Autoroute musicale sans arrêt [Troisième partie]

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2 Janvier -
Le passage à l'âge adulte. La dépression. La drogue. Le sexe. L'amour. La solitude.
En gros, l'étape dans laquelle je suis dans ma vie (ne vous inquiétez pas ça va hein !) est décrite avec tant de justesse et d'émotions dans cet albums re faite entièrement car Will Toledo, leader du groupe, ne le trouvait pas fini alors que c'était le plus gros succès du groupe et il a bien fait.
10 titres. 10 merveilles. Rien à jeter.
C'est puissant, touchant, émerveillant.
La découverte de Car Seat Headrest à était un choc dont je remettrai pas avant un moment.

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2 Janvier [Réécoute] -
Je démarre une session de réécoutes des albums marquants de 2018 pour pouvoir construire mon top le plus rapidement possible.
J'essayerai de rattraper les quelques derniers albums à absolument écouter de la formidable année musicale qu'a été 2018.

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2 Janvier [Réécoute]

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3 Janvier [Réécoute]

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3 Janvier [Réécoute]

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3 Janvier [Réécoute]

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4 Janvier [Réécoute]

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4 Janvier [Réécoute]

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4 Janvier [Réécoute]

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4 Janvier -
Alkpote devient le père noël et nous offre un mini EP, sympa ce Alk.

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5 Janvier -
Mélanger des voix rocailleuses, incompréhensible et clichés de métal avec des ascensions mélodiques de post-rock tout aussi cliché avec quelques bons moments rythmiques au niveau de la batterie ou de la guitare électrique : Vous avez un album surestimé et complètement oubliable de Deafheaven.

PS : "Glint" est quand même un bon morceau et il y a des bons moments au milieu de certains morceaux, mais c'est quand même sacrément mou.
Surtout l'introduction "You Without End" qui m'a fait rire pour le côté décalé qui ne convient pas au morceau, quelque chose ne fonctionne terriblement pas.

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5 Janvier -
Du stoner rock dans sa forme la plus pure, un retour aux sources du genre avec l'un des groupes pionniers, cela reste classique pour ce style mais c'est un retour qui fait du bien.

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7 Janvier -
Du jazz expérimental dans la plus grande tradition de Badalamenti pour le côté jazz à ambiance et l'expérimental (inclusion de dialogues étranges) pour Lynch.
Ce n'est pas si incroyable mais l’atmosphère est terriblement glaçante et provocante comme le sait si bien le faire David Lynch dans ses films et Angelo Badalamenti dans ses compositions enivrantes.

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7 Janvier -
Découverte surprenante qu'est cet album de rock instrumental avec un son très actuel. Un bon délire qui peut parfois être répétitif mais tellement rythmé et court qu'on ne s'ennuie pas.

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8 Janvier [Réécoute]

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8 Janvier [Réécoute]

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10 Janvier [Réécoute]
+<3 même s'il reste imparfait et il y a quelques moments de creux, je trouves la seconde partie de l'album tout bonnement excellente.

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12 Janvier -
Fin de mon parcours dans la discographie passionnante de Nine Inch Nails avec l'album fleuve et uniquement instrumentale qu'est "Ghosts I-IV".
On retrouve les prémisses dans cette collaboration avec Aticus Ross de la majestueuse BO de The Social Network.
Il est dommage que l'album soi aussi long et peu recommandable au vu de la longueur, le côté abstrait et l'ambiance générale du projet mais il reste surtout une oeuvre défouloir d'expérimentations pour Reznor au niveau sonore.
Son génie ne s'est pas perdu, il est simplement saupoudré au cours de l'album. A conseiller seulement aux fans hardcore du groupe.

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12 Janvier -
Douceur et mélancolie apporte au film une ambiance inégalé, merci Mr Greenwood.

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12 Janvier -
Le choc.
Première mixtape pour Death Grips et tout est la : la voix se brisant tout le long de MC Ride, la batterie déstabilisante rythmant le chaos qu'est-ce groupe et ce projet.
J'ai mis du temps à y venir, tellement chaque clip, visuel, extrait sonore que j'expérimentait me mettait mal mais je suis arrivé à rentrer dans l'ambiance sans frontières musicales et la folie du groupe.

