Si ma découverte de l'artiste reste tardive en comparaison de mon avancement en la matière qu'est la techno, ma première écoute me fascine, me tumulte exquisement, alternant habilement entre minimale, deep-house, detroit-techno, psytrance et italo-disco. Tout semble parsemé d'une poudre musicale dorée, une exaltation telle que j'avais déjà ressenti à l'écoute de l'organique Glass Eights de John Roberts lors d'une matinée précédée d'une nuit décevante — cet album m'avait alors totalement appesanti dans mes émotions les plus nostalgiques.
Chaque note semble être là car Dieu l'aurait décidé, affranchie de toute la lourdeur de la créativité (cependant limitée) humaine. Eargasm.
http://www.youtube.com/watch?v=XIMDtBwsIzc pour entrer dans le jeu.