Bloc-notes 2022 : on continue à lire des BD !

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Ces trois premiers tomes nous conduisent à la moitié du titre. Et on ne peut pas dire que l'on perde son temps vu les portraits crus que dresse l'auteur des différents protagonistes. Incompréhension, mal-être, pression sociale, le cocktail d'Irene a tout pour être explosif.

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J'ai démarré la lecture de la série fin 2021 et j'entame donc 2022 avec ce 12e volume. Que dire si ce n'est que la lecture est plutôt agréable, les codes suivis sont sans trop de surprise mais l'ensemble est de bonne facture. Ce que je préfère ? Les commentaires de l'auteur qui parcourent les volumes.

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Avant-dernier tome de la série et il est temps qu'elle se termine. Jagaaan est un manga de divertissement agréable mais qui finit sur une note moyenne à mon goût : un héros en mode "dark", une amoureuse qui veut le retrouver, une fin du monde qui menace... et la crainte de voir une fin à la Gantz dans mon esprit.

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Innocent Rouge c'est fini ! Un pincement au coeur en refermant cette grande saga (démarrée avec Innocent) qui aura su allier quelques grands moments visuels avec du grotesque assumé et des incursions de la modernité toujours bien senties. Si la saga de la famille Sanson vous intéresse, la version de S. Sakamoto demeure sans équivalent en bande dessinée.

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Un premier tome sympathique mais répétitif. Le fait que le héros enchaîne différentes missions fait parfois penser à des épisodes HS d'un anime...

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Un second tome où l'histoire avance davantage et où l'on voit que les graines semées dans ce manga vont germer dans pas mal d'autres...

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Replongée dans l'univers de FMA, un manga et un anime (2003) qui occupent une certaine place dans mon coeur alors je ne pouvais pas passer à côté de cette nouvelle édition. Le grand format est appréciable mais qu'il est dommage que les bonus de fin de volume (les cases humoristiques de la mangaka) ne soient plus présents...

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Un one-shot bien mené, qui fait tout de suite sens pour les personnes qui connaissent Jujutsu Kaisen. Cela donne envie de voir davantage Yuta à l'oeuvre dans le manga !

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Un démarrage un peu trop poussif à mon goût mais qui arrive à trouver son rythme de croisière. On peut déjà analyser et repérer les différences par rapport à la version de U. Furuya. Surtout, on voit toutes la palette dont dispose J. Itô au-delà du registre de l'horreur et du malaise. On pourra s'amuser aussi à repérer toutes les références aux artistes qui jalonnent ce volume (et les suivants).

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6+
Un début assez convaincant même si certaines libertés sont prises avec l'histoire. Certains passages paraissent un peu "gratuits" pour signifier la souffrance ou le caractère sexy du personnage féminin principal. Et on peut s'étonner que la brûlure reçue par le héros ne semble pas plus douloureuse qu'une écharde. Ces réserves mises à part, ce "Breaking Bad" en Mandchoukouo pourrait faire partie des bonnes suprises de l'année.

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Le postulat est cool, je ne pensais pas que Wanda avait un tel passif derrière elle... Je regrette simplement que face à une telle richesse potentielle du scénario l'histoire soit finalement rapidement menée et se termine en laissant tellement de portes ouvertes qu'il y a un peu de frustration.

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Un volume qui continue à nous plonger un peu plus dans la déchéance de "maître Ôba", même si de brèves contre-tendances viennent donner un peu de répit. Une sexualité plus explicite que dans les autres productions de J. Itô retient l'attention. La plus belle jaquette de la série aussi.

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Un dernier tome qui permet de comprendre le début du premier. J. Itô me semble plus fidèle au roman de Dazai que Furuya, même si la fin du manga est différente du roman.
Ce qui m'a marqué c'est qu'autant j'avais une certaine sympathie pour le personnage dans la version de Furuya (même si le second tome m'avait bien moins plus que le premier), autant ici la répulsion vis-à-vis d'Ôba se fait plus forte, surtout du fait de l'épisode "morphine". Le châtiment qu'il s'inflige en retour n'en sera que plus marquant.

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Un artbook excellent pour qui apprécie l'art de T. Matsumoto. Les couleurs, l'aspect peinture, les enfants, les animaux, il y a une bonne partie de ce qui fait le très grand charme des travaux du mangaka même si le côté onirique n'est pas aussi présent que ce que l'on pourrait souhaiter.

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Un tome animé comme on n'avait pas vu depuis quelques temps. Un nouvel adversaire avec un Stand qui devrait se classer dans les tous meilleurs de la saga, de multiples rebondissements... Cela annonce 4 derniers volumes qui pourraient donner lieu à un final grandiose.

