Ces films moyens qui ont une jolie séquence

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Une scène de danse face à la caméra avec un très bel effet de filé.

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Le plan séquence d'ouverture avec Jean Dujardin. Le film aurait dû s'arrêter là.

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Un dialogue, une ampoule à nu qui pend, puis se retrouve balancée changeant la lumière des visages sans arrêt.

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Un brouillard, un pont, une ambiance électrique. Spielberg aura au moins réussi le final de son film.

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Edward Norton incendiant tout New York face à son miroir. Juste parfait.

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Un entretien Skype avec Google, une histoire de mixeur et le talent d'Owen Wilson et Vince Vaughn.

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Une finale de rugby filmée à la perfection.

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Un travelling avec une Isabelle Carré seule à une table et là commence le cinéma.

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La reconstitution du Tsunami de manière réaliste et poignante.

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Une colline, un plan fixe et un nuage qui passe. Une fin magistrale.

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Une 3D qui décide que nos yeux ne verront pas la même chose ou comment Godard s'affranchit des codes en un plan.

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Un quiproquo avec le sosie de Johnny dans les toilettes d'un commissariat avec Johnny, Gilles Lelouch et Jean Dujardin.

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Marion Cotillard apprenant le québécois pour jouer avec Xavier Dolan rendant chaque scènes absurdes.

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Les moments dans l'eau tellement beaux et jolies avec la musique d'Éric Serra qu'on regrette de devoir remonter à la surface.

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Hugh Jackman avec des testicules au menton buvant de la soupe durant un date amoureux. Un très bon moment des frères Farelly.