Du live qui te tabasse méchamment du chaton.

Annotation :

Tout le disque est bon.
Mais avec Hang up Your Hang Ups et ses 19mn terminales et intenses, on frôle la brûlure d'oreille là.

Annotation :

Zimbabwe. 42mn de bonheur qui traverse tout tel une locomotive en furie. Pas de billets ? N'essaye même pas de sauter en marche du train du maître Miles.

Annotation :

C'est ce qui s'appelle un cas d'école.
Un monolithe. Une pierre angulaire du rock des 70's.
On s'y arrête, on s'y régénère, on repart pour un tour.

Annotation :

En fait c'est un album à part entière.
Mais enregistré live. Du coup on va pas chipoter, ça reste du live.
Du punk avant l'heure.

Annotation :

Quand le groupe improvise au milieu de leurs morceaux pourtant les plus connus, ça devient imprévu, grandiose, même dangereux. C'est toujours beau de voir un groupe ou un artiste qui se met en danger.

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Parce que Duane Allman c'était pas du tout un manchot.
Et ici à l'entendre, on comprend que comme bien d'autres musiciens incroyables, il est hélas lui aussi parti trop tôt. Rah punaise.

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Oui bon, indispensable celui-là pour moi, chut, taisez-vous, je ne vous écoute plus.

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La douceur, la finesse, la magie et la force. Merci Laura.

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Ces gars étaient forts, bon sang.

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Mon autre chouchou live de Jarrett.
Plus tourmenté, plus chaotique, plus noir.

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Pour son second disque (si on se base sur le CD) qui vire à l'anthologique. Et le bonheur de voir que les spectateurs français à la fin hurlent "Encore, encore !"

Annotation :

Le Carnegie Hall ? Pardon ?
Et sinon vous le connaissez celui-là ? Peu de pistes, un concert presque trop court. Desmond, pas là, Dave a dû probablement se brouiller avec lui. Mais il y a Gerry Mulligan. Et il assure bien. Et les morceaux (trois mais tous long) se révèlent déments. Brubeck semble taper des poings sur les touches comme si sa vie en dépendait et qu'il lui fallait tuer le piano.

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Il nous faudrait en fait un triple ou quadruple live de Magma pour avoir probablement le live ultime. Cela dit, en l'état, Live Hhaï (ou Magma live comme on l'appelle maintenant) remplit très bien cette fonction.

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Bashung dans les grands espaces, entre humilité (...cette remarque touchante à son public "vous m'troublez !", presqu'un aveu entre deux chanson), énergie et mélancolie. L'un des derniers grands disques d'un géant de la chanson française qui nous manque.

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Les Daft ne sont jamais aussi meilleurs qu'en live.
Et quand ils fusionnent leurs chansons, là ça devient grandiose.

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Une seule piste. Etirée pendant près de 40mn avec des basses et des rythmes tout bizarres mais entraînants. Addictif.

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Du Rock. A la fois planant et sévèrement trippant. Comme une grande messe noire lithurgique avec des interludes glaçants. L'hallu n'en finit plus.

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Un casting fabuleux (Metheny et Pastorius inside), des titres souvent plus ou moins transcendés. Cela pourrait aller plus loin mais en l'état, la beauté de ce live suffit à me retourner à chaque fois.

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Quand la musique loungeoélectro planante de Burgalat (album "The sound of music") trouve son prolongement live souvent furieusement psychédélique et rock au contact de A.S. Dragon. Impressionnant, inattendu et jouissif.

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Concentré d'énergie pure.

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Santana dans sa période mystique qui envoie un live furieux de parts en parts et ne s'essoufle quasiment jamais. Sacré monument.