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Le son de Detroit prend ses racines dans ces expérimentations du début des années 80. Cybotron, l'illustre inconnu, paraît vraiment actuel ces dernières années avec le revival de l'electroclash (Kavinsky, Oizo etc..)
Aphex encore, sous le nom de AFX, avec une oeuvre tellement avant-gardiste; ambiance si particulière entre onirisme et rythmes destructurés, mélodieux et effrénés donnent à cet opus un goût difficilement définissable.
Apparu à peu près au même moment que Ni ten ichi ryu de Photek, ce sont mes premières grosses claques drum'n'bass. Mon pauvre casque de walkman en a bien souffert. Naruhisa Matsuoka par la suite sortira mon album d'n'b favori.
98, la musique électro ne cesse de se recréer, renouveler comme le démontre Boards of canada; précurseurs du son electronica/vintage/nostalgique tant de fois copié mais très sincèrement jamais égalé.
Véritable bombe, un peu le Melon Collie & Infinite Sadness de l'électro; double album épique, mélodieux, deux parties distinctes, expérimentations, soul, drum'n'bass... je ne peux pas m'empêcher de le voir un peu comme l'ancêtre de Cosmogramma de Flying Lotus.
Je sais, il y a eu Endtroducing avant, mais personnellement cet album de Krush définit l'abstract hip hop. Très peu de vocals, très peu de fioritures, juste du "krushness".
C'est Golfer vs Boxer, morceau drum'n'bass/jazz/épileptique qui m'a introduit à cet album. Magnifique collages et composition qui définissent une électro plus sombre et organique que ce à quoi j'étais habitué.
Encore Aphex, mais je ne pouvais oublier cet album étrangement mal-aimé lors de sa sortie. Sorte de cross-over entre John Cage et son propre univers violent destructuré et torturé, Drukqs provoque en un double album un voyage auditif aussi contrasté que personnel.