé trop long et monotone, les deux suivants ont su éveiller ma curiosité, et petit à petit ma fascination. Le dernier, Piss Crowns Are Trebled, m'a conquis par sa structure crescendo. La montée en puissance est remarquable, on en ressort étourdi.

C'est un genre planant et presque psychédélique, très violent dans sa densité instrumentale. Mais ce qui m'a surpris, c'est sa puissance évocatrice. On rentre dans un monde sonore nouveau et étrange. Expérience à renouveler.

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Un beau premier album pour un groupe original et intéressant. L'univers musical est là, fièrement présenté entre les notes de chacune des pistes. Du rouge, du blanc, du noir: la couverture n'est pas qu'une façade esthétique. Elle reflète l'esprit du groupe, entre passion, pulsions, et candeur. Leur envie débordante et leur amour du rock transpirent dans chaque titre.

Même un peu trop, car au bout de 3-4 chansons, on ressent l'envie de souffler. Une identité ainsi constamment martelée peut finir par lasser.

Des morceaux sortent quand même du lot: St James Infirmary Blues, Cannon, When I hear my name, Astro, I fought Piranhas, ou Little People.

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Bonne découverte. Earl Sweatshirt, nouveau Kid de Los Angeles, semble parti pour rejoindre la cour des grands. Son rap est mesuré, très bien écrit car extrêmement musical. Les rimes s'enchaînent d'une manière fluide.

Reste à améliorer la partie instrumentale, qui n'est pas excellente sans être mauvaise. Les titres se ressemblent un peu trop au niveau des mélodies, ce qui fait qu'on a vite l'impression de déjà vu, à mesure que l'album avance.

Il faudrait que j'écoute son premier album, Doris, pour m'en faire une meilleure idée.

Morceaux repérés: Mantra, Faucet, Off Top, Wool

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Un album qui ne m'a fait ni chaud ni froid. Certains morceaux sont plutôt plaisants, d'autres un peu moins, et malheureusement ça s'arrête là. Le tout manque un peu de piment et de prise de risque. Les morceaux finissent par se ressembler tant la partie instrumentale est répétitive, et manque de couleurs.
A retenir quand même: Be somebody, que j'ai vraiment bien aimé, Sex on Fire et Closer.

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Difficile de noter un tel album. Sorte d'ovni musical, Death Grips se situe selon moi quelque part entre le rap hardcore, l'électronique et le punk-rock, voire le hard rock. L'album est divisé en deux parties, bien distinctes de par leur style différent.

La première lorgne plus du côté du rap électronique. On est dans de la musique purement expérimentale, avec quelques bonnes, voire très bonnes surprises: Voila(jouissif), Big Dipper, Black Quarterback.Cette partie m'a vraiment plu, notamment l'alliage entre le rap et le synthétiseur électro, donnant lieu à des harmonies remarquables.

La deuxième s'inscrit mieux dans un trip hard-rock rappé. J'ai un peu plus de mal, certains morceaux sonnent vite capharnaum musical. Je retiens quand même: Centuries of Damn, Powers that B, Pss Pss, Why a bitch gotta lie.

En bref, un 6 un peu sévère, au vu du nombre de morceaux appréciés, mais certainement dû à une lourdeur d'ensemble.

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Un album très inégal, à l'image de sa production. C'est en fait une sorte de soupe mal mélangée, de morceaux composés séparément, sans concertation, certains en live, d'autres en studio. Même si le but était de faire dans la spontanéité, et malgré un bel effort individuel, il en résulte une impression d'ensemble mitigée.
De très, très belles pistes (Astronomy Domine, Careful with that axe Eugene, Set the control for the heart, Grantchester Meadows) côtoient des morceaux que je trouve médiocres.
Mais les premiers cités sont d'une virtuosité sans pareille, allant du psychédélique au hard. Vraiment, de belles surprises. Dommage qu'ils soient lestés de tels ratés.

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Une jolie découverte. Un peu dans le style du dernier album de Kendrick Lamar avec son côté rap-funk, ce Pilot Talk III n'en reste pas moins un objet bien original de par l'arc-en-ciel musical qu'il nous offre. Tous les morceaux sont de qualité, on ne s'ennuie jamais à travers ces 55 minutes de musique.
Il y a, bien sûr, quelques titres qui sortent du lot. Long as the Lord Say, Froze et Like I chose sont magistraux. Cargo planes,Alert, The 560 et All I know sont excellents aussi.

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Premier album d'Eminem, et malheurseusement, ça s'entend. Même si le flow est déjà bluffant, et les rimes déjà omniprésentes, l'ensemble manque clairement d'identité. On se lasse bien vite, tant les morceaux se ressemblent.
Quelques bons morceaux cependant:Infinite, Tonite, Open Mic.
( YOUTUBE)

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Une pop atmosphérique, vraiment surprenante dans sa composition instrumentale. Je ne m'y attendais pas.
J'attends quand même de voir plus dense et plus ambitieux.

Pistes retenues: Love is the loneliest place, Peppermint, Angels, Nothing but a heartbeat, Julian.

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Quelle déception. L'album le plus vendu de l'histoire n'est finalement que moyen. Peut-être mes attentes étaient_elles démesurées, la musique m'a en tout cas semblé bien monotone. Entraînante et rythmée certes, mais ça s'arrête là.
Son impact sur le monde de la musique a beau être indéniable, personne ne me verra faire l'éloge d'un album si formaté.
Les hits restent très agréables à l'écoute, cependant: Beat it, Billie Jean, Wanna be startin something. C'est le reste qui pêche.