Doomster's Trip ( Anthologie Doom/Stoner/Sludge)

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Deuxième et dernier album du groupe avant sa séparation. Comme son prédécesseur, c'est un mélange de Hardcore et de Stoner, avec de petites influences Grunge. Ce dernier opus est un peu plus mélancolique et psychédélique que le premier, créant la sonorité d'un affreux bad trip qu'on aurait dans une décharge au bord du bayou, après s'être avalé des litres d'alcool.

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Colossal album de Sludge Metal, parfait symbole de l'aspect poisseux et underground de la culture Stoner. La musique est une claque de lourdeur et de rage, où les instrus grasses et stridentes rencontrent la voix complètement folle de Dax Riggs.

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Malgré son nom, ce pachyderme acide ne conte pas les histoires venues du Pléistocène, mais ça ne l'empêche pas d'être un mastodonte lent et lourd !

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Quatrième album de ce grand nom du Funeral Doom, inspiré par un roman de William Hodgson.
Ce qu'on remarque tout de suite à l'oreille c'est qu'il y a une importante différente avec le premier disque du groupe. On a droit des passages mélodiques, du chant clair et des breaks de guitare. L'ambiance est moins pesante, sans être paisible, mais il y a quelque chose de transcendentale qui se dégage de cet album. En plus de ça, le pochette est magnifique.

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Première fois dans le Funeral Doom (ou Nautic Doom selon les dires du groupe) et bon sang, ça décoiffe.
Et oui, c'est pas parce que ça va à deux à l'heure que ça peut pas t'arracher les tympans. La musique est lourde et monstrueuse, comme cette terifiante baleine fantomatique sur la pochette. Écouter Ahab, c'est se plonger dans la tête d'un naufragé perdu en mer ou un marin fou qui ne vit que pour la chasse des cétacés. Magistral, sombre, et tellement lourd que ça en devient jouissif, parfait.

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Dernier album en date du groupe, tout droit pêché du fond de l'Océan.
La musique s'inspire en partie de "Vingt mille Lieux sous les Mers", mais aussi de la disparition progressive des récifs coralliens (d'où le nom du disque). Musicalement c'est le mélange entre le dernier album et le premier, mais je dirais que les phases calmes empiètent trop sur les moments plus hard, ça apporte certes de la majesté, mais je m'attendais à un peu plus de gros riffs.

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Quand je n'arrive pas à dormir la nuit je me pose des questions terribles : sommes-nous seuls dans l'univers ? Pourquoi Peter Steele est-il décédé ? Quelle musique joueraient les pillards Tusken si on leur donnait des instruments ? Heureusement, Bantha Rider a pu répondre à cette question !
Du Desert Rock gras tout droit venu de Tatooine, sans prétention mais bon délire !

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Un beau jour de février 1970, les étoiles se sont alignées, et le Metal naquis.
Avec une batterie qui martèle le sol, une voix de sorcier grinçant, une guitare lourde et une basse ronronnante comme le tonnerre, le premier album de Black Sabbath a poussé le Blues Rock à son extrême avec des sonorités lourdes encore efficaces cinquante ans après.

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Le troisième album se sépare définitivement des racines Blues, et annonce ce qui sera quelques années plus tard le Doom Metal pur. Encore plus pessimiste que "Paranoid" avec une basse encore plus lourde, c'est le disque le plus sombre des débuts du groupe.

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Pour le second album, on reprend les mêmes et on recommence, en y ajoutant en plus des refrains catchys ! Album culte forgé dans l'antimilitarisme et la drogue, il est un rejeton de son époque, préférant montrer de la terreur du monde réel plutôt que de se cacher derrière de beaux atours pop.

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"Master of Reality" était encore trop ancré dans la réalité (d'où son nom), mais le "Vol. 4" est un bond dans l'hyper-espace des substances illicites.
Véritable ode à la drogue et à l'imagination, il marque le début d'une période plus pop pour le groupe, avec quelques titres aux sonorités de hit parade. Mais malgré leur envolé vers les paradis artificiels, Black Sabb garde les pieds sur Terre, en teintant sa musique de mélancolie et d'inquiétude. Peut-être que la drogue n'est pas une si bonne chose après tout ?

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L'agressivité et la virulence du Hardcore couplée à la lourdeur catchy du Stoner !

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Ohlavacheçadécoiffe !
Un album de Doom/Sludge instrumental supersonique capable de faire trembler les murs ! Si vous en avez l'occasion, écoutez-le sur une chaîne hi-fi bien équipée, je doute que votre cerveau s'en remette.

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Du Stoner/Sludge gras et puant comme on en fait plus. La musique elle-même semble être imbibé d'un épais nuage vert. Un vrai bad trip groovy et crado qui fait transpirer rien qu'à l'écoute.

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Gros GROS morceau de Metal. Un album qui a une place particulière dans mon coeur, que je trouve juste parfait. C'est lourd, épique sombre, l'essence parfaite du Metal !

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Neuvième album du groupe, et premier avec Robert Lowe en tant que chanteur. J'ai tendance à trouver que les albums passés le premier sont tous fades, mais celui-ci rappelle presque le bon temps ! Il y a de bonnes compos, un son propre et lourd et une ambiance froide et mortuaire.

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Il était difficile de faire mieux que "Epicus Doomicus Metallicus", mais il y a quand même du bon ! La voix du nouveau chanteur est vraiment efficace mais les compos ont perdu leur panache.

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Album qui marque le retour du premier chanteur du groupe, et honnêtement c'est tout juste correct. Rien que le fait qu'ils ait recyclés la pochette du premier album prouve qu'il y a pas eu tant d'efforts que ça. C'est pas extraordinaire, c'est presque commun, et malheureusement ça suit le déclin musical du groupe passé les trois premiers albums.