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12 Janvier -
Des inédits intéressants dans la plupart des cas et deux morceaux (en moins impactant) de la mixtape "Exmilitary". Un début déjà fracassant et explosif.

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14 Janvier -
Un live en intimité et qui pourtant fait tout autant bouger qu'en véritable live (rpz Fourvière où j'ai failli mourir de jouissance musicale), une collection de morceaux légèrement réorchestrés dans certains cas pour rendre le réel potentiel de certains morceaux comme "Yr City's A. Sucker".

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15 Janvier -
Serait-ce du hip-hop ? de l'électro ? de la noise ? du métal ?
Aucune idée, les expériences sonores de ce groupe vont plus loin que sur leur première mixtape.
Plus électronique et "raffiné" sans laisser tomber ce coté brut et animal porté par Mc Ride avec une voix venue des bas-fonds de l'âme humaine.
Un projet marquant, un groupe hors norme, une discographie passionnante a découvrir.

PS : Il m'a fallu 4/5 écoutes entière pour dire que j'adore cet album, il faut laisser faire le temps et les réécoutes pour réellement l'apprécier.

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16 Janvier - [Réécoute]
+1+<3
Mon album préféré d'Eminem (ainsi que son plus sous-estimé et certainement un des meilleurs albums raps US), c'est ici que sa carrière se termine réellement pour moi et sur cette note absolument folle, monstrueuse et pourtant profondément humaine de la part d'un homme brisé par son succès en tombant dans la drogue et revenant avec ce projet après être passer par la désintox.
Comment surmonter cela en étant maintenant sobre ?!
La solution d'Eminem : Faire un album concept sur la folie, les psychopathes, les actes les plus malsains et horribles jamais fait pour exorciser ses démons (les médias, la drogue, sa vision de la société, ...) en réinventant son style grâce aux productions brillante de Dr Dre et ses nombreux skits (interludes) rendant l'album fluide et permettant un fort aspect cinématographique.
Au delà d'avoir créer un album incroyable, Eminem et Dre ont fait un véritable film d'horreur audio aux compositions et paroles parfaitement dérangeantes.

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18 Janvier -
Un premier EP aussi court que remplis de qualité, Waly sort déjà un projet intéressant avec son flow qui nous transporte tout le long.
Dommage qu'il soit si court et que certains featurings n'était pas si indispensable.

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19 Janvier -
Ce second projet est plus abouti, il y a une réelle ambiance et ambition artistique que l'on ressent dès le premier morceau à l'ambiance lourde et aux paroles percutantes. Les nombreux featurings peuvent être sublimes (Alpha Wann mais surtout l'alliance inattendue avec Feu! Chatterton) mais pèse sur l'album au vu de la courte durée du projet.
Je pense qu'il faudrait toujours avoir des bons featurings avec un projet légèrement plus long et encore mieux construit pour que Prince Wally fasse son grand album. Cela reste un très bon début d'année pour la musique en France.

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19 Janvier -
Premier ep assez inconsistant même s'il n'est pas mauvais, ce qui choque le plus est l'écart entre ce qu'il fait sur sa première création musicale et ce qu'il fait maintenant qui est moins abordable. C'est sympathique à écouter mais très peu marquant et légèrement long sur la fin.

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19 Janvier -
Dans la même lancée, ce second ep est dans le même style d'électro minimal où la même mélodie sera réutilisée sans cesse pour l'amener dans différentes trajectoires souvent intéressantes.
Il est plus consistant que #1 mais reste un peu oubliable.

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20 Janvier -
Mr Oizo part de son sentier electro "normal" et va vers des sentiers expérimental sur un nombre élevé de tracks très courtes pour ne jamais lasser les auditeurs de ses bidouillages musicaux. J'avais entendu dire que c'était un des plus difficile d'accés et pourtant je suis facilement rentré dans l'ambiance connaissant bien le bonhomme, son humour et son style.