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J'étais parti pour mettre 6 mais la fin du volume fera sans doute partie des plus marquantes des dernières années... Ce manga c'est un peu la descente aux enfers d'un gars qui n'avait rien demandé. La promesse d'une rédemption poindra sans doute à l'horizon à un moment donné.
Visuellement le rendu est inégal avec certains passages qui font lorgner très fortement du côté de ce que l'on peut retrouver chez A. Kaneko par exemple et d'autres planches moins "abouties".

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Woh, le personnage du lieutenant est vraiment marquant. On s'approche du degré de wtf que j'avais pu ressentir avec Togata dans Fire Punch c'est dire ! Cela donne un bon coup de boost au manga et rend la vie de Shohei encore un peu plus délicate...

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6+.
Ce n'est pas un mauvais tome mais la tension du second est retombé et la relance impulsée (Shohei rencontre de nouvelles personnes...) ainsi que la révolte du personnage principal ne produit pas forcément les effets attendus. La série reste quand même agréable à suivre.
A noter que la jaquette montre à quel point il n'est pas si facile que ça de donner du volume quand on veut dessiner un bras (voir l''échange entre H. Samura et M. Kishimoto à ce sujet dans l'édition anniversaire de l'Habitant de l'Infini).

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6+
Graphiquement il y a des planches incroyablement abouties, faisant ressentir l'influence de T. Nihei ainsi que la patte propre de l'auteur. D'autres planches sont plus anecdotiques, où le rendu des visages est moins bon.
Côté histoire, si l'on peut comprendre l'absence de moyens de sauvetages (compagnie low cost...), la superposition des deux narrations donne un côté répétitif à l'ensemble et la fin du tome (Battle royale dans l'espace) donne au manga une direction qui nous pendait au nez mais que l'on n'espérait pas aussi rapide.

Annotation :

Toujours des morts mais l'aspect trafic de drogue tend à laisser un peu plus de place au "disclosure virus" et à quelques révélations d'importance. Encore un bon volume même si l'humour grivois perd de son efficacité à force d'être présent de manière récurrente.

Annotation :

Avant-dernier tome qui nous fournit beaucoup beaucoup d'informations. Je ne sais pas si c'est moi ou l'adaptation ou la manière dont les choses sont présentées mais on aurait pu dire les choses plus clairement. On se perd un peu à travers les personnages même si cela peut aussi faire référence au chaos ambiant.

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Se défaire d'une emprise malsaine... simple en théorie, plus difficile en pratique. Seichi en fait l'expérience et si le trait de l'auteur continue de s'affirmer page après page, on s'interroge quelque peu sur la suite.
PS : si jamais Seiichi et Yuiko sont de la même famille...

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8 - en fait...
Aposimz a mis du temps à décoller, à me plaire autant que les oeuvres précédentes de l'auteur mais une fois qu'on est pris dans l'intrigue, qu'on est adapté au graphisme de plus en plus "épuré", le constat s'impose : l'auteur sait où il va, alternant entre moments doux et plus durs (cf. la constitution des chrysalides...). Mon seul regret et le peu de pages du volume : seulement un peu plus de 150 pages... d'où le 7 et pas le 8.

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Avis global sur le tome 2.

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Deux tomes qui permettent de prolonger un petit peu l'univers de Borderland mais on reste quand même sur sa faim. Si cela permet de voir ce qu'est devenu Alice le fait que tout se déroule autour d'une seule épreuve donne un aspect bref dont on devine déjà plus ou moins la conclusion dès les premières pages. Cela fait plaisir de revoir H. Asô mais c'est dommage d'en rester à deux volumes.

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Une jaquette pas mal mais la couverture en bleue pâle est tip-top, je l'ai beaucoup aimée. Le contenu en soi ne révèle que deux histoires inédites par rapport à ce qui a pu être lu chez Delcourt/Tonkam ce qui peut être décevant ou non, selon ce que vous posséder de Junji Itô.
Le contenu par lui-même permet d'emprunter différentes thématiques de l'auteur et d'avoir un bon aperçu de ses talents. Ses commentaires à la fin de chaque histoire sont un plus.
Petit regret : certaines histoires se terminent parfois de manière un peu abrupte, on aurait pu souhaiter quelques pages de plus... et il est dommage que les dates et magazine de parution des histoires courtes ne soient pas évoquées (cela devrait être corrigé lors des rééditions)

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Un premier tome trompeur, parce que tout se passe presque trop bien pour Ogino. Et comme Minoru Furuya n'a pas son pareil pour tout dézinguer en quelques planches, méfiance ! Ce tome aura sans doute un goût de nostalgie pour les personnes qui ont déjà passé la case lycée, entre moments de partage avec ses amis, leçons de conduite et fantasmes divers.