Albums de The Divine Comedy, du meilleur au moins bon

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Que des classiques dans cet album, qui a fait découvrir The Divine Comedy au grand public (Something For The Weekend, Becoming More Like Alfie, The Frog Princess, Songs Of Love...). Un des meilleurs albums pop depuis 20 ans. Allez, depuis 30, voire 40 ans. Depuis Ziggy Stardust en fait (subjectivité complètement assumée).

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Je dois être très subjectif sur cet album, car c'est celui qui m'a fait découvrir ce génie de Neil Hannon. A 40 ans balais, Neil n'a pas perdu sa plume, au contraire : les textes sont de plus en plus décousus, décalés et décadents (Can You Stand Upon One Leg, Bang Goes The Knighthood, I Like, The Complete Banker, etc.)

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Le classique. Une belle progression dans l’enchaînement des chansons de cet album-concept, toutes très différentes et bien composées. C'est le premier chef d'oeuvre de The Divine Comedy !

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Superbe album, plein de chansons plus ou moins dépressives.
Pour ceux qui veulent se pendre en beauté, on conseillera Our Mutual Friend et Absent Friends. Pour ceux qui au contraire voudraient reprendre goût à la vie, Charmed Life.

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On a souvent reproché à cet album d'être le sommet de la grandiloquence pompière de the Divine Comedy... C'est pas faux, mais c'est aussi pour ça qu'on l'aime. L'opéra Garnier de la pop britannique.

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Un bon album marqué par ce qui est pour moi le plus grand chef d'oeuvre de Hannon : A Lady Of A Certain Age. D'autres chansons valent bien sûr le détour : l'épique "Plough", la très drôle et très Blur "Die A Virgin"...

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Peu de chansons, mais des bonnes. Comme son nom l'indique, cet album n'est constitué que de chansons d'amour. Qui d'autre aurait pu composer "Everybody Knows That I Love You?"

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Très bon album (qui ressemble fort à Victory for the Comic Muse de 2006) mais forcément un peu en retrait après le génial Bang Goes the Knightood. Toujours au dessus de la mêlée cela dit.
Coup de cour pour "The Pact", "Funny Peculiar", "Catherine the Great", et "Foreverland"

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Un OVNI dans cette discographie. On sent une influence Radiohead, avec des guitares saturées et beaucoup moins de piano et de cordes que dans les autres albums. S'il ne devait rester qu'une chanson, je retiendrais "Lost Property", qui musicalement est l'une des plus abouties de tout ce qu'a pu faire Neil Hannon. Les paroles sont très drôles (la liste de tous les objets perdus par le chanteur) et en décalage avec le mur de son mélancolique de l'accompagnement musical.

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Plusieurs pépites dans l'album (The Pop singer's fear of pollen count, Lucy, etc.), mais encore quelques chansons en retrait. Un album imparfait mais déjà attachant.

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Pas le meilleur quand on regarde le détail des chansons (aucune ne rentrerait probablement dans un top 20 du groupe), mais bonus pour le principe de composer un bon album-concept décalé sur la vie de bureau. J'adore "Queuejumper", "You'll never walk in this town again", et grosso modo les 6 dernières chansons de l'album

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Bon... A l'époque, ce n'était pas encore le Divine Comedy qu'on connait aujourd'hui. Plutôt une sorte de groupe influencé par l'Indie Rock britannique des 80s. C'est moins inspiré que ce que Hannon a fait par la suite.